Blind eyes

2.2019 Absquatulate

Partir sans dire au revoir 

25avril 2019

Voilà maintenant plus d'un mois que je voyage aux quatre coin du monde dans le but de brouiller les piste. Je suis à bout de nerfs. Je suis fatigué et mon ventre commence à me créer des douleurs. Les nausées ont encore persistées pendant la première semaine de mon trajet ce qui n'a rien arrangée à ma situation.

Il y a dix jours il a failli me retrouver. J'étais sur le tarmack dans un aéroport à Bangkok quand j'ai entendu des cris derrières moi. C'était des agents de la sécurité de l'aéroport qui m'appelaient heureusement j'ai put me dépêché de rentrer dans le petit avion où le pilote avait déjà tout préparé et était prés à décoller. Mon coeur battait tellement vite à l'idée qu'il soit présent lui aussi dans l'aéroport, je savais pourtant qu'il ne pouvait pas être, les blessures que je lui avait infligées devaient le forcer à le rester alité pendant un moins.

C'était le temps que je m'était laissé pour changer d'avion dans le monde entier. J'étais parti de la pleine Sibérie où j'avais vécu pendant un an enfermée par le bon vouloir de mon mari. L'avion m'avais emmenait jusqu'à un petit aéroport en Bretagne s'ensuivi ensuite des changement de Jet privé et de pilote à Santiago, Hanoi, As Sib, Luanda, York Östersund, Medellin, Bangkok, Pointe-a-pitre et enfin me voici à la fin de mon long même très long trajet qui m'a exténué dans un petit aérodrome à deux heures de Toronto.

Une petite voiture semblable à celle qui m'attendait à la lisière de la forêt se trouve devant la sorti de l'aérodrome. Je sors les clés de la pochète qu'Aurel m'avait laissé dans mon premier avion et fini par trouver celle qui correspond à ma nouvelle voiture. Elle est passe partout, blanche, ni trop grande ni trop petite. Je souris quand je vois le siège auto pour bébé installé à l'arrière. Aurel à vraiment pensé à tout il faudra que je l'en remercie, même si j'ai déjà deux cents bonne raisons de le remercier je conte bien l'ajouter à la liste. En ouvrant la boite à gant je retrouve un passeport de nationalité Canadienne au nom de Gabrielle Lina Perkins ainsi qu'un téléphone jetable et un petit papier avec un nouveau numéro inscrit dessus. Je commence à me le répéter plusieurs fois dans l'intention de l'apprendre par coeur, comme ça je pourrais bruler le papier et il n'y aurait plus de risque.

Aurel ne c'est pas occupé de me trouver une maison. Nous étions d'accord sur le fait que je me débrouille la dessus car même lui ne devait pas connaitre exactement l'endroit ou je me trouvais au cas ou quelque chose de grave lui arrivait. Du genre ton enfoiré de mari qui découvre la supercherie oui de ce genre là. Aurel sera obligatoirement soupçonné mais nous avons fait en sorte qu'il n'y ai aucune trace de son implication dans ma fuite. Il était lui aussi présent dans la traque qui c'était dérouler dans la forêt et ne m'adressait plus la parole depuis douze mois.

Cette période avait été très dur pour moi. Contacté Aurel, mon meilleur ami, revenait à jouer aux agents secrets. Nous devions tout faire pour qu'il ne s'en rende pas conte. Il était devenu tellement obsessionnel depuis cette instant où tout avait basculé qu'il ne laissait même pas Aurel me tenir compagnie plus d'une heure toutes les semaine.

J'enfouit ces mauvais souvenirs au fond de ma tête et je décide donc je prendre la route qui risque d'être longue. J'ai décidé de me diriger vers le Sud et je m'arrêterais quand j'aurais trouvé un lieu qui me conviendra. Je ne conte pas trop m'éloigner de la métropole car c'est un moyen de me cacher au milieu de la population si il se passe un imprévu. Néanmoins je ne peux et ne veux pas habité dans une grande ville tant que je ne suis pas repéré. Le connaissant il va mobilisé toutes les caméras de surveillances des métropoles du monde et engager un harcenal d'information chargé de me retrouver sur l'une des caméra.

Vers 21h après deux heures de routes je décide de trouvé un motel où passer la nuit et de m'acheter les vitamines nécessaires au bon déroulement de ma grossesse.