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Petit poème sur la pandémie

Quarantaine,

Comme si j'avais atteint la soixantaine,

Soit des centaines et des centaines de gens qui s'enferment,

Et la nature devient de plus en plus ferme,

Enfermant les vraies bêtes,

–Ce qu'ils sont bêtes!–,

Pour redonner à l'animal ce qui lui revient,

Et la vie revit en laissant l'humain moins malin,

Le malheur des uns fait le bonheur des autres,

Mais au final, tout est de notre faute.

09.04.20

(1) appel manquéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant