Chapitre 5

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Je sentis une lumière transpercer mes paupières, je grogna un coup. Puis j'entendis la voix qui était la cause de mon réveil.

Merlin : Debout !

Éléonore et Arthur, énervé : Je vais te tuer...

Je me redressa sans succès. J'avais dormit du côté droit du lit, Arthur lui avait du mit rejoindre dans la nuit. Il m'écrasait de tout son corps, étaler sur mon ventre, m'empêchant de me lever. Merlin se moqua de moi en riant aux éclats. Je me souviens alors du sujet «Merlin» d'hier soir...

Après avoir dit en revoir à Merlin, revenant vers Arthur, celui-ci était en colère. Il m'a emmené dans la chambre et ma demander pourquoi j'avais fait une bise à Merlin. Je lui ai t'expliquer et il a continué à me hurler dessus en disant qu'il allait tuer Merlin ! Qu'elle possessivité... Je plains l'homme que j'aurais plus tard, enfin si j'arrive à en avoir un avec cet énergumène ! Cette histoire dura une heure à peu près, avant qu'il se calme. Je venais à peine de connaître Merlin ! Lui dis-je, il m'expliqua que Merlin idiot comme il est va sûrement imaginer des choses ! Il est partit loin dans une folie que je ne comprenais point.

Maintenant, j'étais en train de fixer Merlin sans m'en rendre compte.

Arthur, énervé : Éléonore ! On ne va pas avoir la même discussion qu'hier soir ! Au moins je vais pouvoir le tuer de suite !

Il s'était redresser et me secouais par les épaules ! Et c'est repartit... Merlin ne comprenais plus rien, le pauvre... Après son nouveau caprice, nous déjeunons. Merlin fit des commentaires sur le poids d'Arthur, j'éclatai de rire. Je repensais à ce que m'avait dit Guenièvre. Merlin cherche à se faire pendre !

Merlin, amusée : J'ai failli oublié Éléonore, Gaius voulait savoir si tu voulais m'accompagner chercher des plantes dans la forêt.

Arthur le fusilla du regard.

Arthur, suspicieux : Vous ne saurez que tout les deux ?

Dans dessous la table, je mis un coup de pied dans son genoux.

Arthur, surpris : Tu es complètement folle ma parole ?!

Je l'ignora en tournant la tête vers Merlin, je l'entendis grogner un «gamine» entre ses lèvres.

Éléonore, souriante : Sa sera avec plaisir Merlin ! J'avais aperçu certaines plantes assez loin d'ici... Mais elles étaient très belles, j'aurais dû les cueillir... Nous devrions y aller, une journée devrait le faire !

Arthur : J'ai besoin de Merlin ! Je te rappel que c'est aussi mon valet !

Éléonore, moqueuse : C'est vrai que le prince ne peut rien faire tout seul sans son fidèle valet, qui lui est débrouillard...

Arthur, sûr de lui : Quelles sottises dis-tu ! Je peux très bien m'occuper de moi tout seul ! Prend Merlin tu verras que c'est un empoter !

Merlin et moi rions légèrement. Arthur avait oublié sa possessivité juste pour sa fierté, pauvre petit... Je finis de boire mon verre, pour me diriger ensuite vers l'habitation de Gaius pour que Merlin récupère ses affaires. Arriver mon vieil ami était en pleine préparation, il s'arrêta un instant pour me parler, le jeune valet alla dans sa chambre.

Gaius : Désolé Éléonore, je dois aujourd'hui finir des potions et les livrer à mes patients. Mon stock d'herbes est très bas... Merci d'aider Merlin !

Éléonore : Ne t'inquiète pas Gaius ! Je vais passer la journée avec Merlin ramasser les herbes !

Gaius : Toute la journée ?! C'est quand même très long...

Éléonore : Oui, je le sais, mais j'ai vus des plantes pendant ma route. J'aimerais y retourner pour les ramasser.

Gaius : Sa ne me dérange, je n'ai pas besoin de Merlin mais Arthur je ne sais pas...

Éléonore : C'est déjà régler ! Vous pourrez dire à Merlin de me rejoindre aux écuries pour qu'on prépare les chevaux ? Je dois aller tout d'abord aller prendre quelque chose.

Il acquiesça de la tête et je m'en alla vers les cuisine.

Je traversa les couloirs, sur le chemin je croisa Morgane et Guenièvre. Je leur expliqua que je ne serais pas là de la journée. Elles semblèrent déçus mais contente pour moi que trouve d'autres occupations que de rester au château. Continuant ma route vers ma destination, j'aperçus messire Leon ! Je n'avais pas encore eu l'occasion de le voir... Malheureusement, un autre chevalier arriva avant moi et ils partirent plus loi. Ce n'est pas grave, demain j'avais prévu de faire un entraînement avec les chevaliers, ce sera l'occasion d'un duel afin de voir nos amélioration en ces années.

Je repris ma route, une fois dans l'entre gastronomique. Je demanda au cuisinier, si il y avait possibilité de faire un pique-nique pour ce midi de suite. Il accepta avec joie et ce mit aux fourneaux ! J'attendis une dizaine de minutes avant de le revoir arriver.

Cuisinier : Voilà votre repas, je vous ai tout mit dans un panier, cela plus pratique à transporter.

Éléonore : Merci beaucoup !

Je partis retrouver Merlin aux écuries. J'étais tellement heureuse de passer une journée avec Merlin, j'allais pouvoir mieux le connaître.

Je sortis du château et aperçus devant, Merlin avec deux chevaux prêts. Je m'approcha de lui. Il me tendit ma cape que j'avais oublier de prendre ce matin.

Merlin, souriant : Le cheval de la demoiselle est prête !

Éléonore, rigolant : Merci, c'est adorable Merlin, mais tu n'étais pas obliger de préparer tout, tout seul.

Merlin : Cela me fait plaisir ! Au moins contrairement à d'autres personnes j'ai le droit à un remerciement...

Éléonore : Grâce à moi, tu échappes à une journée d'esclavage !

Merlin, interrogateur : Quel est ce panier ?

Éléonore : C'est notre repas pour ce midi, j'ai été demandé en cuisine.

Il me sourit et me prit le panier pour l'installer sur son cheval. Pendant ce temps je mit ma cape et monta sur mon cheval. Mon compagnon était marron, quand ta Merlin, le sien était noir. Il grimpa à son tour sur son destrier. Il souriait comme ci il venait d'accomplir un exploit ! C'est en étant de bonne humeur que nous commencions notre journée.

Merlin & La GardienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant