En haut du phare noir et blanc, la vue est imprenable. La douce frontière entre mer et terre. Entre l'azur et la forêt. Le vent joue. Et ce vide. Il est la sortie d'un labyrinthe de souffrance. Pas l'unique, mais une d'elles. Un labyrinthe construit tout au long de mon existence. Est ce que je l'ai construit seule? Ou alors m'y a t'on aidé? Meme les lignes droites en font parti, de ce labyrinthe. Les virages un nouveau questionnement. Un détour vers une autre ligne droite. Et là, devant mes yeux, une porte. Vers la fin. Pas la réussite, mais juste une fin.