Bonus 3

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Lettres lues

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Lettres lues.

Larmes échues.

Hannah fut la première à découvrir cette lettre située sur son bureau en chêne.

Elle aurait voulu faire la misère à sa sœur étant donné que nous sommes le six mai.

Or, un peu tard.

Elle prit la lettre qui lui étais destiné avec un sourire large aux oreilles.

Elle ne pensait pas un seul instant que tout aller changer.

Assise sur son lit encore chaud, elle dépliât la lettre rapidement.

Ses yeux descendirent rapidement jusqu'à « Tu pourras toujours me chercher, m'appeler, mais je ne brillerai pas ».

Le rythme cardiaque de la jeune femme augmenta de plus en plus jusqu'à ce qu'une première larme tombât au creux de cette lettre.

Tout était fini.

Elle courut et ouvrit la chambre de sa sœur.

Rien n'avait bougé, tout était en place sauf une armoire ouverte avec quelque affaire lui appartenant.

Elle se laissa glisser contre la porte et pleura.

Un chagrin enfoui profondément.

Comment ne pouvait-elle pas voir que sa sœur préparait cela ?

Pourquoi n'avait-elle pas joué le rôle de grande sœur ?

Le souffle coupé, elle n'arrivait plus à franchir le pas, comme si elle était bloquée dans l'univers de Riley.

Cet univers qu'elle ne connaissait pas étant centrée sur elle-même.

**

Les larmes ne font que couler.

Ce fut également le moment pour Veronica et John, les parents de Riley, de découvrir cette lettre déposée soigneusement sur le cadre.

Ce cadre où étaient photographiés Veronica, John et Hannah. Le trio qui a fait battre l'envie de sacrifier pour vivre un monde meilleur.

Dépliée, la lettre eut également des gouttes d'eaux salées.

Aucun son de sortait.

La mère de Riley s'écroula en se remémorant cette phrase terrible qui déchirera son cœur meurtri : « Je suis née pour mourir ».

Quant à John, il prit la fuite comme si son cerveau avait effacé ce qu'il se passait.

Par instinct, Veronica se dirigea tant bien que mal auprès de son autre fille.

Découvrir qu'elle aussi avait mal, ne lui redonna pas de sourire.

Toutes les deux, sur le lit de Riley, pleurèrent toutes leurs larmes.

« Une fois que nous ne sommes plus auprès des gens qui nous entourent, c'est à ce moment-là que nous comptons le plus pour eux. » Laplumeecrivaine

 » Laplumeecrivaine

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