Chapitre 15

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21 février 1977
Pdv omniscient

La jeune fille était assise sur l'une des barrière de la tour d'astronomie, ses pieds pendant dans le vide et les yeux dans l'immensité du ciel et ses étoiles. Là, seule, au milieu de la nuit, elle réfléchissait. Elle n'inspirait qu'a une seule chose, aidée ces proches et le monde, et voilà que maintenant on l'en empêchait. Au début cela l'avais mise dans une rage folle, mais maintenant elle reconnaissait que le directeur avait raison bien que la sensation d'être spectatrice l'horripilait toujours autant.

C'est dans cette atmosphère de réflexion que le jeune homme pénétra, discret, il observa d'abord la brune de dos sans montrer sa présence. Il l'observa comme il ne l'avait jamais vu. D'abord ces cheveux bruns qui ondulait telles des vagues jusqu'à s'échouer au milieu de son dos, puis son corps... Ses épaules et son dos étais tendu signe qu'elle n'était pas dans la meilleure des forme, puis sa taille qui était assez marqué et enfin ses hanches qui finissait la merveilleuse courbe qu'était sa silhouette.

Décidant qu'il avait assez joue les voyeurs il alla s'asseoir à côté de la jeune fille. Si elle en fut surprise, il n'en sut rien. Elle resta complètement immobile, son regard toujours river sur le ciel et ses astres. Après plusieurs minutes de silence elle prit enfin la parole.

- Je vois que je suis pas seule à ne pas trouver le sommeil
- Non en effet

Un silence se réinstalla alors pendant quelque minute avant d'être briser par le garçon

- Je pense même que l'on partage une raison à notre insomnie
- Ha bon laquelle ?
- Regulus
- Et moi je pense que tu veux savoir ce qu'il me préoccupe à ce sujet mais que tu n'ose pas me poser la question. Je me trompe ?
- Non. Le jeune homme soupira. Non tu as raison
- Tu sais que je ne te les dirais pas sans son accord ? Accord que je doute qu'il donne
- Ça aussi je le sais
- Pourquoi tu ne vas pas le voir directement, c'est ton frère après tous
- Je pense que tu es assez proche de lui pour savoir nos rapport pour le moment, je me vois mal aller vers lui alors que l'on ne sait pas adresser la parole depuis des mois
- C'est vrai que cela serait ridicule et qu'il le prendrait mal. Mais d'un côté c'est ton frère vous ne devriez pas agir comme des inconnus l'un envers l'autre.
- Pourquoi ne lui dit tu pas ça à lui
- Au je lui est déjà dis, mais disons que il a certain argument qu'il font penché la balance de son coté
- Il est serpentard ?
- Au non cela dépasse appartenance à une simple maison... Tu sais les choses se sont empirer apès ton départ.

La jeune femme tourna alors la tête et leurs deux regards se croisèrent.

- Ta mère est encore plus... elle que d'habitude
- C'est possible ?
- Malheureusement oui, il vient souvent chez moi quand il n'en peu plus ou qu'il veut faire une pause.
- Merci.
- Pourquoi ?
-Pour prendre soin de lui. Je me souviens quand on était petite tu m'aidait déjà à la défendre contre Bella, et encore maintenant tu continu alors que même moi j'ai abandonné.
- Je fais ce que trouve nécessaire de faire c'est tous.

Les deux jeunes adultes retournèrent leurs têtes en direction du ciel. Profitant du silence et de la douceur de la nuit.

- D'un côté j'aimerai redevenir enfant
- Pourquoi ? Tu retournerai dans ta famille qui est on se l'avoue complètement taré, tu n'aurais plus de James, de Remus et de Peter, plus de maraudeurs.
- Peut être mais je retrouverai mon frère et notre complicité
- Tu peut très bien la retrouver maintenant
- Tu sais très bien que ce n'est pas aussi simple
- Ce n'est pas aussi simple parce que vous êtes borné voilà tous.

Le garçon ne répondis pas comme si il savait qu'elle avait raison puis repris.

- On est était proche nous aussi
- C'est le passé Sirius arrête de le ressassé
- Pourquoi ? Pourquoi nous qui étions si proches avons nous finis par nous détestés
- Je ne t'ai jamais détesté, c'est toi qui à commencé avec ta haine en vers les serpentards. Tu as préférer laisser notre relation de côté comme tu l'as fais avec Regulus.
- C'est vrai j'ai été idiot sur ce point là
- Je ne peu que être d'accord avec toi sur ce point

Leur discussion s'arrêta alors sur ses paroles, laissant le silence reprendre place. Chacun repensa aux mots de l'autre. D'un coup d'œil ils se mirent d'accords et se levèrent, descendirent les marches et se séparèrent au détour d'un couloir avec pour au revoir un simple signe de main et un sourire.

Méfiance. Sirius BlackOù les histoires vivent. Découvrez maintenant