Chapitre 2

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Dans cette maison, chacune avait sa chambre, bien évidemment nous travaillions dans le même restaurant comme serveuse, et après le taf au restaurant, nous partions dans la même université. Les gens de l'université étaient plutôt surpris de voir une amitié aussi solide constituée de cinq filles, de nature, les filles s'entendent difficilement entre elles, tout simplement à cause des ragots, les coups bas...mais entre nous c'était différent, nous étions unis, solidaire, lorsque une a un problème sur le cœur, elle l'expose directement et ce problème est immédiatement résolu, pas de rancunes.

Chaque week-end nous partions en boîte de nuit, chacune se retrouvait en fin de soirée avec un homme dans son lit, pour une fois ce n'était pas nous les proies, mais plutôt les hommes, l'humanité s'est habitué à l'idée que ce soit des hommes qui e...

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Chaque week-end nous partions en boîte de nuit, chacune se retrouvait en fin de soirée avec un homme dans son lit, pour une fois ce n'était pas nous les proies, mais plutôt les hommes, l'humanité s'est habitué à l'idée que ce soit des hommes qui entrent chaque soir avec des femmes alors, pour changer les choses, c'est nous qui le faisions et nos vies étaient pleines d'adrénalines.

nous vivions à cent à l'heur, le sex a gogo, la bouffe, l'alcool, tout était à la pointe, souvent nous organisions des partouzes, les hommes se sentaient dans un arène avec à la récompense cinq filles bien chaudes prêtent à sentir un truc passé en...

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nous vivions à cent à l'heur, le sex a gogo, la bouffe, l'alcool, tout était à la pointe, souvent nous organisions des partouzes, les hommes se sentaient dans un arène avec à la récompense cinq filles bien chaudes prêtent à sentir un truc passé entre leurs jambes, cette vie nous a même poussé à avoir des rapports sexuels entre nous, en plus d'être frivole nous étions aussi des lesbiennes.

Je me rappelle de la première fois j'ai eu des rapports avec une femme, c'était précisément avec Mondesire, cette belle fille au forme naturellement complet, c'était la big ass b*tch de la fratrie, j'oublierais jamais comment elle s'y est prise avec moi. Mondesire me faisait ma pédicure, j'étais assise  sur mon lit et j'avais posé mon pied sur ses jambes, elle prenait soin de mes pieds avec tant de délicatesse, de sa chaise Mondesire voyait très bien entre mes jambes, d'un regard très lent, elle commençait à me déshabiller dans son imagination, je voyais clairement dans le jeu de sexualité qu'elle commençait à jouer, alors pour faciliter les choses elle m'a servie un verre d'alcool.

Après m'avoir nettoyé les ongles du pied, Mondesire a commencé par mettre mon orteil dans sa bouche, déjà qu'elle me chatouillait les pieds juste au toucher, avoir mon orteil dans sa bouche était d'une sensualité énorme, elle me suçait les pieds comme s'il y avait un jus sucré qui y sortait, à ce moment-là, je n'étais pas vraiment excitée, cela me chatouillait juste et ça s'arrêtait là. Mais plus elle continuait de me caresser et plus je commençais à sentir qu'il se passait un truc à l'intérieur de moi, étonnant, mais je commençais à mouillée, sur le coup, je paniquais, j'avais peur d'être attirée par une femme, j'avais peur d'être lesbienne.

Mondesire était une fille alors elle savait pile-poil où me toucher pour me faire de l'effet, elle attaquait directement mes points sensibles, elle s'est rapprochée de ma ch* tte avec sa tête « enlève ton caleçon pétasse !» me criait Mondesire, c'est drôle mais j'ai aimée la voir me parler avec autorité, j'ai donc pas hésité à retirer mon caleçon, elle me regardait avec un air de requin affamé, j'avais les jambes écartées, j'étais prête à savoir comment sera ma première fois avec une personne du même sexe que moi, j'étais enthousiasmée, elle savait que je mourait d'envie de sentir sa langue sur mon cl*to, elle savait que plus elle perdait le temps la tête face à ma ch*tte et plus mon excitation grimpait.

Mondesire n'avait pourtant pas encore posée sa langue sur mon cl*to, mais j'étais complètement entrain de fondre au simple fait de sentir l'air chaud de sa respiration me frappé, il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle se décide à me lécher, j'avais déjà reçu des cunis mais cette fois c'était fait dans les règles de l'art, le temps prit entre chaque coup de langue était juste parfait, Mondesire s'y connaissait très bien, j'avais l'impression qu'elle connaissait mon corps sur le bout des doigts, une main posée sur mes seins, la langue sur mon cl*toris, elle me léchait avec grâce, je tremblais de joie, c'était le préliminaire le plus long et lui plus impeccable de toute ma vie, elle m'écartait les jambes, et c'était suffisamment spacieux pour qu'elle le fasse sans être gênée, avec ses ongles si long j'avais peur qu'elle introduise ses doigts dans ma ch*tte, j'avais plus peur qu'elle me blesse mais c'était douter de l'expérience de Mondesire, elle savait très bien ce qu'elle faisait, et vu que nous étions de la même fratrie depuis petite, je me suis abandonnée à elle.

Elle a directement commencée à m'introduire deux doigts, je la sentais me touchée jusqu'au fond, de ma main droite je l'ai saisie pour qu'elle l'enfonce encore plus en profondeur, je mouillais comme une idiote, je pleurais en même temps tellement les sensations étaient plus fortes que moi, ses doigts entraient et sortaient de ma ch*tte au rythme d'un yo-yo, elle me léchait, elle appuyait mes seins, tout ce mélange me faisait perdre la tête, lorsqu'elle a retirée ses doigts, ils étaient recouverts d'une sorte de liquide visqueuse, cela provenait de ma ch*tte, toute en sueur, je la regardais droit dans les yeux, elle m'a lancée un petit sourire mesquin avant de mettre ses doigts remplis de ma mouille dans sa bouche, elle s'est léchée les doigts comme si elle avait du miel qui lui coulait sur les doigts, j'étais étonnée, j'étais surprise même, par la suite Mondesire a commencée à se déshabiller, si j'étais un homme je l'aurai chevauchée jusqu'au levé du soleil, elle avait une très belle forme, j'étais peut-être une femme comme elle mais face à ses atouts naturels j'abdiquai, son corps ne m'attirait pas, il me mettait juste au respect, avec ce petit bout de fil qui lui servait de string, Mondesire était très sexy, elle était arrêtée devant moi complètement nue, «Lève-toi et vient m'embrasser» disait Mondesire, la bouche ouverte je descendais du lit, et je me rapprochais lentement d'elle...

Fratrie Sœurs de Sang Où les histoires vivent. Découvrez maintenant