Game Over

Au Claire

Boruto : tu vas me faire la gueule encore longtemps ?

On était en route depuis déjà plusieurs heures, et je ne lui avais pas dit un mot, malgré ses tentatives d'engager la conversation.

Boruto : écoute, je sais que tu m'en veux, mais il faut dire les choses telles qu'elle le sont. J'ai fait une erreur. Toi et moi, ça n'aurais jamais dû se faire.

C'était trop, je me retournai vers lui et lui envoyai une gifle monumentale.

Sarada : on avait dit que c'était juste un coup D'un Soir, encore là, je veux bien. Mais t'as même pas les couilles d'assumer.

Boruto : assumer quoi ?!

Mais ce n'est pas croyable, il avait vraiment un don pour m'énerver.

Sarada : j'en sais rien moi, peut-être assumer que t'es entrer dans ma douche, que tu m'as toucher, que tu m'as fait l'amour et que t'en a redemander !

Il détourna le regard.

Boruto : et tu veux quoi ?! Que j'en sois fière ?! Tu te rends compte que j'ai couché avec la fille de mon mètre ?! Je comprends maintenant pourquoi mon père ne voulait pas que je t'emmène ! Si tu voulais juste aller voir ailleurs, t'aurais pu trouver quelqu'un d'autre.

Sérieusement ? Il venait vraiment de dire ça ?!

Sarada : c'est bizarre, mais tu n'avais pas l'air de dire la même chose cette nuit. Étrangement, ce genre de détails ne semblait pas te choquer plus que ça !

Boruto : j'ai juste fait ce que j'aurais fait avec n'apporte qu'elle autre fille. J'ai juste oublié que c'était toi la femme en question. Si j'avais percuté plus tôt, j'aurais jamais fait ça.

Une larme coula sur ma joue, puis une suivante vain rejoindre sa jumelle. Quelle enflure, mais quelle enflure. Pourtant, je ne croyais à aucun de ses mots, ma fierté m'empêchait d'y croire.

Sarada : Faire quoi ?

Il ne prit même pas la peine de répondre et accéléra le mouvement, mais je le rattrapai rapidement.

Sarada : réponds ! Faire quoi ?!

L'on connaissait tout deux la réponse, mais je voulais l'obliger à le dire. Comme ce besoin malsain de l'enfoncer.

Boruto : je n'aurais jamais dû te sauter dessus ! Ça te vas ?!

J'aurais cru éprouver plus de satisfaction à cela, d'habitude, j'aimais gagner, mais cette victoire la, me laissait un goût amer.

Sarada : non. Ça ne me va pas. Ce que je vais te dire n'a s'en doute aucune importance, mais moi, ce qu'on a fait, j'ai adoré, et j'aurais voulu que le soleil ne se lève jamais. Ça m'as vraiment fait plaisir qu'un homme, pour une fois prenne soin de moi. Désolé que tu n'es pas partagé le même enthousiasme que moi.

Sur ces paroles que j'avais prononcées d'un ton calme, mais classant, je ralentissais légèrement pour que l'on ne soit plus à côté. J'aurais préféré accélérer et le planter là comme le con qu'il était, mais on ne va pas loin sans carte en général...