Méfiance. Sirius Black

Chapitre 24

6 avril 1977, Qg de l'ordre

James et son infaillible maladresse causa l chute de ce dernier en plus de la chute d'un vase poser sur la commode de l'entrée. Le fracas eu pour conséquences le réveil immédiat des deux amants endormis qui les pointèrent de leurs baguettes. S'ensuivit une bataille de regard entre le presque couple et leurs amis, jusqu'à que Le Brun ce mette à poser la fatidique question

- Mon Dieu vous m'expliquez ce que vous faites ici ?

- C'est James , lancèrent en cœur le groupe sauf le principal intéressé

- He c'est pas vrai ! Bon ok c'est peut être moi qui ai eu l'idée mais vous étiez d'accord. Et puis comprends moi je m'inquiétais pour toi aussi.

- Pauvre Potter je t'ai piqué ton doudou

- Haha très drôle Hakwins, mais vu que vous êtes réveiller vous allez pouvoir nous expliquer ce qui se passe entre vous deux

- Je suis d'accord avec lui..alors Rav on nous cache des trucs, lança June

- Personnellement ma nuit n'est pas finis alors bonne nuit

- On vous lâchera pas

La brune qui c'était recoucher agitât la baguette et d'un coup le petit groupe se retrouva dehors la porte devant eux fermer à clé. Sirius regarda la jeune femme étonné avant de rire franchement entraînant alors le sourire de celle ci.

- Tu me fascinera toujours Venna

Il se coucha à son tour dans les draps, prenant dans ces bras la belle qui se blottis contre lui. Et sans une parole de plus tous les deux rejoignirent Morphée. Dans une tranquillité qui n'avait pas été à son comble depuis longtemps.

****

Le lendemain matin Sirius fut celui qui se leva le premier, la jeune femme qui avait été son amie d'enfance était toujours endormie la tête sur son torse. Appréciant la tranquillité du matin et le bien être de la situation il commença à jouer avec ces cheveux. Toute là tendresse d'hier était elle le signe qu'elle le pardonnais ? qu'elle acceptait de faire table rase du passé? Ou bien cette tendresse était seulement lié à la détresse qu'elle avait ressentis au besoin de réconfort dont elle avait besoin. Il fut alors sortir de ses songes par brune qui se réveillant commençais à bouger doucement. Papillonnant légèrement au début, elle leva la tête vers l'auteur des caresses qui l'avait réveiller, lui offrant un sourire au quel il répondis largement. Puis avec un léger soupire elle se mit en tailleur en se frottant les yeux.

- Bien dormis ?

- Comme un bébé et toi

- J'ai vu ça tu m'as pris comme oreiller toute la nuit

- Comme si je t'avais déranger

- Tu as raisons

Le regard de la fille dériva alors sur la chambre, de nombreux rayons du soleil passaient à travers les rideaux signe que la journée devait avoir commencer depuis un certain temps, l'atmosphère était douce,paisible,...elle ne c'était pas sentie aussi bien depuis longtemps comme si il n'y avait pas de guerre, pas de mission ou de morts. Le jeune homme lui la fixait, il l'a trouvait belle, il l'avait toujours trouvé belle. Puis il se demanda comment lui demander ce que tous cela signifiait pour elle. Il avait d'un côté peur qu'elle le remballe mais de l'autre il préférai jouer la carte de l'honnêteté

- Venna ?

- Hum ?

- Cela signifie quoi pour toi tous ça ? la jeune fille tourna la tête vers lui avant de la penché sur la droite

- Je...je..sais pas, je ne veux plus te détester mais d'un côté je ne veux pas revivre la meme choses encore une fois

Les yeux dans les yeux, il vient alors entouré son visage de ses mains.

- Je te promet que je ne te lâcherai plus jamais, et que je ne te ferai plus de mal

Après une longue minute de bataille intérieur, elle leva son petit doigt en signe de promesse comme petits

- Promis ?

- Promis.

Elle se jette alors dans ses bras en riant légèrement, heureuse de le retrouver et de mettre fin à toute cette période où ils s'était ignoré et détesté. Mais bien sûr tous bon moment avait une fin et après 5minutes d'étreinte ils se levèrent pour se préparer. Sirius sortis alors pour rejoindre la chambre qu'il partageais avec ses meilleurs amis et qu'il avait délaissé cette nuit, le sourire au lèvre il se disait que les choses n'auraient pas pu être meilleures à peux de choses près...