Chapitre 4

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PDV Grey

Wendy m'a présenté à ses amies, deux de ses amies sont dans ma classe : Cana Alberona et Erza Scarlet. Quand la sonnerie annonce le début des cours je vais en classe accompagné de mes deux nouvelles amies. Dans le couloir Natsu m'interpelle.

Natsu :- J'ai demander à changer de chambre. À partir de maintenant tu seras seul dans la chambre.

Je n'eu pas le temps de répondre qu'il part directement. Je soupire. On entre en classe, je m'installe à ma place, c'est à dire, au fond à côté de la fenêtre. Mme Vermillon rentre. Elle commence son cours de français, sur des poètes ou je ne sais quoi.

Mme Vermillon :- Grey, comme tu as si bien écouter mon cours, tu dois savoir faire un poème. Invente moi un poème et récite le moi. Maintenant.

Je soupire et regarde par la fenêtre, il pleut. Je me lève et récite un poème que je vient d'inventer.

Grey :- La pluie. La pluie est éphémère. Comme les souvenirs. Les souvenirs viennent, reparte, ils s'oublient. La pluie est bruyante, comme un cri de douleur. Mais elle peut être douce, comme les pleures étouffer. La pluie est comme les rires, de courtes durer. Par contre, la pluie, elle, n'est pas comme la tristesse qui reste au plus profond de notre âme, grignotant chaque petit souvenirs heureux, laissant place à la douleur profonde.

Le silence règne dans la classe. Je me rassois et regarde dehors, je regarde les gouttes d'eau, tomber au bord de la vitre et au sol.

Mme Vermillon :- B-Bien.. C'était très bien Grey. Quelqu'un d'autre veut essayer ?

Personne ne répond. Alors elle n'insiste d'avantage et continue son cours. Je sort un crayon à papier et dessine le paysage pluvieux dehors. Sans vouloir me venté, je me débrouille plutôt bien en dessin. Mais bon, ça doit être la seule chose que je sais faire dans la vie. Après quelques minutes à dessiner je ressoit une boule de papier dans la figure lancer par Natsu. Je déplis le papier sans faire de bruit et lis le mot.

Eh salop, je sais même pas comment j'ai pu être intéressé pas toi ! Connard !

Je repli la boule et la pose au coin de ma table pour reprendre mon occupation : le dessin.

La sonnerie annonce la récré après 2h30 de français. Je vais en direction de la salle du cours suivant, arriver à destination, je m'adosse au mur et me laisse glisser jusqu'à ce que mes fesses rencontre le sol. Je sort une feuille de papier et commence à rédiger des mots qui formeront peut être une musique. Quand j'ai fait quelque ver je commence à la chanter dans les couloirs.

??? :- Bonjour, je suis Mme Strauss, la prof de musique.

Je lève la tête et vois une prof, aux longs cheveux blanc, habiller d'une longue robe mauve et à la poitrine généreuse. Une prof de musique, mais pas la mienne.

Mme Strauss :- Je trouve que tu chantes bien. Tu as déjà pris des cours de chant ?
Grey :- Non.
Mme Strauss :- Tu sais jouer d'un instrument de musique ?
Grey :- Oui, piano et guitare. J'ai pris des cours plus jeune.
Mme Strauss :- Ça te dirait de me suivre pour que tu me joues un morceau ? Tu pourras peut être faire parti de la chorale du lycée pour un spectacle en fin d'année !
Grey :- Oh mais j'ai cours juste après la récré.
Mme Strauss :- Pas grave ! Elle me prend le poignet. Aller vient s'il te plaît !

Je range mes affaires et la suis dans sa salle de classe. Je pose mon sac et elle me dit de m'installer au piano. Je joue mon morceau préféré : Beethoven, Sonate au clair de lune. Quand j'ai fini mon morceau, je regarde la prof. Je vois derrière elle, à travers la fenêtre, Natsu et ses potes me regarder avec un sourire arrogant et moqueur. Je les ignores, ce ne sera pas la première fois qu'on me fait des réflexions sur mon style de musique. Mme Strauss s'approche de moi.

Mme Strauss :- C'était génial ! Je veux vraiment que tu fasse parti de la chorale ! Tu seras sur les instruments, le piano ou la guitare si tu préfères ! Dit oui s'il te plaît !
Grey :- Je sais pas trop pour la chorale...
Mme Strauss :- Bon. Nous sommes qu'en début d'année, tu as le temps de réfléchir mais, est-ce que tu veux bien suivre des cours particuliers avec moi ?
Grey :- Oh oui, je veux bien. Merci Madame.
Mme Strauss :- Mirajane, appelle moi, Mirajane.

J'hoche la tête en souriant très légèrement.

À suivre

Une haine transformée en amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant