Chapitre 2.

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Je me rappelle encore du jour où je suis arrivé à Mexico. Je me suis directement dirigé vers le centre ville. Avec pour seul but de trouver un emploi.

Avant de rejoindre le PCC*. J'ai connu la pauvreté. Je ne l'ai pas toujours vécu. Mais, à la favela, voir des gens se battre pour un bout de pain était mon quotidien. Je me suis engagé dans le gang premièrement pour ne manqué de rien. C'était horrible de voir toutes ces personnes mourir pour un rien.

Salomon m'a tout de suite accueillis arrivé eu centre ville. C'est grâce à lui que j'ai acquis une maison, un travail. S'il n'était pas là, je ne sais pas ce que je serai devenue.

Ce restaurant était son patrimoine, mon gagne pain. Mais tous les commerces ici, aussi petit soit-il, finissent dans les mains de Cortès.

Les Cortès. Même avant mon arrivée, cette famille faisait la loi dans cette ville. Pire encore. Depuis l'assassinat du chef de ce gang, son fils se fait un malin plaisir à racheter tout Mexico et autres villes. Bientôt le Mexique

Je connais se genre de personne. À chercher le pouvoir à tous prix.
Qu'es tu devenu ? Pablo.

Ça fait maintenant plus de trente minutes que je marche dans les ruelles sombres, en l'éloignant du centre ville. Puis un bruit retiens mon attention. Je tourne alors lentement ma tête dernière mon épaule mais c'est déjà trop tard. Ils sont trois sur moi avec des armes.

- voyons ce qu'on a là me dit un homme en me plaquant sur un mur.

Ma tête heurte violemment le mur. Je pousse alors un cris étouffé. Il place alors ces mains sur mes côtes puis remonte. Quand on l'interrompes.

- Mec, faut la ramener dit un deuxième amèrement avant de me toiser longuement.

- mais elle est toute fébrile. Autant s'amuser et la laisser la dit il en me lançant des regard pervers.

Puis il place ses mains vers mes hanches et je tente de me débarrasser de lui mais impossible. Il me tient trop fort.

- calme toi mi querida (ma chérie)

- lâche moi. Suppliais-je

- c'est bon. On la ramène, dit le troisième

- mais on pourrait... Supplie le pervers sur moi
On dirait un gamin qui veut un jouet dans une vitrine. Cet homme immature me donne la nausée.

- ordre du patron coupe le troisième qui semble trop calme à mon goût.

Le premier semble réfléchir puis il s'otte de moi. Je ressemble le peu de force que j'ai et me décale prête à courir quand le deuxième, qui c'était fait oublié, me soulève.

Non, je ne rêve pas. J'ai perdu mon travail. Je me  fais kidnappé par des inconnus pour je ne sais quelle raison. Je ne sais pas ce qui m'attend mais aujourd'hui je n'ai plus rien à perdre.

Et comme ci le monde s'acharnait à m'enlever toute paix et sérénité.

- crois moi ce qui t'attend est bien pire que la mort.

Celui qui me met dans le coffre me fait bien comprendre la réalité de ma situation. Et celle ci est bien trop amère.

Lexique
* PCC : ici c'est un gang au Brésil. Totalement fictif  "Premier Commandos Des Côtes".

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Merci d'avoir lu.
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As quel réalité fait elle référence ?!

Valentina. Ma Vie De Gang.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant