Dans ton silence, cruel, je m'ennuie tellement...
Ton mépris est une injure ô combien infâme
Pour celle qui voulait t'offrir toute son âme,
Hélas, je crois comprendre que de mes sentiments
Tu creuses le tombeau, le cœur indifférent.
Et bien je m'y laisserai choir, sans reculer
Devant la peur de m'abandonner au destin,
Le sort que tu m'infliges, ô méprisant dessein,
Je m' y abandonnerai, je l'embrasserai,
Avec la douceur que j'aurais pu te donner...
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NYMPHOMANIA
PoetryPoèmes qui n'auraient pas dû être écrits et qui ne devraient pas être lus.