Il y avait un loup.
-Heu, Charles, aurais-tu oublié de me prévenir que nous étions entré dans le territoire des loups?
-Possible.
-Ok. Charles, tu vas lentement t'approcher de moi pour monter sur la jument.
Charles fit un petit pas dans ma direction mais le loup grogna de plus belle. Charles allait faire un deuxième pas lorsque je repérais les yeux d'un deuxième loup qui étaient derrière Charles.
-Charles, non!
Trop tard, Charles avait bougé et les deux loups venaient de lui sauter dessus. Un des loups avaient été intercepté par la jument et moi, qui nous étions interposée tandis que l'autre loup avait fermement attraper le bras de mon compagnon qui tentait tant bien que mal de se débattre. Je fis la jument aller vers le loup qui se pris un violent coup de sabots à la tête. Ce qui le fit partir. Je descendis de la jument et me précipitais vers Charles.
-Au mon dieux! Je... attends Charles, je vais t'aider.
Ce que j'avais sous les yeux était horrible. Mon compagnon perdait beaucoup de sang si il continuait comme ça, il risque de mourir. Je déchirais un bout de ma chemise et en fis un bandage.
-Charles, le fermier ne t'aurait pas donner de l'alcool par hasard?
Il dit d'une voix rauque et fatiguée, comme si il venait de courir un marathon.
-Dans... dans la sa-sacoche.
Je courus vers la fameuse sacoche et en tirais une petite fiole. Je versai un peu du contenant sur le pauvre bras de Charles.
-Charles, promets moi de tenir, je vais essayer de trouver une Oxalis*
Il hocha faiblement la tête et je m'enfonçais dans la forêt.
Je commençais à perdre espoir lorsque, enfin, je tombais sur un arbre qui avait à ses pied: des Oxalis ainsi que des sabots de vierge**. Je mis le tout dans le sac que j'avais eu la présence d'esprit de prendre puis je courus à l'endroit où j'avais laisser mon compagnon. Il était encore plus mal en point. Il respirait avec difficulté et on voyait qu'il consommait une énergie astronomique.
Je lui caressait le front tout en lui posant quelques Oxalis sur le bras. Je lui fis une infusion de sabot de vierge. Ca l'aidera à se calmer.
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Je le regardai dormir depuis un long moment, on pouvais déjà observer le soleil se coucher. Ce fut à contre cœur que je réveillais Charles. Je lui caressais le front pour qu'il ouvre les yeux.
-Merci. souffla-t-il.
Je lui souris.
-Charles, j'ai trouvé des bandages dans la malle. Je vais te bander le bras, d'accord.
C'était faux, des bandages étaient tout à coup apparu devant moi alors que Charles dormait. Il y avait, bien sûr, une carte qui l'accompagnait.
"Pour que vous n'ayez pas à déchirer vos beaux vêtements. Je vous en prie, faites moi confiance et je vous donnerais tout ce que vous voulez.. Je vous traiterais avec soin et respect, comme vous le méritez. De plus, j'assouvirais vos moindres désirs.
P.-S.- Vous devriez vous dépêcher. X)"
Ses mots m'avaient fait peur mais j'avait quand même murmurer un "merci" en sachant pertinemment qu'il allait l'entendre. J'était concentrée sur le bandage de mon camarade. Et tout à coup, je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps. Ne sachant pas quoi faire, malgré sa blessure, Charles se releva et, de son bras valide, me serra contre lui.
-Ca va aller.
-Non. On est seuls au beau milieux d'une forêt au 19e siècle. C'est vrai qu'il n'y a pas mieux, ajoutais-je avec sarcasme. En plus, on est sur le territoire des loups, si on se fait attaquer à nouveau, on ne sera pas en mesure de se défendre. Et bientôt, nous ne bénéficierons plus de l'aide des Apaches. Ceux qui signifie être bloqué ici, surveillé par un psychopathe qui fait des tours de magie.
Charles me serra encore plus fort et dit d'une voix douce. Encore plus que lorsque nous avions entendu le coup de feu devant la maison de Lucie et Christophe.
-Tu devrais partir sans moi. Je te ralentis.
Je me détachais de son étreinte.
-C'est hors de question, tu m'entends? tranchais-je.
Il sourit et lança en rigolant:
-Mademoiselle n'arrive plus à se passer de moi? mais ça sonnais faux, il avait besoin de moi.
-Non, j'ai besoin de toi, tu m'entends? J'ai besoin de toi et toi, tu as besoin de moi.
Charles n'était pas que mon compagnon dans cette aventure, c'étais mon ami. J'avais mon regard ancrer dans le sien et sans que j'aie eus le temps de réagir, ses lèvres étaient pausée sur les miennes.
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*Plante médicinale qui contient de la vitamine C, elle soigne les plaies infectée et clarifie le teint.
**Plante médicinale est un fort remède contre les maux de tête et peut servir de calmant. À prendre à petite dose, cette plante est très forte.
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Alors, ce chapitre, des avis?
-Que va-t-il se passer après ce baiser?
-Comment va réagir Gillmart?
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Le Lac Pierre Bleue
Paranormal"Mon père hurlait sur ma grand-mère tandis que maman tentait de l'épauler du mieux qu'elle le pouvait. Je restais perplexe... C'est incroyable comme une petite phrase peut changer toute une vie."
