Jour 23

330 7 0
                                    

Le maquillage coule. Je mettrai du fond de teint pour cacher ma peine. Et du mascara pour noyer mon regard brumeux sous le noir. Cette pression sur mes épaules ne fond que rabaisser ma propre estime. Tu m'as redonner un goût. Mais jamais tu ne pourrais m'écouter jusqu'au bout. Jusqu'à ce que je craque complètement. Les implosions se font multiple. Mais ce qui sommeil en moi est terrible. Un champs de ruine. Tout ça n'a aucun sens mais pourtant tout est lié par le fil conducteur de la douleur. Cette douleur je la sens s'estomper de temps à autres. Quand j'aperçois ce nouveau visage.

365 joursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant