Fratrie Sœurs de Sang

Chapitre 20

Après être sortir de la salle de danse, nous marchions mains dans la mains Ghislain et moi, nous sommes passé devant une librairie, où j'ai vu pleins de livre de Ghislain, mais ce qui a particulièrement attiré mon attention c'est ce livre intitulé "la vie après la mort", je me suis approchée pour le regarder de plus près, j'étais entrain de le feuilleter lorsque Ghislain est venu juste à côté de moi en disant :

— Tu lis quoi ?

— Je regarde juste ce livre, le titre a attiré mon attention j'ai pas pu m'empêcher de m'approcher pour le regarder de plus près.

— Tu devras le prendre alors.

— Oh non ne t'inquiètes pas, laisse moi le posé.

— Si j'insiste prend le, tu sais ce livre t'a parler en faite.

— Mdr qu'est-ce que tu me racontes encore là.

— Tu sais que je suis écrivain, et tout ce qui concerne les livres, bah je m'y connais et peut-être tu ne le sais pas mais les livres interagissent avec l'intuition, la preuve en est qu'il y'a plus de cent mille livres dans cette librairie mais, c'est celui là qui a attiré ton attention, ce qui veut dire que tu dois le prendre.

— En plus t'es sérieux dans ton explication, gros n'importe quoi, tu y crois toi ?

— Croire a quoi ?

— A la vie après la mort, tu y crois ? Tu crois en l'existence des esprits ? Tu penses qu'on rêve toujours lorsqu'on est mort ?

— Bébé, si tu veux avoir les réponses à tes questions, bah tu as juste à prendre ce livre, apparemment ça parle de tout ça si je me trompe pas.

— oubli le livre un instant et donne moi ton avis, je sais que pour écrire faut que ton esprit entre dans une autre dimension alors certainement tu t'es déjà posé ces questions, dit moi ce que tu as eu comme réponse.

— Pour répondre à cette question, il y'a déjà deux choses qui s'opposent.

— C'est quoi ces choses ?

— La raison et l'abstrait.

— Hum, s'il te plaît m'envoie pas trop loin dans ton explication hahaahaha.

— Non ne t'inquiète pas bébé, considèreront que la raison soit la science, nous sommes d'accord que la science c'est du concret, la science est palpable, et le corps humain est comparable à une machine, le moteur du corps est le cœur et la carte mère, celle qui permet de tout contrôler c'est le cerveau, nous sommes d'accord que lorsque une partie du corps est...

À ce moment là mon téléphone a sonné, j'ai du interrompre l'explication de Ghislain, croyez moi, moi aussi je mourrais d'envie de l'écouter terminé mais au téléphone Amanda m'a dit que Lucie avait fait un malaise et que je devais rentrer dans l'immédiat.

— Qu'est-ce qu'il y'a, demanda Ghislain.

— c'était Amanda au téléphone, elle dit que Lucie a fait un malaise alors je dois me dépêcher de rentrer, désolé mon cœur mais tu m'expliquera une autre fois ton point de vue sur ce sujet.

— Oui ne t'inquiète pas, j'espère que c'est pas quelque chose de grave.

— Je l'espère aussi.

Nous sommes sorti en toute vitesse de la librairie, j'ai même oubliée d'acheter le livre, je m'en suis souvenu lorsque nous étions dans la voiture, mais bon pas trop le temps d'y penser, je viendrai le cherché le lendemain, lorsque nous sommes arrivé à la maison, Lucie était couchée sur le fauteuil, je me suis précité a ses côtés.

— Comment tu vas ma Lucie ? Qu'est-ce qui ne va pas ?

— Merci d'être venue aussi vite, je ne me sentais pas très bien, je me suis même évanouie.

— Dit moi maintenant comment tu te sens ?

— Je vais beaucoup mieux maintenant.

— Tu as besoin de quelque chose ?

— Non je veux juste que tu restes à mes côtés.

— D'accord ma Lucie, je serais là aussi longtemps que tu le souhaite.

Moi qui envisageais de parler aux filles du faite d'aménager avec Ghislain, le moment était mal choisi alors j'ai préférée laisser tomber, Ghislain était toujours là alors je lui ai demandée de partir.

— Tu peux rentrer te reposer mon chéri, merci pour ces moments je t'aime.

Il m'a fait un bisou sur le front et il a attrapé la main de Lucie en lui disant « prend soins de toi », lorsqu'il est parti, Lucie m'a fait de la place juste à côté d'elle, alors j'ai profité pour me coucher à ses côtés, j'étais tellement épuisé que les heures se sont écoulées. Lorsque j'ai ouvert les yeux nous étions le matin et il était précisément 10h, Lucie s'était apparemment réveillée bien avant moi, je ne l'ai pas trouvée à mes côtés, alors je suis montée et j'ai ouvert la porte de sa chambre, elle prenait son bain, j'ai donc crier :

— Lucie comment tu te sens ?

— Isabella c'est toi ? Je vais très bien merci d'être rester a mes côtés, t'étais épuisée j'ai préférée te laisser dormir.

— Oh ne t'inquiète pas pour moi, aller je vais prendre ma douche, je dois aller faire un tour dans une librairie.

— Je t'aurai accompagné si c'était pour faire du shopping mais les livres et moi c'est pas l'amour.

— Ne t'inquiète pas, j'irai seule.

Lorsque je suis sortie de la chambre de Lucie, j'ai prise ma douche et je suis allée à la librairie chercher le livre que j'ai oubliée d'acheter hier, à mon arrivée dans la boutique, je me suis dirigée dans le rayon où j'ai vu le livre la veille, je ne l'ai pas trouvée, j'ai regardée absolument partout mais rien alors j'ai appelée le libraire, c'était un vieillard, il se déplaçait très lentement, on aurait dit qu'il a passé toute sa vie à lire des livres, il avait l'air de tout savoir dans les moindres détails...

— En quoi puis-je vous aidez jeune fille ?

— J'ai vu un livre intitulé "la vie après la mort" mais j'ai oubliée de l'acheter hier, alors je suis venue le récupérer mais je ne le vois pas, vous en avez d'autres exemplaires ?

— Désolé mais je ne connais aucun livre portant ce nom, encore moins dans cette librairie.