Kunpimook tenait délicatement la main désormais de nouveau chaude de Yugyeom, la sienne tremblait alors que son corps était secoué par les sanglots. Il venait d'accepter l'horrible deal de la mère de Yugyeom et son cœur souffrait compressé douloureusement dans son torse. Trop de choses lui faisait mal.
Yugyeom étendu dans ce lit blanc les yeux fermaient, la peau livide, connecter à plusieurs machine dont il ne connaîtrait sûrement jamais le nom, ne pouvant lui sourire, le câlinait, ou lui parlait chaleureusement comme il avait l'habitude de le faire. Peut être que jamais Kunpimook ne le reverrait ouvrir les yeux, où si il le faisait, Kunpimook devrait rester loin de lui et sa faisait mal, tellement mal. Le jeune homme suffoquait dans ses propres pleures alors qu'il posait sa tête sur sa main lié à celle de Yugyeom. Il avait envie de hurlait qu'on lui rendent son meilleur ami, son Yugyeom. Il n'avait même pas pris le temps de s'asseoir lorsqu'il avait vu le corps allongé, il c'était effondré à côté de lui sachant que dans tout les cas, ce serait leurs derniers moments ensemble.
La vie était cruelle et encore plus cette femme qu'il croyait avoir connu, mais qui aujourd’hui, était insensible à la douleur qu’elle lui causait en l’éloignant de Yugyeom.
Cependant c'était ça ou rien. Kunpimook avait préféré le voir une dernière fois, il ne savait pas ce qu’il pouvait ce passé et cela faisait énormément peur à Kunpimook. Et si pendant la nuit… tout s’arrêter ? Il en avait limite des hauts le cœur tellement l’imaginais l'achèverais lui aussi.
Il était dévasté et il était resté auprès de son meilleur ami inconscient tout le long des heures de visite, après ça on avait été obligé de le faire sortir, il avait fallu les quatre parents et deux infirmières pour réussir à le traîné en dehors de la chambre. Kunpimook était devenu hystérique et il ne c’était calmait que quand la porte de la chambre de Yugyeom c’était fermé devant lui, il c’était alors une fois de plus effondré. Il avait pleuré toujours totalement désemparer et désespéré que on éloigne ainsi Yugyeom de lui.
Kunpimook ne pouvait pas vivre sans Yugyeom. Il en était certain. Si Yugyeom y passait alors lui aussi. Il ne pourrait imaginer une vie où Yugyeom ne le prenait pas dans ses bras, ne rigolait pas avec lui… c’était impossible. Yugyeom était son monde, sa force. Ils avaient toujours était deux, mais il ne faisait souvent qu'un. Alors lui enlever sa moitié, c’était comme lui enlever une partie de son cœur. C’était comme si on avait séparé des inséparables, et fait en sorte, qu’il ne ce retrouve pas.
Ses parents avaient dû le soutenir pour revenir jusqu’à leur maison et Bambam c’était enfermé dans sa chambre pour pleuré toute sa peine. Par la suite le jeune homme ne sortis de sa chambre que pour les heures de visite, pour aller à l’hôpital et resté le plus longtemps qu’il pouvait auprès de son meilleur ami, pleurant silencieusement tout les dieux de sauvé Yugyeom.
Il ne mangeait plus, ce qui faisait très peur à ses parents à qui ils ne parlaient pas. Le joyeux Kunpimook habituellement si bavard était entré dans un mutisme profond, ignorant tout le monde. Bambam ce mourrait à petit feu. Il ne supportait l’idée d'un Yugyeom aux portes de la mort et les parents eurent de plus en plus peur pour la santé de leur fils lorsque celui-ci fit un premier malaise par manque de nourriture et de sommeil.
L'arrivée de Lalisa quelques jours après le drame fut vu comme un miracle. La jeune fille dès son arrivée avait pris son meilleur ami dans ses bras lorsqu’elle avait débarqué dans la chambre de celui-ci, et que Bambam était recroquevillé sur son lit à pleuré. Lorsque la jeune fille l’avait vu, elle avait pris peur. Il avait maigris alors que Bambam n’était pas vraiment énorme de base, ce qui était effrayant lorsque l'on voyait ses clavicule ressortir ainsi. Ses yeux étaient entouré de cercle noirs et creusé encore plus son beau visage prouvant que le garçon arrivé très peu à dormir.
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Miracle (Yugbam)
FanfictionYugyeom est un adolescent à la santé fragile, depuis l'enfance il ce fait sur protégé. Il étouffe. Son seul petit miracle c'est son voisin, un jeune Thaïlandais de son âge du nom de Kunpimook. Au yeux de Kunpimook Yugyeom n'est pas quelque chose de...