Moi et les dieux : Tome 2

Irrécupérables

Coucou ! Oui, je sais je suis en retard dans ma publication. C'est pour ça que j'ai fait un chapitre plus long que prévu. En attendant, bonne lecture à tous !

PDV ZEUS

- Et voilà, terminai je alors.

Assis sur mon trône au sein du Mont Olympe, mes frères et enfants semblaient tenter de digérer le fait qu'Alison pouvait créer des monstre issus de l'imagination fertile des humains. Je venais de leur raconter comment on avait découvert, moi, Athéna, Aphrodite, Ares, Poséidon et Hadès que Ian, l'enfant adoptif d'Alison était devenu un loup garou.

Laissez moi vous dire que pour des Dieux âgés de plusieurs milliers d'années ça fait bizarre d'entendre ça. Déjà que c'est pas facile d'y croire en le voyant. Pourquoi pas un vampire tant qu'à faire ?

Ah !

Décidément, cette femme m'en feras voir de toute les couleurs. Mais, c'est sans doute pour ça que je l'aimes autant.

Pendant que ma famille songeait à ce que je venais de leur raconter, mes pensées divaguèrent à hier. J'ai avoué mes pensées à Alison et on a finit par faire l'amour dans un coin de la plage à l'abri des regards.

Mes joues rougirent en repensant à son corps à la silhouette finement dessinée. Franchement, elle a un corps merveilleux ! Tellement beau que je pourrais le contempler et me le remémorer tout le temps. Je repensai au moment où elle a prononcé mon nom juste avant que l'on ne s'arrête pour dormir.

La façon dont elle l'a dit était si excitante et tentante. OH MON DIEU ! Rien que d'y penser j'ai envie de l'embrasser fougueusement.

En m'imaginant le faire avec elle dans son appartement, mes pensées se tournèrent vers un détails. Suis je devenu un pervers de première classe ?

- Géniale ! S'exclama Apollon me tirant de mes pensées. Deux d'entre nous sont dans les vapes ! Pourquoi je continues de parler ?

Je sursautai et me tournai vers mon fils. Qu'est ce qu'il raconte encore ?!

- De quoi tu parles ? Demandai je d'un ton sec.

Apollon leva les yeux au ciel, visiblement exaspéré. Ce fut Athéna qui me répondit d'un ton sur et pourtant distant.

- Depuis que tu as finis de parler, tu ne nous écoutes pas parler, avança t elle. En plus, tu rougis tout seul comme un certain Dieu ici. N'est ce pas Hadès ?

Je me tournai sur ma gauche pour voir mon frère, les yeux dans le vide, souriant et se mordillant doucement la lèvre, les joues rouges. Je plissai les yeux et déglutis en comprenant que je ne suis pas le seul à avoir quelqu'un en tête.

Je me penchai sur mon frère et lui tapotai doucement l'épaule. La réaction fut immédiate. Hadès sursauta sur place et se colla sur son siège en me regardant les yeux écarquillés.

Tout aussi vide il soupira et se détendit en reprenant une position normale et moins ridicule. L'envie de rire me prit mais je me retins en voyant que mon frère semblait vraiment absorbé.

- Hadès, appelai je d'une voix coquine.

- Qu'est ce qui a ? Soupira méchamment le Dieu des Enfers.

J'eus un sourire en coin et me penchai sur mon bras droit.

- Moi je pense à Alison, avouai je alors. Tout le monde le sait sans doute. Mais toi, à qui peux tu bien penser ? La dernière fois que je t'ai vu aussi songeur remonte à 200 ans.

Hadès eut une moue ennuyé. Ces joues perdirent de leur rougeur quand je finis mon mini discours.

- Fous moi la paix abruti ! Râla t il.