Casa de Papel

Chapitre 50

** Quelques part **

5 mois plus Tard !!!

RIO

Attachés les mains a des chaines suspendu en l'air debout dans ma propre sueur. J'ignore depuis combien de temps je suis enfermé ici. Les jours passent et se ressemble et c'est un cercle sans fin. Tout les jours la même chose les mêmes visages. Cette odeur nauséabonde que dégage cet endroit ainsi que mon odeur personnelle.

Les questions sous la torture je reçois un sceau d'eau glacé sur le visage qui me fait revenir a moi. Mes yeux son fatigués et s'ouvre a peine.

Je suis fatigué de tout ça.

Pourquoi moi ?

Tant de questions ?

Ou sont les autres ?

Que font 'il ?

Ou est Tokio ?

Celle que j'aime corps et âmes nous a mis en danger et c'est moi qui suis ici maintenant même si je suis là enfermé et torturé sans cesse je ne lui en veux pas.

Je n'y arrive pas je l'aime tellement que je ne peux pas la haïr.

Une femme aux cheveux long roux enceinte jusqu'au cou me regarde avec un sourire.

_ : Alors comment va tu Rio ?

Rio : ..

_ : Ou est le professeur Rio ?

Rio : Je ne sais pas ou est le professeur

_ : Ou est le Professeur

Rio : Je ne sais pas

_ : écoute moi Rio plus le temps passe moins j'ai des infos et je suis obligé de te faire ça et ça ne me fait pas plaisir. Enfin si un peu quand même

Rio : ....

_ : Je suis sure que si on te détache tu ne tient pas debout non

Rio :....

_ : Tu sais Rio je suis sure que tes copains a l'heure qu'il est doivent s'éclater comme des fous sur le iles de paradis et toi tu es là et personne ne pense a toi tu es seul tout seul et Tokio alors Hein c'est a cause d'elle que tu est ici ..

Rio :...

_ : Ce n'est vraiment pas cool tu es si jeune et si beau enfin moins maintenant et tu ne sens pas très bon non plus franchement Rio il suffit d'une réponse et POUF tout est finis

Rio : ...

_ : même Tokio ta chérie dois être loin elle qui t'aime enfin t'aimais elle a du passer a autre chose maintenant c'est triste

Rio : ...

_ : Ou est le professeur ?

Rio : Je ne sais pas

_ : Dans ce cas tu ne me laisse pas le choic

Je la regarde s'en aller mais je sais que ce n'est pas terminé loin de là. On me détache peu de temps après on m'aide a rester debout. Je marche dans le couloir sombre et je passe une porte et le soleil m'aveugle et me brûle les yeux. Je ne suis pas en Espagne c'est certains. Un homme me tend une pelle.

Lui : creuse

Rio : ...

Lui : CREUSE

Je m'éxcute et creuse un trou avec le peu de force qu'il me reste. Me trou assez grands il jette une caisse en bois ce qui ressemble a un cercueil.

Lui : ENTRE

J'entre dedans et m'allonge et il ferme et la recouvre de terre. J'ai beau hurler de désespoir mais personne ne m'entend je suis seul ici dans un endroit inconnu et je sais que c'est la fin.