Méfiance. Sirius Black

Chapitre 21

29 février 1977, Poudlard
Pdv Raven

Une fois sortie de la salle la jeune fille c'était hater de sortir du château, ces frères et soeurs l'avait laisser seule sachant qu'elle avait besoin d'être seule afin d'évacuer le trop plein d'émotions ressentis suite a la nouvelle. Elle avait marcher longtemps jusqu'à atteindre la lisière de la forêt interdite et de si engouffrer, elle suivit un chemin que elle seule connaissait et fini arriver à une prairie, l'herbe et les fleures y était abondante, tandis qu'un ruisseau y coulait en contrebas. Elle s'approcha de se dernier et s'assis dans l'herbe au bord de celui çi, puis dans un silence des plus complet, que seuls le chant des cigales osait interrompre elle réfléchis. Ressassant les souvenirs des moments passé avec son frère, puis esseyant de trouver  un moyen de le retrouver et sauver, elle finis par imaginer le pire imaginant le cadavre de son frère au fin fond d'un cachot.

Se retrouvant épuiser par tous ses scénarios elle laissa alors les larmes coulées, évacuant le trop plais de sentiments. Soudain un craquement de branche la fit sursauter, elle essuya ses larmes d'un mouvement et se retourna sa baguette pointer devant elle.

Elle se retrouva alors fasse a un Sirius Black les mains dans les poches et l'air surpris sur le visage. Il leva lentement les mains en signe de paix.

- Qu'est ce que tu fais là?

- Je... Je suis désoler pour ton frère je...

- Honnêtement pourquoi tu es là, car ne me dit pas que tu as traverser la moitié de la forêt interdite pour me dire cela

- Venna...

- Ne m'appelle plus comme ça !

Le silence retomba, les deux adolescents se regardaient dans les yeux attendant l'un comme l'autre la suite de ce qui allait se passait. Le Brun avait se regard suppliant, le même regard qu'il lui faisait quand elle était fâchée contre lui petit et qu'il voulait se faire pardonné mais cette fois ce regard n'était absolument pas contrôlé. Le regard miel de la fille lui reflétait la tristesse et la souffrance qu'elle ressentais.

Puis ne trouvant plus la force de retenir ses larmes devant celui qui l'avait connue comme personne en dehors de sa famille. Elle se laissa aller, lui voyant la première larme coulée n'attendis pas. Il s'avança et la pris dans ses bras, entourant sa taille d'une main, lui caressant les cheveux de l'autre. Les larmes salées de la jeune fille qui avait enfouis son visage dans son cou coulait sur sa peau. Et ils restèrent comme cela un long moment, attendant que la jeune fille se calme, il commença a se balancer, un pied sur l'autre, comme pour la bercer. A ce moment là Raven savait, même si elle lui en voulait, même si il l'avait déçu comme jamais, Sirius Black était le seul à la connaître par coeur et était le seul à pouvoir la réconfortée.

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Septembre 1974, Poudlard

Pdv omniscient

Le 6eme étage du château était la plupart du temps silencieux, les salles de cours étant concentrée essentiellement  entre le premier et le quatrième étage il était utiliser pour se rendre à la tour s'astronomie. Mais ce jour là, alors que le ciel gris annonçait la tombée prochaine de la nuit, le sixième étage était particulièrement bruyant, raisonnant de cris et de sanglots.

- Mais c'est quoi ton problème sérieusement Sirius ?

- Mon problème ! c'est que tu m'as menti tu es comme eux !

- Ça veut dire quoi ça !

- Que tu es mauvaise, menteuse et manipulatrice !

- Non mais est ce que tu t'entends ! Monsieur est rentrée a gryffondor donc il est devenu la perfection en personne!

- Ne me fais dire ce que je n'ai pas dis

- Ne me prends pas pour quelqu'un je ne suis pas alors !

- Mais c'est ce que tu es ! Une petite garce, imbue d'elle même et méprisante. L'une de ces bouffones de serpentards qui pense être aux dessus de tous !

La main de la jeune fille partie sans attendre et rencontra la joue de son adversaire.Elle planta ses yeux embués de larmes et reflétant toute la haine quelle ressentait 

- Tu me traite de garce mais tu n'est pas mieux Black, tu tourne le dos a ceux qui ont toujours été là pour toi en pensant que tu es mieux mais en réalité c'est toi qui est mauvais. Maintenant oublie moi et ne m'adresse plus jamais la parole, on ne c'est jamais côtoyé monsieur Black !

Sans attendre plus la fille tourna les talons en lui envoyant ses cheveux dans le visages. Laissant le jeune homme fixer son dos, sur sa joue la marque rouge de la main encore apparente.