Sans aucune difficulté, ils se rendent à la voiture de Simon. Une vieille Tercel vert forêt. Il ouvre la portière, côté passager et y installe sa proie. Il fait comme s'il cherchait une trousse de premiers soins, dans sa valise et en sort un petit sac dans lequel se trouve un linge imbibé de chloroforme. Il revient à elle et prend le temps de lui demander son nom, son adresse et lorsqu'il obtient les informations, il met le linge au visage de la fille. Elle est endormie, il démarre la voiture et roule. Il roule en direction de Deauville.
- Karelle. C'est un joli nom, ça. Je sens qu'on va avoir du plaisir ma belle. T'as été naïve, ma chère. Ne jamais faire confiance aux étrangers. Mais, j't'en remercie. Grâce à toi, je vais avoir du fun avec ton corps et on va faire un beau couple non? Un grand brun aux yeux pairs et une belle blonde aux yeux bleus. Ça va faire de beaux enfants, je pense. Je nous imagine déjà, dans notre belle maison avec nos deux enfants. Oh oui. Juste ça, ça me donne un semi-croquant dans le boxer. Quand on va arriver, tu vas voir où ma mère m'avait abandonné. C'est une belle petite maison, parfaite pour commencer notre vie ensemble. Je vais même te cacher les yeux et te bâillonner la bouche. J'te le dis, ma belle Karelle, ça va être le fun.
En roulant, il commence à la tripoter. Une main sur le volant et l'autre sur les cuisses de la jeune blonde. La main se promène sur le ventre, puis il défait le nœud qui retenait le short rose de Karelle et y glisse sa main. Une petite culotte de dentelle cache son sexe, mais ça ne l'empêche pas de faire aller ses doigts pour explorer son entre-jambe. Toujours inconsciente, il en profite pour la doigter. La dose de chloroforme qu'elle a respirée devrait la tenir endormi une bonne heure. En arrivant à la cabane en bois, il devrait lui rester une bonne demi-heure pour s'amuser avec elle. Et si l'effet disparaît trop vite, il a quelques petites surprises.
Pour ne pas se faire voir, il stationne sa voiture dans un champ. Celui que sa mère avait utilisé pour y abandonner Simon. Il prend quelques bouffées d'air. L'air est si frais et si bon par ici. Puis, il commence à traîner Karelle sur ses épaules.
Une route de terre battue, un ciel bleu sans aucun nuage à l'horizon. Au bout de la route se trouve une vieille cabane qui semble abandonnée. Un silence total. Aucun oiseau ne tente de percer cette paix presque troublante. En marchant vers la vieille cabane, une odeur étrange vient lui chatouiller les narines. Il n'en fait pas de cas et poursuit son chemin avec sa douce sur ses épaules. Arrivé devant, l'odeur est insupportable, mais il ne parvient pas à deviner ce que c'est. Il tente de regarder par les fenêtres, afin de voir si quelqu'un est sur place. Aucun signe de vie. Toujours aucun meuble dans la cabane, sauf une vieille chaise berçante et une table de bois brisée. Cette table sur laquelle il a temps dessiné pour tuer le temps. Cette table qui a hérité des bouts d'ongles et du sang de Simon, car il n'avait ni crayon ni de papier pour dessiner. La chaise berçante sur laquelle sa mère s'est bercée avant de le quitter. La chaise sur laquelle elle a bercée son fils en lui tripotant les parties génitales car plus aucun homme ne voulait se faire toucher par cette dingue malpropre. Il n'y avait que Simon qui percevait ses attouchements comme une preuve d'affection. Le peu qu'il pouvait recevoir de sa mère le satisfaisait.
Il passe par le petit chemin sur le côté de la maison et regarde par chaque fenêtre s'assurant que personne ne s'y trouve. Il profite de l'absence de vie pour pénétrer dans la cabane. Il dépose Karelle sur le vieux plancher crasseux et commence à examiner les lieux. Tout est comme avant. Il revient à elle et commence à se masturber en la regardant. Il est excité par le corps mince et parfait de la jeune femme. Il s'approche tout en continuant de jouer avec son sexe de plus en plus dur. Il promène son visage sur son corps en prenant le temps de la sentir, pour s'exciter encore plus. Lorsque son membre est assez dur, il retire les vêtements de Karelle et sans délicatesse, il insère deux doigts dans son entre-jambe.
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HorrorSi tu penses que tout commence comme dans un conte de fée, tu te trompes. Il a commis des actes cruels. Je suis là pour le faire payer, pour lui remettre la monnaie de sa pièce, comme on dit. Il pense que c'est moi le monstre, mais en réalité, c'est...