Valentina. Ma Vie De Gang.

Chapitre 13.

- messieurs, mesdames. Résonne une voix dans l'ensemble du hangar, comme je le qualifie si bien.

Toutes les lumières s'éteignent et se rallume à nouveau mais cette fois éclairent l'ensemble des lieux. Le hangar a un niveau supérieur où une rembarre est dressé. Et une silhouette imposante se dessine à travers l'aura craintive des lieux, Francisco. Il y a environ deux mètres qui séparent la rembarre de "l'arène" et la même distance me sépare des bruns ; menace potentielle.

- nous évaluerons votre valeur aujourd'hui, dans ce lieu. La plupart d'entre vous n'êtes pas résigner au vulgaire titre d'homme de mains de cette organisation et c'est pourquoi vous avez été choisi de part votre nom, votre choix de vie, votre fierté et votre soumission. Afin d'être un atout majeur, une force, une arme et l'âme même de l'élite mafieuse.

Il balade ses yeux sur la très petite assemblée et reprend;

- vous n'êtes pas à être remplacé. Vous former des aujourd'hui une machine et vos domaines de compétences se détermine maintenant. Alors tous les cinq. Commencer.

- tous les cinq? Murmure la brune agacé.

Et là il franchit en flèche la distance séparant la rembarre de l'arène. Ses yeux bruns comme le caramel scrute les personnes présentes et pourtant ce n'est pas Francisco.

- qu'est-ce que ? Hoquet la brune.

Mais elle n'a pas le temps d'assimiler la situation qu'il fonce sur elle et l'assomme d'un violent coup au côtes.

Il relève alors son visage vers moi. Et ce sourire. Je n'ai jamais vu autant de haine dans le regard de quelqu'un pourtant son regard reflète l'exact sentiment que j'éprouve pour mon frère.
Il abaisse son pied, toujours tendu, après son coup. Elle tombe à genoux et semble vomir ses tripes. Il chancelle d'un pied à l'autre et fait le même mouvement avec sa tête avant de foncé vers l'autre brun qui regarde avec horreur sa sœur allongé à même le sol. Il lui donne trois coup au thorax et le fait basculer avec son pied avant de l'assommer alors qu'il tente de se relever.
Il chancelle de nouveau et met ces mains dans ces poche avant d'avancer vers nous. Il est effrayant mais je ne recule pas pour autant trop impressionné par sa démarche. Il franchit rapidement la distance qui nous séparent et se place devant moi. Il sourit largement et relève sa jambe. Et en un clin d'œil je suis à une distance raisonnable de lui. Mes réflexes m'ayant poussé hors de sa portée. Faute de ciblé il abaisse sa jambe et chancelle de nouveau avant de courir vers moi. Lançant mainte et mainte coups de pied, crochets et toujours faute de cible pers patience. S'il est fatigué par notre petite parade il ne le montre pas, cependant ce n'est pas mon cas. Et mes membres me le ferons bientôt comprendre.

Je me levais il y a peu d'un coma et quoi de mieux que me faire combattre juste après pour récupérer ? Si je ne fais rien la fatigue sera mon pire ennemis. Je n'ai pas d'autres choix, je dois le neutraliser maintenant.

Il chancelle de nouveau après un crochet qui n'atteint pas sa cible et je m'élance vers lui, puis je l'encercle de mes jambes et le met à terre avant de serré pour l'étouffer. Je tente de serrer plus fort mais il résiste plus que nécessaire.

- lâche prise, murmurais je en colère.
L'adrénaline pompant dans mes veines.

Il dégage une de ces mains et me donne des coups dans les côtes qu'il peut atteindre. L'adrénaline prenant coup, je ne ressens rien du moins sa force ne m'atteint pas totalement ou il m'a pété tous les nerfs présent sur les côtés.
Il dégage rapidement son pied alors qu'il perds lentement son souffle et l'abat violement sur mon ventre.
Je siffle lamentablement et lâche partiellement prise mais il a assez de réserve pour me retourner et se placé sur moi afin de me plaqué au sol face contre terre. J'essaie tant bien que mal de me redressée mais il y met trop de force.

- lâche prise murmure t'il

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