Ambre : De l'ombre à la lumière.

Le Dénouement ! (Tw) !

Mes chers planètes, vous n'êtes que le reflet lumineux d'une étoile à nos yeux. Tel un trompe l'œil, vous faites mine de l'être. Grand bien vous fasse.

Qui suis-je, pour vous dire qui vous devriez être.

Si tu veux être une étoile à mes yeux, soit en une et écoute moi !

Peu importe la couleur, ton emplacement dans l'univers, la composition de tes sols, ni même ta taille.

Vous êtes si belles et uniques, quelques soit vôtre histoire.

Que vous soyez tourmentées, ou pas, seule ou mal accompagnée, Perdues, incapable de résister aux assauts sauvages et violents qui font foi dans l'univers, il est temps pour vous de prendre un verre d’eau cosmique. Votre surface va s’assécher et se fissurer, vous donnant l'aspect d'une vielle dame, ridée par la vie, aigri d'ennuis, que l'on a oublié, sans grand états d'âmes .

La suite pourrait vous laisser sans atmosphère. 

Peut-être exploserez vous en route.

Comme une supernova, vous transformant ainsi en un trou noir, pour vous éteindre dans l'obscurité.

Sur le chemin j’imagine son mètre quatre-vingt-dix m’attendre. Sur le pas de la porte, son haleine fétide se répandre sur moi comme un nuage toxique . 

Je passe devant lui baissant la tête, mais à peine ai-je posé mon sac, qu’il me saute dessus ! Il prend mon bras droit d’abord et ensuite ma jambe gauche, me soulevant au-dessus de sa tête, ce qui n’est pas un exploit, du fait que je mesure un mètre cinquante trois, pour quarante kilos. 

Puis, il me relâche violemment sur la table à manger, brisant quelques assiettes, le couteau à fromage me coupant le dos au passage. 

— Où étais-tu ? Me chuchote t-il au creu de l’oreille, prenant sa voix diabolique. J’ai beau lui répéter que je suis passée à la bibliothèque. Il ne veut rien entendre ! Alors que je gis sur la table le dos ensanglanté, mon père me regarde avec des yeux rouges de colère. Je relève alors ma petite robe jaune, enlève délicatement ma culotte pour laisser apparaître mon atout le plus précieux dans ce genre de circonstances. 

Il m’observe et peu à peu il semble s’apaiser, je passe alors ma main dans mon dos. La main tâcher de sang je...

Non ! Vous n'aurez pas les détails.

lui montrant ce tableau de la vierge innocente encore pucelle, qui l'exite tant.

Je le regarde fixement lui fait croire à un plaisir partager. Il s’empresse de descendre son bleue de travail et commence à ... ! 

Encore une fois, j'ai vais devoir me taire, sur la réalité des faits, de peur d'être sencuré par le soleil.

Continuons mais si c'est trop dure pour toi, cache-toi derrière un nuage.

Il me demande de continuer, que tout me sera pardonné ! 

Mes petites étoiles, vous m'avez écouté tout ce temp, cette fois je vais tout vous dire et sans filtre. Finis l'hypocrisie ! Il est temp que je vous respecte, car ma guérison pourrait être la vôtre.

Je me souviens encore l’odeur et le goût salé de sa verge pénétrant ma gorge ! faisant des allers-retours incessants, je lui caresse les bourses en même temps. J’espère une chose que cela s’arrête, qu’il éjacule au plus vite ! Voilà pourquoi je faisais tout sela. lorsqu’il avait bu, c’était plus long et il en redemandé toujours plus.