C'est l'histoire d'une jeune fille orpheline prénommée Isabella, qui n'a grandie que entouré de ses quatre amies qu'elle a rencontré à l'internat, a cinq elles formaient une sérénade appelé "la fratrie". Les années sont vite passé et le groupe d'ami...
Je commençais a me torde de douleurs a cause de mes talons, toute en sueur, j'ai commencée à les enlever, il commençait à pleuvoir, décidément ce n'était pas mon jour de chance,. J'étais trempé comme une feuille, mais cela ne m'empêchait pas de continuer sous cette pluie, j'étais fatiguée de courir alors je marchais, je marchais lentement lorsqu'il a garé son véhicule devant moi en criant «qu'est-ce que tu fais sous la pluie, monte s'il te plaît Isabella !»
- Laisse moi tranquille , répondais-je
- Arrête de jouer la tête de mule, il pleut des cordes alors s'il te plaît monte dans la voiture, tu vas attraper froid.
Je m'en foutais totalement de ce qui pouvait m'arriver, j'avais juste pas envie d'être à côté de lui, je voulais rentrée chez moi, pendant que je marchais, il me suivait avec sa voiture, la vitre baissée, il n'arrêtait pas de me supplier de monter, mais comme un arbre, j'avançais sans prêter attention à ce qu'il disait.
Il a perdu patience et il a coupé le contacte, il est descendu de la voiture, je marchais toujours lorsqu'il m'a attrapé par la main, je tremblais de froid, il m'a soulevé de force et il m'a ramené vers la voiture, je n'arrêtais pas de le supplier de me lâcher...
- Laisse-moi tranquille fils de pute ! Je ne veux pas montée dans ta salle voiture, fait moi descendre !
C'était à son tour de m'ignorer, et il le faisait très bien, malgré les coups que je lui donnais dans le dos, tout ça avait l'air de le chatouiller, il continuait de marcher comme s'il portait un petit sac sur l'épaule, lorsqu'il est arrivé au niveau de sa voiture, il a ouvert la portière et il m'a jeté de force à l'intérieur en criant « reste tranquille !»
- Non, je ne suis pas ton enfant alors ne me dit pas ce que je dois faire, j'ai pas envie de monter dans ta voiture alors laisse moi descendre !
Je le poussais avec mes pieds, il a fermé la portière, je criais de toute mes forces mais le froid m'avait prit, je commençais à vraiment me sentir comme dans un réfrigérateur, lorsqu'il est monté devant, il me regardait grelotter.
- Tu vois que tu es maintenant morte de froid !
- Ce n'est pas ton problème, laisse moi retourner sous la pluie !
En disant ça, je m'attendais a une réponse plutôt cute comme dans les films d'amour mais, le batard a appuyé le bouton juste à côté et il a ajouté «les portières sont ouvertes tu peux descendre si tu préfères être sous la pluie»
C'était mal me connaître, j'avais trop adorer la chaleur de la voiture mais, je ne pouvais le laissé avoir raison aussi facilement alors j'ai renversée la situation.
- Alors tu me chasses de ta voiture sachant qu'il pleut ! T'es vraiment une grosse merde !
- Qu'est-ce que tu racontes ? C'est toi qui as voulue descendre, je n'ai fait que te courir après.
- En gros tu veux dire que je suis une menteuse c'est ça !
- Mais qu'est-ce qu'elle raconte ?
- Bah elle dit à haute voix ce que tu penses tout bas !
- Mais non Isabella, moi je veux que tu restes et en aucun cas, je souhaiterais que tu partes sous cette pluie et tu le sais très bien.
- Sauf que toute à l'heure tu m'as demandé de sortir de ta voiture !
- Non, je suis désolé.
- M'adresse pas la parole, je te boude Ghislain !
Vous reconnaîtrez là le talent des femmes, la capacité à renverser la situation, mais pour que cela soit nickel faut que le mec en face t'aime vraiment, sinon ça mâchera jamais ! Il me regardait trembler avant de dire « tu peux enlevée tes vêtements mouillés ça t'aidera à avoir moins froid », nous étions deux dans une voiture garé dans un coin de la ville, et la pluie n'avait pas l'air de vouloir s'arrêter d'aussi tôt, en plus Ghislain ne pouvait pas conduire sous une pluie aussi violante.
- Si tu veux que je me déshabille pour tu me regardes, bah tu te trompes gros pervers !
- Non je ne te regarderais pas, je fixerais le volant jusqu'à ce que la fraîcheur descende de ton corps.
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Il a tourné sa tête et il regardait devant lui, le moteur de la voiture était éteint, les vitres étaient devenue complètement flow, j'avais toujours froid alors j'ai commencée à me déshabiller dans la voiture, on entendait que le bruit torride de la pluie à l'extérieur du véhicule, j'avais toujours froid, et Ghislain me demandait « ça va un peu mieux ?»
- Non, cette histoire de me demander d'ôter mes vêtements n'a rien changer à la situation, j'ai l'impression d'avoir plus froid.
- C'est normal, l'air est frais dehors, en plus cette pluie la n'est pas prête de s'arrêter d'aussi tôt.
- Tu savais tout ça et tu m'as demandé de me déshabiller ! Décidément je ne sais même pas pourquoi j'ai suivie ton conseil !
- J'ai une autre idée, et c'est un remède de mon arrière arrière grand-mère.
- Et c'est quoi encore cette arnaque ?
- Bah je te la monterais si tu me donnes l'autorisation de tourner ma tête.
- Ah tu veux profiter de ça pour me mater, t'es fou !
- Je te rappelle qu'il y'a moins de deux heures je t'ai vu nue alors arrêt.
- Bah désolé mais c'est déférent !
- Oh et qu'est-ce qui a changé ?
- Bah la première fois je voulais que tu me vois, par contre là j'ai pas envie que tu poses tes yeux sur moi alors ne mélange pas !
Il était complètement perdu dans mon explication, mais il n'a pas voulu me contredire alors il a continué de regarder devant lui sans broncher, le temps passait et j'avais l'impression de commencer à tomber malade, j'ai donc usée de ma dernière carte.
- Alors Ghislain, tu me montres s'il te plaît ton remède ?
Il s'est mit à sourire, et il a tourné sa tête pour me regarder, j'avais posée mes mains sur ma poitrine histoire de cacher mes seins, je le regardais et il avait ce regarde maléfique, et a travers ce regard je pouvais voir clairement qu'il préparait un coup foireux dans sa tête.
