Imagines Game of Throne

Partie V

Le soleil se levait pour la deuxième fois sur l'horizon, alors que tout le monde commençait à se réveiller autour de moi.
Chacun regardais le calme plat de l'océan, se demandant ou nous étions et pensant sans doute à leurs vie d'avant.
Je n'avais pas à y repenser, car à chaque fois que je voyais notre capitaine sur le pont, je repensais à ce que je ressens pour la brune.
Ce que je ressentais avant, pour l'ancienne apprentie sans visage, pour la dame rebelle du nord, pour la guerrière qu'elle était.
Maintenant elle était capitaine d'un navire de 30 personnes, vaguant vers une destination inconnue, s'il y avait une destination.
Les journées se ressemblaient à bord du Nymeria II. Le matin, nous nous levions alors que le vent dormait encore. La garde de nuit allait dormir, tendis que nous prenions du poisson pêcher et un morceau de pain en guise de déjeuner. Alors que le soleil montait, le vent se réveillait, et nous sortions les voiles. Les courants nous guidaient. Nous observions tous, rapportant au second chaque parcelles de sables ou roches.
C'était ça jusqu'au soleil couchant, ou nous donnions le flambeaux à l'équipage de nuit. Nous passions nos soirée sur le pont, à nous raconter des histoires, nos vies d'avant et boire notre chope de bière chacun avec de la viande sécher.
Mais ce soir, c'était particulier. Le capitaine c'était jointe à nous. Alors que le noir complet nous entourais, les flambeaux furent allumés, et je vis son regard sur moi.
(Arya)-Winter. Dit elle simplement en me regardant.
(Winter)-Capitaine. Dis je de la même façon.
(Rodrigue)-Ah capitaine, vous connaissez la gamine. C'est notre dernière recrue. Je l'ai engager alors qu'elle pensait que nous allions dans le nord.
(Arya)-Ah bon ? Me dit elle simplement en attendant une réponse.
(Winter)-Je ne me voyais retourner à Essos, même si Ver gris me l'a proposer.
(Arya)-Alors vous n'avez pas rejoins votre beau soldat qui vous promettait maison, champs, titre et famille après les événements ?
(Winter)-Il n'y avait pas de soldat capitaine. Jamais. Dis je en buvant une gorgée de bière, sentant que je rougissais.
Je perdais mes moyens, le contrôle même de mes émotions.
(Matelot 1)-Alors capitaine. Nous interrompit un matelot. Raconter nous vos exploits.
(Rodrigue)-Lequel tu veux entendre ? Dit Rodrigue plus rapidement que la brune. Son apprentissage chez les sans visage, la bataille de Winterfell ou elle a tuée le roi de la nuit ou celle de Port-réal.
(Matelot2)-Vous n'avez jamais perdue de combat ? Demandât un autre matelot.
(Arya)-En ayant mon expérience, une seule fois.
(Matelot 2)-Alors cet homme devait être très fort. Dit il.
(Arya)-C'était une femme.
(Matelot 2)-Alors elle devait être très belle, et forte.
(Arya)-Elle l'est. Dit la brune en souriant. Et très douée. La meilleure danseuse d'épée que je n'ai vu. D'Essos à Westeros.
(Matelot 3)-Alors à notre retour vous nous la présenterez. Rit un marin.
(Arya)-Très certainement. Rit elle aussi. Bon messieurs, votre compagnie est charmante, mais les cartes n'attendent pas.
(Rodrigue)-Vous avez besoin d'aide ? Proposât Rodrigue.
(Arya)-Non, reposes toi et profites. Dit elle en se levant.
Je la regardant tournée le dos, et rentrée dans sa cabine.
(Rodrigue)-Tu sais petite, je viens de Dorne. Me chuchotât son second alors que les discussions reprenaient de plus belles. Là bas, l'amour est privilégié. Peu importe avec qui tu le partages.
(Winter)-Je ne...
(Rodrigue)-Pourquoi es tu encore l'a. Va voir notre capitaine. Dit il en me donnant un coup d'épaule alors que je m'éclipsais sans me faire remarquer.
Je rentrais dans la cabine éclairer de bougies, avant de ne voir la nouvelle Arya Stark.
Ses cheveux étaient attachés impeccablement en tresses, sa chemise sortant de son pantalons avec toujours aiguille accrochée à la ceinture, entrain d'observer des cartes des continents et océans.
(Arya)-Une requête Winter ? Demandât elle sans relever les yeux.
(Winter)-Pourquoi agir de la sorte. Vous ne me supportiez pas. Pourquoi mentir en disant à tout le monde que vous aviez été vaincu une fois, par une dame et vantant sa beauté ?
(Arya)-Parce que... c'est la vérité et je le conçoit. Ce jour l'a, tu m'a battu. Je me suis faite prendre à mon propre jeux. Et, je t'ai observer au banquet de victoire. Tu était libre. Tu pouvais aller ou tu voulais, rien ne te résistait. Et je me suis dit que je voulais la même vie. Avouât la jeune Lady en me fixant et se rapprochant de moi à chaque mots prononcés.
(Winter)-Le seigneur Barathéon ne vous a pas retenue ?
(Arya)-Gendry et le marchandage, c'est comme, Sansa et la joie. Ils ont du mal. Me sourit elle. Tu veux vraiment savoir ce que je pense de toi ? Demandât elle en chuchotant alors que mon regard faisait des allers retours entre ses lèvres et son regard.
Elle m'embrassât chastement en écrasant ses lèvres sur les miennes. Je recommençais alors que demandait l'accès à ma bouche. Les premiers baisers, sont souvent pourris. Le notre fut sauvage.
(Arya)-Ça répond à ta question ? Demandât elle alors que je nichais ma tête dans son cou.
(Winter)-Recommences. Dis je en guise de réponse.
Elles descendit le long de ma mâchoire, jusque dans mon cou.
Je fis de même en jouant avec son lacet de col de chemise.
(Arya)-Un problème avec ma chemise ? Demandât la brune en me regardant avec envie.
(Winter)-Elle est de trop. Lui souris je alors qu'elle faisait un pas en arrière pour retirer le bout de tissus et le jeter au sol.
(Arya)-Je pourrais dire la même chose de la tienne. Me sourit elle malicieusement.