Chapitre 1 : Partie 2. ...après tout, ton instinct est infaillible.

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Disclaimer /!\ Les personnages mentionnés appartiennent à l'univers de la série Walking Dead. Je les emprunte seulement pour les replacer dans un univers alternatif, donc l'histoire suivante m'appartient, mais je ne touche évidemment aucun financement. J'écris simplement pour le plaisir et pour assouvir mes fantasmes plus ou moins pervers. Merci !

PS : Je remercie les auteurs des images que j'insère en entête de chapitre (bien qu'elles n'aient pas toujours forcément de rapport avec le contenu dudit chapitre). Je tiens à préciser que ce sont ces dernières qui m'ont beaucoup inspirée pour l'écriture de cette fanfiction et que sans elles, elle n'aurait certainement pas vu le jour. Ne sous-estimez jamais la puissance des images !

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Cher lecteur, puisque tu me fais l'honneur de ta présence, je me montrerai comme un hôte irréprochable en t'offrant un petit présent. Voici une petite douceur que tu prendras le temps de savourer, du moins je l'espère, et dont tu sauras apprécier toute les subtilités du goût. Inutile de te laisser saliver davantage, je te laisse planter les dents dans ce met ! Bonne dégustation !  

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À peine sentit-il qu'on lui secouait l'épaule que Rick grogna et protesta. Oh, non, Shane le réveillait bien trop tôt. Cela ne devait faire que quelques minutes qu'il s'était assoupi. Pourtant lorsque l'adjoint au shérif consulta son téléphone il fut forcé d'admettre qu'il dormait bel et bien depuis cinq bonnes heures. Le châtain bailla à s'en décrocher la mâchoire, la faisant craquer au passage, tout comme sa nuque et ses autres articulations. Le noiraud n'avait toujours pas ouvert la bouche et il se crut obligé de dire quelque chose.

- Alors, ça a été comment ?

- Oh, tranquille dans l'ensemble. Ils sont sommairement sobres mais quand même aptes à converser avec toi. Et là ils tournent en rond et rugissent comme des lions en cage.

- Bon, je vais vite me faire présentable et je m'y colle. Merci Shane, super boulot. Tu peux rentrer chez toi, je m'occupe du reste. Si si, tu l'as bien mérité. Oh, et à l'occasion, t'as qu'à passer à la maison ce soir, Lori et Carl seront contents de te voir.

- Euh, hésita l'officier au physique de militaire endurci avant de rencontrer le regard déterminé de son ami. Ok, ça roule ma poule. J'amènerai une bouteille. À plus vieux.

Une fois seul, le trentenaire poussa un long soupir, voyant déjà la scène de confrontation arriver. Il n'avait jamais aimé recevoir des ''beaufs'' au poste pour la simple et bonne raison que la conversation finissait immanquablement par s'envenimer, à croire qu'ils voulaient tous se faire passer pour des animaux non civilisés, ce dont il reconnaissait le stéréotype. Certains se révélaient être beaucoup plus humanistes que tous les fonctionnaires et gens haut placés qu'il côtoyait. Il avait appris par expérience, bien que cela soit aussi dans sa nature, d'essayer de ne pas juger les citoyens par leur physique et leur classe sociale ou encore du peu qu'ils voyaient d'eux. Il ne vivait pas leur vie.

Il enfila de nouveaux habits et se parfuma, n'ayant pas le temps de se laver, se passa les cheveux sous l'eau et se rasa correctement. Le policier prit ensuite trois tasses de café qu'il posa sur son bureau, et expira longuement. Il était l'heure de faire sortir ces deux oiseaux.

Un jour quelqu'un m'a dit :Où les histoires vivent. Découvrez maintenant