La ruelle, sombre, vide est parsemée de tache pourpre dégoûtant les plus sensibles, mais cette femme, la femme aux cheveux d'un noir profond elle sourit, le regard absent. Son "œuvre d'art" devant elle. Le corps scindé, divisé, son sang s'écoulant de son corps. La meurtrière tenait fermement son couteau à la lame soigner, elle y tenait à cet assemblage d'acier qui lui permettait d'assouvir ses pulsions les plus noires. Elle n'en était pas à sa première proie notre chère veuve noire. Elle mis son arme dans son sac rouge. Elle quitta le lieu et plusieurs secondes après un hurlement se firent entendre, ce qu'elle aimait se sont remplis d'effrois qui lui donnaient la chère de poule. Elle ferma les yeux expira, son démon étant rassasié.
Marie, voilà le nom de cette tueuse au sang-froid, marier, avec un petit garçon. Personne ne l'avait soupçonné, après tout, Marie était une femme banale, employée de bureau, son casier judiciaire vide. Elle était intelligente, elle choisissait des lieus sombres, sans caméra, une arme commune que tout le monde possédait.
- Maman, maman ! Appelle le petit garçons à la chevelure d'or.
- Oui, mon cœur ?
- Les policiers.
Elle sourit à son petit garçon, après tout ce n'était pas la première fois. Elle prit le petit blond dans ses bras et invita les hommes en uniforme à entrer.
- Je peux vous aider ?
- Une femme vous as vu dans ce lieu du crime.
Il sortit une photo et montra à la jeune femme qui cacha les yeux de son petits garçons.
- Je veux bien vous aider mais pas quand mon petit garçon est là ! Poussin va voir Papa il est dans le jardin.
Il partit en courant.
- On peut fouiller la maison ? Demanda l'agent.
- Évidemment je n'ai rien à cacher !
L'officier partit à la recherche d'une quelconque arme.
- Monsieur l'agent ce n'est pas la première fois que l'on m'accuse, que s'est-il passé cette fois ?
- Une femme, la trentaine, découpé, la veuve noire enfin son mode opératoire.
Elle soupire, quelle actrice digne des plus grands oscars.
- Ou étiez-vous hier aux alentours de vingt heures, repris l'agent.
- Je rentrais du pressing puis je suis aller prendre un café avec ma collègue.
Il notait tous minutieusement dans son calpin. Si Marie avait appris une chose avec son mari, détective, c'est qu'il ne fallait jamais mentir. Elle avait été au pressing et avait réalisé son œuvre avant d'aller voir son amie, pile à l'heure. Le second homme revient, l'arme fétiche de Marie à la main.
- Vous voulez encore le faire inspectez ? demanda-t-elle.
- Oui ! dit le premier.
- Non, répondit le chef.
Son second resta estomaqué. Les deux hommes se regardèrent et le chef s'expliqua.
- Tout le monde a ce couteaux même ma femme, elle a un alibi et puis même la témoin à préciser qu'elle n'était pas sûre, Il regarda Marie, Je voudrais les coordonnées de votre amie.
Marie écrit tout et y tendit au sergent le sourire aux lèvres.
- Bonne fin d'après-midi madame.
- Au revoir, encore un plaisir de vous avoir aidé.
Elle claqua, la porte. Marie faisant ses meurtres depuis maintenant dix ans et personne même son mari n'avait jamais douté d'elle. La femme monta dans sa chambre et dans son journal intime elle fit un trait, semblable à un jour, sa voulait tout simplement signifier le nombre de ses victimes. Trente-neuf traits, trente-neuf morts.
FIN
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Histoires courtes
RomancePlusieurs histoire courtes. - Fantôme. -BxB et d'autres genres.