[ Je tiens à vous prévenir qu'il y aura des scènes dégueulasses pour les plus jeunes.]
- Donc... L'histoire parlera d'une jeune adolescente de 18 ans, qui vit de territoire en territoire, jusqu'à ce qu'elle trouve un endroit, où elle rencontrera de...
J'ouvre doucement les paupières, acceptant petit à petit la lumière du soleil. Je me redresse en étirant mon corps quand soudainement, je sentis mon cœur se serrer aussi fort que possible. Paniquée, je soulève les draps et comme je l'avais imaginé, je mouille.
Fais chier, les draps sont trempés maintenant. Je te demande pardon oh grand puissant seigneur.
Soupirant, je sors du lit, retirant les draps sales. Je l'ai pos parterre pour ensuite me diriger vers mon armoire où je pris de nouveau vêtement avant de me diriger vers la douche. Une fois déshabiller et dans la douche, je laisse l'eau tiède couler sur mon corps, mais, cela ne suffit pas, alors je tourne et tourne encore, laissant l'eau gelé s'eclabousser sur mon corps bien trop chaud.
Sortant de la salle de bain, je soupir, commençant à haleter. Ce n'est pas vrai, ça va durer combien de temps ?
Je peux sentir mes joues rouges, ils me font horriblement mal et je ne parle même pas de mon corps qui réclame son mâle. Haletante, je me dirige vers ma fenêtre de chambre, que j'ouvris pour prendre un bon bol d'air frais.
Quelques minutes plus tard, je sors de ma chambre, imaginant être calmé. Arrivé devant le bureau de l'alpha dans ces départements, je frappe à la porte, attendant une réponse.
- Entre.
J'entre doucement. Il est là, à écrire je ne sais quoi sur son carnet qu'il avait à notre rencontre. Un petit sourire aux lèvres, je me dirige vers lui et alors que j'aller m'asseoir sur la chaise, le jeune noiraud se redresse soudainement, me regardant bien plus froidement que jamais.
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- Un problème ? Soufflaige.
Il se lève d'une vitesse incroyable, s'approchant vers moi. Je peux sentir son aura puissante, ce qui me fait tremblé. Son visage à quelques centimètres du mien, il me fixe, sans rien dire.
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Sa commence à me faire peur, là.
- J.. Je ferais mieux de passer plus tard.
Je tourne les talons pour partir loin d'ici, mais à peine bouger, le jeune noiraud me plaqua contre le mur, grognant fortement.