Jour 110

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La tete qui tourne je m'écroule. Emportée par un courant d'obscurité. Paupières closes. Les pupilles au repos. Le tissu de l'oreiller contre ma joue et la couette contre mon corp sont des sensations si douces. La douleur frappe mon crâne. Et j'essaie de m'envoler vers les sous sols de mon esprit. En chercher les profondeurs. Peut être un abysse sans fin. Une abime infinie d'obscurité et de douleur. Une infinie abyssale sombre dans une âme perdue.

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