Fille d'un Gangster

Chapitre 14

- Il y a un rapporteur dans le gang, lachai-je.
Nous étions assis dans le bureau à mon père depuis deux minutes, Lucas reste près de moi inquiet de mon état, Lewi n'était pas encore arrivé avec la trousse de secours.
- Je m'en doutais et vu ta réaction, c'est Alex ? Dit mon père calmement, mais le connaissant il ne l'est pas du tout. J'hoches simplement de la tête pour confirmation. Lewi arrive à ce moment, il se dépêche à sorti tout ce qu'il a besoin et il me soigne tout en me jetant un regard noir, je sens qu'après la conversation avec mon père, je vais en avoir une autre avec Lewi...fuck. Mon frère et mon père n'ont pas cessé de discuté, depuis ma confirmation.
- Ashoka tu devrais allé dormir, me dit mon père.
- Non. Pas tant qu'il est encore en vie !
- Ashoka calme-toi.
- IL A ESSAYÉ DE ME TUER !! Hurlai-je, et  pourrais essayer de vous faire la même chose et ça je ne l'accepterait pas !
- Ashoka, il est 6h30 du matin, va dormir, s'il te plait ma puce. Tu as besoin de te reposer ! Rajoute mon père.
- Mais...
- Viens Ash, me dit Lewi, viens on va aller dormir.
- Ok...
Je suivis Lewi tout en lançant un dernier regard à mon père et Lucas qui me regardèrent toujours inquiets. Je le suivis à travers la maison jusqu'à ma chambre. Lewi entra le premier, il s'assit sur mon lit et je me dirigea vers ma garde-robe pour y prendre un pyjama, je me change dans ma salle de bain privé et va retrouvé Lewi sur le lit. Je m'étend à coté de lui, il se lève et va près de la commode pour s'y prendre l'un de ses pyjamas pour aller ensuite dans ma salle de bain. Vu qu'il est mon meilleur ami il dort souvent chez moi que ça soit ici ou à l'appartement, alors il a des pyjamas un peu partout haha, mais cette fois-ci c'est différent vu ce qui c'est passé hier. Y falloir qu'on est un énorme conversation, mais la fatigue est trop présente surtout avec l'autre dose de morphine que Lewi ma fait prendre pour la douleur. Il ressort de ma salle de bain et vient se coucher près de moi, très près de moi, il me fixe.
- Je t'aime. Chuchote t'il en me prenant dans ces bras.
- Je t'aime aussi.
...
Ça, c'est sorti tout seul. Mais c'est se que je ressens, car quelque chose se passe dans mon estomac en voyant le sourrir qui vient d'illuminer son visage.
Ah...merde...je suis amoureuse...

"Je suis tombé amoureuse comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir me défendre."