Chapitre 9.

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Un Cortès? C'est impossible. Mais qu'est-ce qui est le plus improbables, hein? Le fait que je rencontre un Cortès ou le fait que je sois toujours en vie après l'avoir menacé, même très peu?
Tout à coup je me sens sotte de pointé une arme sur lui.

- tiens donc, je t'es refroidit apparemment. Dis t'il avec son même sourire.

Je suis allée bien trop loin pour faire marche arrière alors c'est maintenant que tout ce joue. Mais avant de courir vers ce qui semble être une morts assurer, je veux des réponses.

- pourquoi m'avoir kidnappé. Dis je en inclinant l'arme tout en gardant une certaine distance.

Il fronce les sourcils, puis perd son sourire et reste muet face à ma question. Je le répète encore une fois mais il ne me répond toujours pas. Alors j'entre dans une colère noir et dans cette situation mes mots dépasse toujours ma raison. Mais avant que je lui balance toute la vulgarité de mon vocabulaire, il me regarde et dit froidement.

- je ne sais pas. Mais on va bientôt le découvrir.

Il franchit les mètres qui nous séparent et me saisit le bras avant de m'emmener dans sa course. Quoi que je ferai j'étais condamné. Je mourrai sûrement des mains de Cortès. Et même ça, on me l'impose.

Je n'ai jamais décidé de ma vie et même de ma mort, je n'en déciderai pas. S'il y avait une justice, l'on me donnerai la force de me mettre une balle dans le crâne.

On m'a placé très haut. D'escalier en escaliers, de couloir en couloir. Je suis sûre qu'il fait ça pour me perdre. Mais peu m'importe. Les morts ne planifient pas leurs évasion. Il entre finalement dans se qui me semble être un bureau.

Au début la raison de mon kidnapping était claire mais pas dans le gang des Cortès. En arrivant la première fois je pensais faire partie d'un réseau de proxénétisme mais les Cortès ne font que dans les armes, le blanchiment d'argent et la fabrication, puis ventes de nouvelles drogues. Alors je me demande pourquoi ? Pourquoi m'avoir kidnappé ?

- faîtes venir Francisco. Dis t'il au téléphone.

Il avait une posture grave et tendu. Ces cheveux noirs était très beau et ces yeux tout simplement magnifique. Après l'avoir contempler dans de nombreuses couture, je détache mon regard du sien pour observer le nouvel arrivant. Il était entré depuis mais je le remarque que maintenant et quand je le vis mon souffle se coupa. C'est ça un dieu grec ?

- tu peux m'appeler Apollon si tu veux.

Mince j'ai pensé à voix haute. Le jefe me regarde bisarement maintenant. Il arques un sourcil et détourne son regard nonchalamment vers le magnifique Francisco. Je jugeait les deux hommes se regardant d'un œil méfiant.

- je veux savoir qui l'a emmené ici, ne me fait pas attendre. Dis le jefe froidement.

Puis il repose son regard sur moi et lève un sourcil comme ce rendant compte de ma présence. Je me retiens de levé les yeux au ciel et détourne mon regard.

- tu peux t'en allé. Ajoute t'il.

Il me juge d'un œil et pose ces mains sur son magnifique bureau de ver. Quand il avance son visage vers moi je peux détaillé les trais de son visage à la perfection. Ces yeux bleus reflète un lac profond et gelé. Une sorte de bleu glacial. Et ces trais était si fin que je me demande pourquoi tout se gâchis ; il a le visage fermé et enjouée en même temps. Comme un homme qui sourie mais qui vous effraie à cause du canon qu'il a en main. C'est étrange et nouveau. La matinée viens à peine de député que j'ai déjà envie de me sauver, mais pour aller ou?

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Merci d'avoir lu.

Valentina. Ma Vie De Gang.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant