Chapitre 4.

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- o querida do brasil * ( la plus aimé du Brésil)  murmure une voix.

Je me retourne et observe mamãe au dessus de moi. Mon corps ne m'appartient pas. Es-ce un rêve ? Non, c'est un souvenir.

Ma casa respir la fraîcheur matinal. À cette époque personnes n'avais peur de sortir tôt. Mais pourquoi chercher à me réveiller ?

- mais mamãe? Pour...

- mi querida, réveil toi. Il es l'heure.

Je me réveille en sursaut. Une main posé sur mon front. Je suis en sueur. Dans une cellule. Mais oui...

- la clef

J'ai toujours mes vêtements de la veille ; un t-shirt simple et une paire de jeans plus mes veilles tennis. Pourtant il fait toujours nuit. Je sors la clef de mon jean et l'insert dans la serrure.

- aller ma belle...

Clic.

C'est sûrement le plus beau son que j'ai entendu jusqu'ici. J'exagère peut être mais faites vous kidnappé et enfermé puis vous comprendrez la beauté de cette mélodie.

" Va et ne te retournes pas, et si tu as le malheur de revenir je te tuerais"

Pas besoin de plus de motivation. Je prends mes jambes à mon cou et monte les quelques marches menant au hall d'entrée.

Arrivé à celui ci je me réfuge derrière un mur. Question de sécurité. Un petit coup d'œil vers le mini salon me permets de sortir de ma cachette, faute d'ennemis.

Je m'apprête à traverser la pièce à vive allure alors que des objet familier retiens mon attention.

- un Glock A-17 murmurais je

Je me rapproche de la table basse et récupère l'arme dans ma main. Elle est noir avec une manche en bois. Elle est juste magnifique.

- tu restes avec moi M'écriais je

Toujours sur la table, je ramasse un couteau suisse, un chargeur et de l'argent. Il m'ont kidnappé autant laisser un vide après mon départ. Et puis c'est pas comme ci s'allait leurs manqués.

Je reprend ma route en direction de la sortie. Le couteau et l'argent cachés dans mon dos et le Glock A-17 dans ma main. Alors là ce sera un jeu d'enfant.

Je me retrouve en une fraction de seconde, dehors ou une grande cour se présente face à moi. Le portail est à trois mètres de moi. il y a également un garde qui...bah... qui garde le portail quoi. Je vais pas vous faire un portrait. Bref, il y a aussi une alarme a sa gauche.

Un jeu d'enfant hein?!

Mon seul avantage est qu'il ne s'attend sûrement pas à une attaque de l'intérieur, vu sa position. Et je vais jouer là dessus. Je range mon arme et m'avance à pas de loup vers ma nouvelle cible.

Arrivé à quelques mètres de lui je sors mon couteau et avant qu'il ne comprenne ce qui arrive, l'élimine de l'équation. Ok j'arrête de me l'a jouer. Et tire le corps inerte ver le côté droit. Puis avec beaucoup de force et d'agilité naturel grimpe le mur en cinq secondes chrono.

Je ne sais pas si c'est l'adrénaline ou si on m'a drogué car je déborde d'énergie. Alors je cours vers chez moi. Puis comme si j'avais le destin dans ma poche, avant de débuter ma course, je trouve facilement un bus qui mène vers les alentours de centre ville de Mexico. Qui aurait cru que à quelques mètres d'une maison de mafieux, il y avait un arrêt de bus.

Dans le bus quelques adolescents était assis à même le sol en chantant. Soirée arrosée à ce que je vois. Je ne prête pas attention à la personne qui entra après moi et m'assieds sur l'un des sièges libres.

La tête contre la vitre. Ce trajet n'allait pas duré bien longtemps.


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Merci d'avoir lu.
Alors là elle est hors de danger, mais pour combien de temps ?!

Valentina. Ma Vie De Gang.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant