Chapitre 8

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- Avant que tu ne pose la question, je préfère te le dire directement, tu es la source de cette œuvre, je l'ai écrite pour te rendre hommage, à travers cette œuvre j'ai laissé mon cœur prendre le stylo, je ne l'ai pas encore sorti, ce que tu vois là c'est la maquette.

Il accumulait des points positifs, le roman était si volumineux, je me demandais qu'est-ce qu'il pouvait raconté à l'intérieur, j'étais heureuse sans l'avoir lue. Le simple fait de penser que c'était en mon honneur me suffisait énormément, je le regardais me parler de ses œuvres, chose étonnante il ne m'ennuyait pas du tout au contraire, je le trouvais si cultivé, il avait l'air de tout savoir, il utilisait des mots que je ne connaissais même pas, je me sentais bête face à lui, je ne pouvais que répondre avec le sourire tellement j'étais perdue, comment un homme aussi beau et si cultivé peut se retrouvé célibataire, pourquoi je me pose cette question ? Est-ce que je serais en mesure d'y répondre s'il me la posait ? Bien évidemment que non, je ne saurais lui expliquer pourquoi je suis célibataire pourtant, j'en ai connue des hommes, j'ai été soulevée de plusieurs manières, que ce soit sur une table, dans une voiture, sur un parking, dans les toilettes d'un restaurant, sur une dalle, ahahah j'étais une vraie petite b*tch.

Pour éviter de tout gâcher, fallait que j'évite de poser des questions auxquelles moi-même je ne pouvais pas répondre, peut-être Ghislain me donnera ses réponses mais, est-ce que mes réponses à moi seront si douces à entendre ? Est-ce qu'il voudra continué avec moi s'il découvrait que j'étais du genre libérale, et que mes jambes étaient comme un coffre fort sans code de sécurité, tout le monde entre et sort quand il le veut, je croyais que c'était moi qui gérait mes pulsions mais je me trompais, un doigt dans mon caleçon et je commence à mouiller, une fois tramper ma ch*tte est prête à recevoir un pilon à l'intérieur.

J'avais chaud alors j'ai posé le livre sur la table et j'ai retirée ma robe, il me regardait avec envie, il essayait de détourner le regard mais ses yeux finissaient par se reposé sur ma silhouette, et croyez moi j'ai arrêtée de douter des mes atouts lorsque je l'ai vue entrain de baver sur ce qu'il voyait.

- Qu'est-ce qu'il y'a ? Tu transpire là chéri, toi aussi tu as chaud ? Déshabille toi comme moi, d'une voix si sexy.

Il était assis sur le fauteuil et il se touchait le pantalon, il savait que j'avais des idées sombres, parce que ce string que j'avais portée ne tenait qu'à un fil, il était si fin qu'on ne voyait qu'une petite bande noir passée. Vu qu'il passait son temps à me regarder tout en se touchant la queue par dessus son jean, je me suis approchée de lui, lorsqu'il voulait se tenir debout je l'ai fait se rassoir avec mon pied que j'ai posée sur sa poitrine, lorsque je l'ai poussée avec mon pied, il s'est rassis, je me suis agenouillée face à lui et j'ai commencée à lui retirer son jean. Une fois la ceinture retirer, j'ai tirée son jean et je l'ai jetée très loin derrière moi, ses jambes étaient remplis de poils, j'avais l'impression de jouer avec la fourrure d'un caniche, sa queue était dressée, il avait les deux mains posé sur le fauteuil, j'ai pas tarder à introduire la glande de son penis dans ma bouche, je frottais cette glande contre toutes les parois de ma bouche, il adorait cela, je levais la tête pour voir ses expressions faciles, et de ce que je voyais il aimait ce qu'il ressentait.

Fallait que je le fasses grimper encore plus haut alors, je me suis abaissée davantage et j'ai commencée à lui sucer les couilles, pendant que je le suçais, j'utilisais mes doigts pour chatouiller le trait entre ses couilles et son anus, tout comme chez les femmes, cette partie est très sensible chez les hommes, alors imaginez les gémissements de Ghislain pendant que je le suçais et je lui chatouillais le périnée, c'était drôle mais ses gémissements étaient mélangés de rires, il était heureux, la question que je me posais pendant que j'avais sa queue dans la bouche c'est "pourquoi je me donnais autant de mal pour lui faire perdre la tête avec ma fellation ?" Peut-être je le faisais pour qu'il ne me jette pas à la poubelle après m'avoir b*iser, je me mentais à moi même, mais après je me disais "même s'il doit me fuir après tout ça, je garderais bien au frais dans un coin de ma tête ces bons moments alors autant mieux en profiter" .

Je le suçais avec acharnement, et je m'étais jamais autant appliquée sur une pipe, ma tête remontait et redescendait aussi vite qu'un marteau piqueur, je le suçais comme si ma vie en dépendait, c'est fou comment il avait une longue b*te, je la sentais entrée dans ma gorge, avec l'expérience que j'avais en pipe c'était très facile pour moi de m'empêcher de vomir, je marquais des pauses et pendant ces pauses j'enfonçais sa longue queue bien au fond de ma gorge, c'était un truc de malade de le voir vibrer comme un téléphone sur silence, il se pliait les orteils, il se tordait dans tout les sens, une force venant de son cerveau traversant ses cuisses tout en passant finalement par ses couilles, pendant que j'avais sa queue dans la bouche, il m'a jouir dans la gueule, j'ai follement adorée ce petit gémissement qu'il a émit pendant qu'il jouissait, c'était trop beau pour en rester là, j'ai continuée à le sucer, jusqu'à ce que j'ai tout le lait dans ma bouche, essoufflé il me regardait, j'ai soulevée ma tête et j'ai sortie ma langue, surprit il m'a dit « j'y crois pas, tu as avalée mon sperme ! »

- Askip c'est bon pour la santé alors, j'évite le gaspillage de vitamines.

Fratrie Sœurs de Sang Où les histoires vivent. Découvrez maintenant