Game Over

Le Cœur

Sarada: Je te ferais confiance si ça ne faisait pas quatre fois qu'on passait devant le même pilier, alors je te repose la question, somme, nous perdus ?

Boruto s'installa soudain au sol, la tête entre ses mains. Je sentais la culpabilité émaner de lui.

Sarada : qu'est-ce qui t'arrives, ton œil n'est pas supposer te guider ?

Il me regarda d'en les yeux, un air a la fois ironique et désolée.

Boruto : il me guide vers le cœur, mais pas vert la sortit non.

Surprise, je ne sue que répondre. Je m'installais à côté de lui, attendant qu'il s'explique.

Boruto : tu vois les cocons dans lequel on était coincé ? Ce sont manifestement des résidus de l'arbre divin. C'est trop dangereux, et peut importe ce qu'on trouvera au bout du chemin, ca ne sera rien de bon.

Je lâchais un hockey de surprise.

Sarada : qu'es-ce que ferais des résidus si loin du champ de bataille de la quatrième grande guerre ? Et c'est le sharingan sur la lune qui faisait l'effet hypnotique, pas les racines.

Boruto sembla réfléchir un instant.

Boruto : l'effet hypnotique, c'est peut-être toi qui la crées.

Surprise, je ne pouvais que regarder mes mains, sans savoir quoi en faire.

sarada : je ne suis pas assez forte pour ça, et puis tu sais bien qu'ils se sont affaiblis avec les années d'inactivités.

Il me regarda négativement. Cette remarque de ma part était stupide et je savais très bien pourquoi, mais je n'arrivais pas à l'admettre. Ce n'étaient pas mes pupilles qui s'étaient affaiblit, mais moi. Bien au contraire, celle-ci, c'était nettement améliorer, tendis que le reste de mon corps était a la ramasse. Résulta, je les contrôlais très mal, et ce n'était pas le flou total dans mes sentiments qui allaient m'aider. Aux finales, j'avais fait ce que je voulais, sans m'en rendre compte, je voulais comprendre Boruto, savoir vraiment ce qu'il en était, et mes sharingan avaient fait le travaille à ma place. Dommage qu'il se soit aussi produit en sens inverse. Maintenant que le blond avait vue ca, qu'avait-il donc pensé ? Et qu'allait-il donc maintenant penser de moi ?

Boruto : On doit rebrousser chemin. Si tes sharingan réagissent a l'arbre, ca peut-être dangereux pour nous deux.

Oui, j'étais un danger pour mon propre coéquipier, j'étais un danger pour l'homme que j'aimais, et tout ca a cause de cette putain d'inactivité et de ma faiblesse.

Sarada : mais si tu rentres bredouille...

Un voile de tristesse passa devant les yeux de Boruto.

Boruto : s'in t'arrivait quelque chose, je ne m'en remettrais pas.

Ces simple mots suffirent a faire battre mon cœur. Ces compliment étaient perles rares et savoir sa, bien que se soit triste était un plaisir a entendre. peut être que c'était une vision égocentrique que de penser ca, mais je ne pouvais m'empêcher de sourire de cette révélation. Je me relevais et lui tendis la main.

Sarada : Nous allons allez au cœur, et nous allons le détruire. Ton père voulait écarter une menace, il voulait qu'aucun village ne puisse tomber dessus, et bien se sera le cas, mais a notre façon.

Ma motivations sembla lui redonner le sourire. Il attrapa ma mains et se releva a son tour.

Boruto : tu n'as pas peur ?

Sarada : je n'ai rien a perdre.

Boruto activa alors sa pupille et cette fois suivie les indications a la lettre, et ainsi, le trajets verre le cœur nous sembla bien cours. La, au milieux d'une stèle, une petite boule difforme que nous aurions pue porter dans nos mains nous y attendais. Mais alors que le blond pointa un rasengan sur lui, des lianes tranchante en sortir. Boruto manqua de s'y empaler. Nous humes tout deux un mouvement de recule. C'était comme un mécanisme de décence, des que nous tentions de nous en approcher, les conséquence ne tardaient pas a tomber et nous subissions instantanément les représailles. Comme un mur qui nous séparaient de notre objectifs. Nous attaquions avec de plus en plus de technique, suivie de sentaine de façons différente. Boruto commençais a perdre sérieusement pacence et il s'en approchais de plus en plus comme une brute, subissant a chaque fois attaque après attaque. Pire encore, les attaques de l'adversaire étaient intelligente et réfléchis, comme si a chaque fois, il gagnait en expérience.