Chapitre 3 | Notre équilibre

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Shinso s'enferma dans da chambre et sauta sur son lit, le pelage doux de son chat calmant déjà le surplus d'émotion qui se dégageait dans son corps. Le felin alla se blottir dans ses bras, ce dernier c'était Ame, se dit "amé", il l'avait récupéré dans une ruelle il y a trois jours.
Shinso rentrait sans arret avec des chat a la maison. Son père ne disait rien, d'une car lui aussi était un férus de ces adorable petites boules de poiles, et aussi car il avait du mal a interdire quoi que ce soit a Shinso depuis l'incident. Pas l'accident. L'incident.

L'adolescent regardait le plafond, remettant son casque sur les oreilles et lançant sa playlist, l'animal maintenant assis en boule sur son ventre.

Après la mort de sa mère, il avait essayé d'haïr l'humanité toute entière, mais ce n'était pas gagner. Il avait eu besoin de quelque sur qui rejeter la faute, pour ce libérer du fardeau de la culpabilité, de la haine de la colère qui l'animait. Il avait besoin de détester quelque un sinon c'est lui qu'il détesterait, et il savait qu'autant il aurait du mal a faire physiquement du mal a n'importe qui, autant lui, il aurait pu facilement commencer a se blesser. Alors pour se préserver, il avait chercher.

Present Mic avait presque demander a ce qu'il soit son bouc émissaire.
C'etait seulement quelques jours après la mort de sa figure maternelle. Shinso n'avait pas, tout du moins peur parler depuis l'annonce de sa mort, il avait chercher de quel manière survivre a cette épreuve. Il avait surpris une discutions entre son père et Yamada. Il conaissait plutôt bien le blond, c'était le meilleur, et un des seul vrais, ami de son père. Mic avait toujours fait partit du decors de la famille, en fond de toute les photos, ou alors tenant l'appareil, présent a tout les anniversaires, il passait les dernières seconde de chaque année avec lui au nouvel ans, il l'appelait même "tonton" quand il etait plus jeune.

Apres le départ de madame Aizawa forcément qu'il avait eu une discutions avec le héros vocal, ce dernier était l'opposé de son père, mais ca lui avait fait énormément de bien de pouvoir avoir des conseil de quelque un autre, une autre manière de voire les chose, de parler. Yamada souvent avait les gestes quand Aizawa avaient les paroles, beaucoup commentaient le duo en parlant d'opposition, Shinso voyait plutôt la de la complémentarité. L'un avait ce que l'autre n'avait pas, il ne savait pas si les deux amis l'avaient compris, mais plus il grandissait et comprenait les relations humaine, plus le violet avait l'impression que l'évolution de ses deux ne se fesaient qu'ensemble. Yamada ouvrait Aizawa au monde, Aizawa calmait ses émotions souvent trop intense. Petit, Shinso ne comprenait pas qui était "tonton Zashi'" pour son père, ce dernier ne semblait pas le porter dans son coeur, pourtant le blond était invité a chaque petite fête de famille, souvent quand il rentrait de l'école et que son père était deja a la maison, il retrouvait Hizashi accoudé au bar a faire bruyamment la discutions. Souvent il semblait parler tout seul, Shota ne répondait même pas, mais par ces yeux d'enfant, Shinso comprenaient qu'ils communiquaient.

Present Mic avait été une figure importante pour lui, pas aussi forte que celle d'un parent, mais lui aussi constitué un des pillier de sa structure en tant qu'être humain, et en tant qu'enfant, il lui était maintenant indispensable.
Yamada savait si faite avec les enfants, il savait s'y faire avec tout le monde aussi. Il etait drole, bruyant certe mais tellement amusant ! Gaffeure mais tendre et plus démonstratif que son père, bien que l'enfant n'ai jamais chercher en Yamada un remplaçant de son père. Il aimait Aizawa comme tel, et il aimait Yamada comme son oncle, son ami son parrain... qu'importe.

Alors oui, la discutions l'avait détruite.
Il était sortie de sa chambre après avoir entendu le hero vocal arriver, il se disait que peut être lui arriverais a changer ses idées noire que le deuil lui avait apporté.

Hitoshi n'avait compris que quelque bribes de conversations, les réponses de son père étaient moins perceptibles, mais de nature bruyante, les phrase du blond était très compréhensible.

A nos années académiques Où les histoires vivent. Découvrez maintenant