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Les larmes ne cessaient de couler le long de tes joues, ta respiration en devenait effrénée, la tristesse ne cessait de naviguer sur celles-ci. Les goutes salées continuaient leur triste chemin, elles se laissaient mourir pour laisser la place à leurs sœurs.
Tout ce qui te passait par la main finissait éclater contre ton mur, tout n'avais plus d'importance.
Ta tête commençait à tourner. Rien, tu ne comprenais plus rien, tout se passait si vite tellement vite dans ta tête. Tes jambes tremblaient et ne pouvaient plus continuer à te tenir debout.
Tu sentais alors ton corps glisser vers le sol pour ensuite enfuir ta tête entre tes mains et tes larmes ne cessaient de continuer de tacher ton visage, elles auraient pu remplir la mer.
Soudain tu entendis des bruits résonner à travers ta fenêtre, faible au début mais qui se faisait de plus en plus insistants et tu compris alors, tu bondis si vite que tu cru perdre l'équilibre, tu ouvris les volets d'un coup et baissa les yeux dans la noirceur de la nuit pour apercevoir une joli chevelure blonde brillante dans ces sombres lieux.
Aussi vite que possible tu commença à descendre du balcon pour aussitôt te blottir dans ses bras. Et son souffle contre ta peau apaisait le feu qui en toi te dévorait, il s'évaporait lentement pour te laisser enfin respirer, tu n'étouffait plus.
" Hey, mon ange ne pleure plus, regarde. il effaçait délicatement les larmes de ton visage, regarde mon amourje suis là."
Et tu ne pus que le serrer davantage, tu avait besoin de savoir, de savoir qu'il était bien réel près de toi, que ce n'était pas un mirage.
Il prit de ses longues et fines mains ton visage en coupe et commença à parsemer de baisers tes lèvres encore et encore et tu lui répondais continuellement.
Vous continiuez à mouver vos lèvres entres elles dans un baiser désespéré qui ne vous laissait pas le temps de reprendre vos souffles.
Tu en avais besoin, vous en aviez besoin.
Et ton cœur se remplissait de son amour tels un vase vide qui se remplissait d'eau.
" Je suis la, je suis bien réel "il prit ta main pour la serrer contre lui contre son cœur et sa douce chaleur ne fût qu'encore plus une preuve qu'il était bien là avec toi."
" J.. je " Tu ne put formuler de phrases ta voix se faisait tremblante, les mots se cassaient avant même de pouvoir sortir de ta gorge et cela te fit encore peur et le brasier en toi vicieusement commençait déjà à reprendre de sa chaleur meurtrière.
Mais ce fût une pression sur ta main qui te fit tout oublier, qui fit taire cet flamme.
"Je suis si désolée, je suis tellement égoïste si égoïste. " Tu ne put t'empêcher de laisser les larmes tacher ses vêtements. C'était trop dur pour moi je ne pouvais pas le supporter."
Il ne put que continuer à te caresser les cheveux, embrasser tes larmes, que pouvait t'il faire de plus ?
Quelques minutes passèrent, vous étiez là assis par terre, tu te sentais bien dans ses bras sous la nuit calme et apaisante et ta respiration en redevint normal.
" Tout est de ma faute, ce fût le premier à briser ce silence de sa douce voix qui se mêlait au vent, il continua. Tout est de ma faute tu n'aurais pas du être là, assister à ça, je suis tellement désolé mon ange."
Et ce fût à ton tour de le consoler, de lui dire que vous alliez le surmonter ensemble.
Et tu ne pus à ton tour que continuer à embrasser ses cheveux le serrer davantage encore et encore.
Au final ni toi ni lui alliez bien.
" Viens, il t'aida à te lever t'incitant à marcher, et ce fût après quelques minutes qu'il commença à courir et tu ne pus que faire de même."
Deversons toutes notre haine, toutes nos peines dans nos jambes donnons leur de la force pour courir.
Et tu courrais courrais courais , tu ne voulais pas t'arrêter, tu ne voulais pas le lâcher quoi qu'il arrive.
Continuons de courir ne nous retournons pas tout ce qui nous importe maintenant c'est l'instant présent.
Sa mains dans la tienne, te donnait la force de continuer. Est-ce qu'il la sentait lui aussi cette sensation de bien-être qui t'envahissait ?
Et sur le haut d'une falaise ou le paysage était à couper de souffle où la lune se faisait encore plus belle, vous vous arrêtiez de courir.
La lune éclairait les yeux du joli blond qui te tenait la main, elle remplissait ses yeux d'étoiles qui brillaient de mille feux. Tes yeux pétillaient d'amour pour lui et ton coeur se réchauffaient lentement dans ta poitrine.
Une chaleur confortable qui enlace ton pauvre petitcœur.
Tu crois qu'il y'aura un lendemain pour nous deux ?
Et d'un accord commun, tout en vous tenant la main, vous criez, expulser tout vos malheurs qui remontaient le long de votre gorge, vos cris résonnaient ,vos hurlements mêlés à vos larmes, vos secrets que seul la lune en était témoins.
Pleurons, crions, hurlons, montrons au monde que nous existons.
Des rires chaotiques se mêlaient à vos larmes et une pluie de baisers fondait sur toi ses doux baisers d'amour pansaient les fissures du pauvre vase cassé que tu étais devenu.
" Tu ne ressent pas cette envie de fuir le monde toi aussi ? " Et le rire que tu eus continua ne voulant surtout pas t'arrêter tu l'enlaças, le couvrant à ton tour d'amour .
" Si tu savais Hongjoong, je ressens cet envie tout le temps tout le temps. Tu lui pris la main pour la serrer si fort si fort, allons loin loin allons dans un endroit où je pourrais être dans tes bras à jamais, il caressa tes cheveux avant d'embrasser ton front ne cessant de te répéter combien, il t'aime."
Dis moi, on restera ensemble pour toujours non ? Je t'en pris Ne me mens pas Tu sais très bien comment mon coeur peut être si fragile des fois.
Tu tient un petite envelope bleu pastelle ornée de petite étoiles dorées en guise de décoration. Le vent frais tape sur ta peau comme si il voulait te réveiller, te montrer que tout ceci est réel, douloureusement réel.
Et la maintenant, je sens que je vole, mes jambes me disent d'arrêter, ma voix ne peut plus crier, mon corps me dit d'arrêter.
Continuera tu de courir , les cheveux dans le vent , le sourire que j'aime tant sur ton visage ? "
Tu continueras de courir pour nous deux ?
Et juste devant cet falaise, cette lettre dans tes mains, tu ne pus que pleurer, déchirer cette feuille en morceaux et hurler à pleins poumons. C'était impossible, impossible strictement impossible sans lui quel était le but de continuer de courir ?
"Hongjoong, je crois que je n'en suis plus capable. "
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- signé H. 💌 - 1142 mots
nda : je vous laisse interpréter l'imagine à votre façon, on se fera un plaisir de lire vos théorie dans les commentaires ! Plusieurs scénario sont possibles !