Chapitre 3 : Partie 2. ...l'habit ne fait définitivement pas le moine.

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Disclaimer /!\ Les personnages mentionnés appartiennent à l'univers de la série Walking Dead. Je les emprunte seulement pour les replacer dans un univers alternatif, donc l'histoire suivante m'appartient, mais je ne touche évidemment aucun financement. J'écris simplement pour le plaisir et pour assouvir mes fantasmes plus ou moins pervers. Merci !

PS : Je remercie les auteurs des images que j'insère en entête de chapitre (bien qu'elles n'aient pas toujours forcément de rapport avec le contenu dudit chapitre). Je tiens à préciser que ce sont ces dernières qui m'ont beaucoup inspirée pour l'écriture de cette fanfiction et que sans elles, elle n'aurait certainement pas vu le jour. Ne sous-estimez jamais la puissance des images !

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Cher lecteur, me voici de retour ! Pour vous jouer bien plus d'un mauvais tour. Au programme, je vous propose de finir ce chapitre haut en couleur : j'espère que vous saurez l'apprécier à sa juste valeur... 

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- Hein ? Mais...pourquoi ?

Le brun referma sa gibecière qu'il sangla puis se tourna vers lui en crachant.

- Elle a raison. Vot' femme, là. Elle a entièrement raison. J'suis un bouseux et par conséquent, j'suis condamné à l'rester. J'ai clairement rien à foutre ici, j'me tire.

Il allait pour passer sauf que, plus prompt à réagir, Rick bloqua la sortie en écartant les bras.

- Non, non, non ! Vous n'allez nulle part. Vous reposez ce vous avez dans les mains. Si, si. Posez-ça sur le lit. Écoutez Daryl, je ne sais pas ce que vous avez entendu, compris, et honnêtement, je m'en contrebalance. Le fait est, que je ne peux vous laissez partir.

- Il vous suffit juste d'reconnaître que j'peux retourner dans mon merdier minable.

- Dans ce cas je déclare que vous n'êtes pas encore capable de vous reprendre en main, annonça le trentenaire d'une voix posée, fermement campé sur ses pieds.

Il eut à peine le temps de voir passer un éclair de folie dans les prunelles claires que dans la seconde d'après, il se sentait étranglé par sa chemise. En effet, le chasseur venait d'empoigner furieusement son col et le souleva de terre pour le plaquer contre le mur à bout de bras. L'homme, profondément serein, planta ses yeux dans les siens, sans bouger, sans même un frisson, d'un stoïcisme troublant.

La lèvre supérieure tremblotant sous l'émotion, et les poings crispés, le plus jeune éructa.

- J'me risquerais pas à ça si j'étais vous. J'veux partir et j'vais partir. Ok ? Vous avez pas l'droit de me retenir contre mon gré, c'est d'la séquestration ! Vous êtes flic bordel !

Il resserra davantage sa prise, cognant la tête de l'autre contre la tapisserie beige. Pourtant le châtain ne flancha pas. Comprenant que cela ne servait à pas grand-chose de se montrer menaçant voire violent, il finit par le relâcher lentement et par esquisser un rictus.

- J'vois. J'sais maintenant de qui il tient le p'tit. Ma parole, vous êtes encore plus accroché qu'lui.

- Daryl, s'il-vous-plaît. Je sais combien il est dur pour vous de vivre avec nous, et que l'attitude vindicative de ma femme n'aide pas à notre bien entente. Toutefois, je vous demande de ne pas lui en tenir trop rigueur et de me laisser régler ça. Je n'attends pas de vous que vous nous portiez des sentiments mais simplement de participer positivement à notre cohabitation. C'est tout.

Un jour quelqu'un m'a dit :Où les histoires vivent. Découvrez maintenant