Arya Partie II

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La bière coulait à flot. Les rires et cris emplissaient la grande salle qui était pleine à craquer, entre les nordistes et les dothraki qui se partageaient les lieux.

J'étais sur un coté, observant la noblesse d'un œil et les troupes d'un autre. La cohabitation semblait s'arranger au fil des toast que les seigneurs portaient. La bière peut résoudre bien des problèmes. Sauf une armée de mort descendant vers le sud, malheureusement.

-Tu ne prends jamais donc une minutes à toi ? Arrivât une voixdans mon dos

(W)– Je n'en n'ai pas besoin. Je dois surveiller la reine.

(M)- Ne t'inquiète pas pour notre souveraine. Étant donner que Lord Snow et Lady Stark ne la quitte pas des yeux, ta surveillance est assurée. Préoccupes toi quelques instants de ton estomac.

(W)– Ne te préoccupes pas de moi Missandei. Si je puis me permettre,Ver gris garde la porte principale. Dans ce froid, il doit avoir besoin de forces.

Elle me sourit un peu gêner et malicieusement à la fois, alors que je la vit du coin de l'œil quitter la salle bruyante.

Mon regard retournât sur la table des nobles, d'où la Lady de ce château observait tout le monde avec son regard glacial. Je senti d'une présence se faufiler à mes côtés, et une lame me frôler les côtes.

(A)– Je te préviens servante. Oses remettre mon autorité en causes,oses te mettre en travers de mon chemin et ton nom se retrouvera sur ma liste. Je te surveilles Winter, et tu ne peux pas surveiller tout les visages de ce château. Me chuchotât elle alors que je baissais la tête et fis semblant de frissonner de peur.

Comme un courant d'air, elle retirât la lame et s 'envolât entre les nordistes et dothraki présents.

Mon regard retournât sur ma reine, mais elle me fixait déjà.

Sans que personne ne puissent calculer ces gestes, elle se levât et saluât les propriétaires du château, feignant d'être fatiguée par le voyage, avant de venir vers moi.

(D)-Je veux retourner dans mes appartements. Me dit elle lorsque je lui emboîtais le pas à travers les longs couloirs de pierres.

Quelques Minutes plus tard, alors que nous venions d'atteindre les appartements de sa majesté, Missandei arrivât, les joue colorées malgré l'obscurité omniprésente et sa peau bronzée.

Je fis venir des cuisine une cuvette d'eau chaude et du linge propre,alors que les deux jeunes femmes s'étaient misent en face d'un miroir.

(D)-Vous savez qu'une jeune fille de mon âge se soucierait de son apparence pour plaire à son futur époux, qu'elle rencontrerais d'ici peu en attendant son mariage avec un noble héritier d'une grande famille ?

(M)-Mais vous êtes la mère des dragons, ma reine.

(D)-Je me demande simplement, et si mon père n'avait pas été tuer ?Et si le régicide n'avait pas renverser mon père du trône et n'avait pas mis un prix sur ma tête ? Quel genre de personneserais je devenue ?

(W)-Vous seriez une enfant pourris gâtée, mariée a un riche seigneur de Westeros.

Sous le regard courroucé de Missandei, j'osais relever ma tête vers la reine qui me fixât depuis son miroir.

À mon plus grand étonnement, elle ne fût pas blessée ou indignée.Elle me sourit en m'incitant à continuer ma phrase.

(W)-Vous ne seriez pas passer par tant de souffrance, de choix et d'épreuves.Vous n'auriez jamais vécu ce que nous vivons. L'esclavage serait encore à Essos. Missandei serais rester la traductrice de ce marchand. Je serais rester une criminelle.

(M)-Chaque choix à des conséquences. Les choix des seigneurs passés les ont mener à leur tombe. Les vôtres vous porteront sur le trône des sept couronnes Majesté.

(D)-Vous avez raison toutes les deux. Mais je veux penser à autre chose après cette journée. Que voulait Arya Stark tout à l'heure Winter ?Je t'ai vu lui parler.

(W)-C'est une sans visage qui est prête à tuer quiconque s 'approche de sa meute.

(M)-Comme toi. Fit remarquer Missandei en défaisant les tresses de notre reine.

Elle lui peignait les cheveux tandis que je sortait d'une malle la robe dedemain.

(D)-Évites de tuer un nordiste. Nous serions encore plus étrangers à leurs yeux. Et continue à jouer le rôle de la servante innocente et naïve. Bluffs les. soufflât la souveraine.

(W)-Oui ma dame. Je sais quand sortir mon jeux. J'étais très forte aux cartes à Braavos.

(D)-Il y avait de jolis garçons à Essos ?

Missandei sourit, gênée.

(W)-De beaux garçons, et de jolies femmes oui. Dis je en sortant une Chaîne qui allait avec le corset.

(D)-Je n'ai pas la mentalité Westerosie Winter, aime les femme, les hommes,la guerre ou les plaines fleuries. Ce que je te demande, c'est de tuer ceux qui veulent ma mort. Me dit la souveraine alors que je la Regardais dans le miroir.

(W)-Bien ma reine. Lâchais je simplement au femmes que j'avais rencontrer et au relations, quelques soient, que j'ai eu avec.

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