Dans sa Vie

Chapitre 25 : Pdv Elsa

Directement après la fin des cours je rejoint d'abord Jackson et Harold devant nos casiers. On s'est dit qu'il fallait mieux qu'on y aille tous ensemble. J'arrive la dernière et on part directement pour notre lieu de rendez-vous avec ma cousine. Une fois sur place, on les vois tout les trois assis sur un muret un peu plus loin.

-C'est elle, chuchote Harold.

-Qui ? Demande-je.

-Mérida, répond-il.

-Oui, pourquoi ? Il y a un problèmes ? M'inquiète-je.

-Non, aucun, sourit Jack en donnant un coup de coude à son ami qui baisse la tête, assez rouge.

Il ne m'en faut pas plus pour comprendre la raison de la présence d'Harold, ce n'était pas pour être avec nous, mais pour être avec ELLE. Ceci explique cela... Nous arrivons ensuite rapidement en compagnie de ma cousine et ses amis. On se présente vite fait les uns les autres étant donné qu'on se connait déjà presque tous.

-Enchanté, moi c'est Flynn Rider, dit Eugène en tendant sa mains vers moi.

-Euh... Moi c'est Jackson Overland-Frost, répondis-je.

-Je croyais que tu t'appelais Eugène, remarque Jack.

-Ça dépend des moments, ricane Mérida.

-Je ne vois pas ce quoi y a de drôle la furie, dit-il.

-Oh ! Calmez vous, exige Raiponce.

Ils ne tardent pas à s'exécuter.

-Je meurs de faim, ça vous dis d'aller manger ? Demande-je.

-Excellente idée, affirme mon corps.

C'est ainsi qu'on prend le chemin pour aller manger, Mérida et Flynn se dispute tandis que Jack et Harold parlent calmement. Je suppose qu'il ne me reste plus qu'à aller briser la glace avec Raiponce... J'accélère donc un peu le pas pour venir me lacer à ses côtés et pouvoir ainsi engager la conversation.

-Alors comme ça tu es la cousine d'Elsa et d'Anna ? M'intéresse-je.

-Oui, pourquoi ? Ça t'étonne ? Réplique-t-elle.

-À vrai dire, au début oui, vous êtes pour ainsi dire très différentes, ou en tout cas de ce que j'en ai vue. Mais maintenant que je t'ai vue à l'œuvre avec Flynn et Mérida tout à l'heure, je peux sans problèmes affirmer que vous avez la même autorité, tente-je.

En retour, elle fronce d'abord les sourcils pour explose de rire.

-Excuse moi, dit-elle. Un souvenir d'Anna grande comme trois pomme froncer les sourcils pour avoir un cookies vient de me revenir en tête.

-Je vois très bien, elle fronce les sourcils, fait des gros yeux et met sa lèvre inférieur en avant.

-Oui, c'est exactement ça, affirme-t-elle en essuyant une larme de rire. Comment ça se fait que tu la connais aussi bien Jackson ?

-Je l'ai vue la faire il y a pas si longtemps parce que je-Elsa lui a interdit d'aller à un rencard avec un inconnu.

-C'est tout elle ça, un vrai cœur d'artichaut, soupire-t-elle.

-Oui, et par pitié, appelle moi Jack. En général quand on m'appelle par mon nom entier c'est que j'ai fait une bêtise, donc je stresse à chaque fois, répète-je ce que Jack m'a dit il y a un peu plus d'une semaine.

-Pauvre petit, tu es traumatisé, se moque-t-elle.

Je rigole aussi pour nous arrivons au fast-food nommé "Hakuna Matata". Nous entrons puis passons commande.

-Ça alors, Flynn, s'écrit un gars assez mince qui prend les commandes.

-Timon ! Répond le copain de ma cousine. Ça faisait longtemps, Pumba n'est pas là ?

-Si attends il est à la plonge. PUMBA !

Je vois alors un homme bien portant arriver avec un torchon malaxé un torchon entre ses mains.

-Bonjour les jeunes, dit-il. Je vous sers quoi ?

-Une bonne platé de larve bien grasse, répond Eugène.

-Flynn, ça fait un moment qu'on ne t'a pas vu ici, affirme le dénommé Pumba.

-Je sais, j'étais occupé.

-Ça ne fait rien, te voilà, se rejoint le plus fin. Alors qu'est-ce que vous voulez ?

On passe donc tous commande et allons nous asseoir le temps que se soit près. Une fois qu'on a tous finit de manger on repart en direction du magasin où Raiponce voulait aller. Une fois sur place, je me dirige vers un des nombreux partant pour regarder ce qui s'y trouve. Alors que je regarde paisiblement un haut bleu clair, assez legé pour femme, je sursaute en sentant quelqu'un m'enlacer le dos. Je me retourne donc et tombe nez à nez avec mon visage pour le moins, souriant.

-Tu veux que j'essaye quelque chose pour toi ? Propose Jack.

-Pas pour l'instant mais merci de proposer. Et ça va ? Tu t'amuses bien ? M'intéresse-je.

-Oui, il y a Harold et les dispute de Mérida et Eugène sont plutôt drôles, ils ont l'air sympa.

-Oui, je suis assez d'accord, par contre Harold n'a pas ouvert la bouche depuis qu'on est là, remarque-je.

-Oui, il est sûrement entrain de chercher un truc à dire à Mérida, ricane-t-il. Et toi ? Ça se passe bien avec ta cousine ?

-Oui, assez. Ou en tout cas je crois.

On continue alors de regarder des vêtements et s'en suit une longue séance d'essayage pour ce pauvre Jack mais qui le fait fait tout de même avec un grand sourire et sa touche de folie habituelle, ça ne le ressemble pas vraiment mais ça à l'air de plaire à tout le monde. Il a même réussite à décrocher un sourire à Harold.

-Ma paroles tu es pas très bavard toi, dit Mérida à celui ci qui était silencieusement à côté de moi.

-Non c'est juste que MOI, je ne parle pas pour rien dire, répond-il sous notre étonnement à tous.

Mérida en perd même toute sa contenance et reste pendant quelque seconde la bouche ouverte, ne sachant rien dire à ça. Le peine à retenir un ricanement, lui qui n'avait pas parler jusqu'ici pour trouve le bon truc à lui dire, ça n'est, de tout évidence, pas une grande réussite...

-Je t'aime bien toi, affirme la rouquine en explosant de rire.

Apparemment je me suis trompée, bien joué Harold. Au même moment, Jack me jette toute une pile d'habit dans les bras.

-Du coup, je garde lesquels ?

-Hum...lui, eux, lui et lui, dis-je en lui redonnant certains des articles avant d'aller remettre les autres.

-Et qu'est-ce que je devrais prendre moi ? Lui demande-je.

-Euh... J'avais repéré un t-shirt noir tout à l'heure.

-Ah ouais ? Où ?

Il me prend par le bras et me traine vers un coin du magasin. Lorsque je suis arrivée devant le dit vêtement, je le décroche et lis ce qu'il y a maqué dessus.

-"Do you stop believing in the moon, just because the sun comes up ?", tu comprends ce que ça signifie au moins ?

-Bien sûr que oui, "arrêtes-tu de croire à la lune juste parce que le soleil s'est levé ? ".

-Pas mal, je suis fière de toi, dis-je en souriant.

-Haha, alors, tu en penses quoi ?

-Si il te plait alors fonce, tu veux que je l'essaye ?

-Non, pas besoins, passons en caisse.

-Une fois nos achats payés on sort du magasin les bras plus ou moins chargé puis prenons chacun de notre côté le chemin pour rentrer chez nous.