Parcours d'un Gigolo

Désir, 2e partie

À peine quelques pas, je commence à sentir les effets du sextoy que j'avais mis, donc je m'arrêtai un instant pour essayer de calibrer les vibrations par rapport à mes mouvements, histoire de pouvoir arriver convenablement jusqu'à cet immeuble sans "difficultés" ni éveiller les soupçons. Mais hélas même en étant immobile, les vibrations ne cessèrent point, j'en déduis rapidement que le fonctionnement de cet accessoire n'était pas le même que celui des boules geisha, il était électronique et j'ignore comment je l'ai activé.

La sensation était à la fois très agréable et stressant, il était pile placé sur une zone érogène de mon vagin, je ne tarda pas à commencer à mouiller. Je me retournai pour jeter un coup d'œil vers max qui me fit un coucou de la main, avant de me remettre rapidement en route en me dépêchant pour pas m'attarder car en plus de mon accoutrement et de cette chose en moi perdre du temps ce serait très délicat.

Malheureusement dans l'état où je suis, c'est plus difficile à imaginer qu'à réaliser. Vêtue d'un pull que je retenais tant bien que mal pour évité d'exposer mes fesses, j'avais quand même l'impression d'être entièrement nue, sans compter qu'il faisait très froid. C'est bien plus embarrassant que je ne le pensais, je ne peux pas croire que je suis entrain de faire ça. Je continue de marcher la tête bien droite, le visage le plus sérieux possible, mais je ne m'empêcher de lorgner un peu partout à cause de cette impression que les gens me regardent.

Bizarrement je ressens de la joie, de l'excitation et un sentiment de liberté, à chaque pas j'ai l'impression de gagner en confiance et en assurance.

Soudain j'ai l'impression que les vibrations du sextoy s'intensifient. De plus en plus de "jus" coule sur mes cuisses qui se mouillaient et se séchaient sans cesse lorsqu'elles se frottaient l'une contre l'autre à cause de l'air froid, et elles étaient un peu collantes. J'étais progressivement noyé dans un sentiment de réjouissance inégalable, le plaisir était exquis.

J'étais enfin arrivé à destination. Même si je ne savais rien de cet endroit, je sais que c'est pas "trop commun" de croiser des gens dans le hall ou les escaliers des immeubles, j'avais la certitude que les locataires seraient dans leurs appartements. Donc c'est avec une légère assurance que je me faufila à l'intérieur car la porte était légèrement entrouverte, puis avant de poursuivre le défi, je jetai un œil au dehors pour vérifier si je n'avais pas éveiller la curiosité des gens mais aussi connaître la position de Max qui devait me suivre.

Mon constat était satisfaisant j'avais pas l'impression d'avoir merdé et j'aperçus Max au loin qui arrivait tranquillement penché sur son téléphone. J'avais toujours le mien sur moi que j'avais plongé dans mon soutien gorge entre mes seins qui vibra. C'était un texto de Max:
- Fier de toi, ne m'attend pas, poursuit, je les prendrai, bonne chance.

Ça me fit sourire et me motiva aussitôt. Et c'est sans gêne que je me débarrassai vite fait de mon pull et du soutif, mais aussi de mes chaussures. Je me dirige vers les marches et j'entame mon ascension.

Les lumières étaient éteintes donc ça avait l'air facile, je m'éclairais à l'aide de l'écran mon phone pour ne pas allumer la flash. Mais arrivée au premier étage, les lumières s'allumèrent brusquement, et des voix se furent entendre. J'étais paniquée, stressée et tétanisée mais il fallait que je réagisse vite. Je distinguai que le bruit venait d'un des appartements de l'étage où je me situais, des gens allaient sortir car le crochet de la serrure se fit entendre. C'est alors qu'avec un réflexe presque surhumain que je fonçai promptement et trés habilement vers l'étage supérieure.

J'y étais arriver sans me faire remarquer, un peu essoufflée par ce léger effort en plus j'étais pris d'euphorie et excitée. Je m'adossai contre un mur pour reprendre mon souffle mais aussi car j'avais la chatte qui me demangeais à cause du vibro, c'était très insoutenable et j'avais envie de me caresser depuis tout à l'heure. Je me suis à peine effleurée que tout mon corps se mit à trembler. Je serrais mes jambes comme quelqu'un qui a une forte envie de pisser tout en me pinçant les seins. Mais me ressaisis vite fait et décide de continuer la montée avant d'avoir d'autres surprises.