Enlèvement

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J’ouvris le dossier de la veille continuant à regarder différents fichiers de renseignement.
Je tombais sur un Tenya Iida un homme avec un air sérieux avec des lunettes au cheveux bleu nuit qui est un des hackers du groupe. Comme si cela suffisait pas, il était recherché comme un cyber très dangereux.
Kirishima Eijiro gérant du plan stups. Il dirige les points de vente et s’occupe du trafic.
Mais il est aussi le bras droit de Katsuki le blond d’hier, le « boss » de Shibuya.
Tokoyami Fumikage s’occupe des transactions d’armes importé de la mafia Russe via « Hawks » qui s’occupe aussi de transactions d’armes car il a un lien avec la mafia russe et italienne.
Oh mon dieu j’ai l’impression d’être dans un film.
Mais qui était ce dénommé Hawks ? Et de quel partie il était finalement ?
Sato Rikido qui était chargé du transport par les go fast grâce aux trafics routiers.
Ils feraient passé toute ces choses illégalement du Mexique en Europe.
Ils passaient par l’Asie, pour arriver à Nagasaki. Mais bien sur se pose la question comment font-ils pour passer la frontière? Les transporteurs de drogue achètent la route en payant des militaires ou des fonctionnaires qui sont corrompus, en payant les taxes ou le transport selon le volume du changement.
-BOUUUH !
C’est avec un cri peu viril que je me retournais en sursaut voyant qui était cette personne qui venait de me faire peur.
C’est la que je vois occhaco.
-Qu’est ce que tu regardes pour être aussi absorbé ? Dit-elle en se penchant de coté pour essayer de voir ce que je faisais.
Instinctivement je ferma violemment mon ordinateur.
-RIEN ! Je faisais simplement un devoir en technologie hahahaa, et qu’est ce que tu fais la ? 
-J’ai finis ma pause déjeuner j’allais me rendre à mon prochain cours, lorsque je t’ai vu !
Pendant qu’elle parlait je remis mon ordinateur dans mon sac rapidement oubliant de retirer la clé USB.
-Ahh ça tombe bien je viens de finir mon DM, j’allais retournais en cours aussi.
-Je suis tellement fatiguée ! Le cours de management était tellement barbant ! Franchement ! Mais je préfère cette matière au mathématique je dois avouer ! Lorsqu’il est question de calculer des données d’entreprise afin de voir leurs recette par mois et leurs profits c’est un peu gavant.
Je ne pus m’empêcher de lui sourire aimablement.
-C’est clair, je t’avoue que je ne suis fan des maths non plus. Lorsque je peux m’en passer c’est avec joie.
On rigolèrent ensuite. Pendant quelques instants j’avais presque oublié le monde qui m’entourait.
Je décide alors de l’accompagner devant sa salle de cours ayant encore un peu de temps devant moi.
-Bon on se voit ta-leur peut-être si on se croise ! Dans tous les cas je t’enverrais un message ce soir tache de répondre ! Dit-elle avec son sourire dont j’avais l’habitude.
-Oui compte sur moi ! Aller travaille bien, bonne chance !
Je lui fais des mouvements avec ma main et elle rentra dans sa salle.
Je fis demi-tour. Mon sourire retomba. Je n’avais pas intérêt à être comme ça se soir devant ma mère elle qui remarque très vite lorsque quelque chose ne vas pas. Je ne voudrais pas l’inquiéter.
Je veux la voir heureuse et souriante, donc ce soir je mets cette histoire de coté et je décide de passer du bon temps avec elle.
Les heures coulèrent rapidement. Je marchais le long d’une ruelle me rendant chez ma mère. Il était 18h03. La nuit a commencé à prendre place, le soleil s’étant déjà couché il y a quelques minutes de cela. L’air frais de la nuit commençais à apparaître me donnant quelques frissons de froid.
Ce matin à la hâte j’avais complètement oublié de me prendre une veste.
Arriver devant l’immeuble je montais les escaliers en direction de la porte.
J’appuyais sur la sonnette et on m’ouvrit quelques instants plus tard.
-Izuku chéri !!! Tu m’as tellement manqué !
Je n’eus le temps de réagir que ma mère me prit dans ses bras me serrant fort. Je lui rendis l’étreinte.
-Tu m’as manqué aussi maman, comment vas-tu ?  Lui dis-je d’un sourire ravi.
-Ça va ! Viens rentre ne restons pas au perron.
-Oui !
Je retirais mes chaussures à l’entrée faite spécialement pour ça et enfila mes chaussons que ma mère me donnait à chaque fois lorsque je venais chez elle et me dirige vers la cuisine suivant ma mère.
-Oh d’ailleurs tiens.
Je lui tendis des pâtisseries que j’avais pris en chemin pour elle ainsi que de la charcuterie.
-Oh tu es tellement adorable, merci mon chéri !
-Pas de soucis !
Je prie place dans une chaise dans la cuisine discutant avec ma mère pendant qu’elle faisait le repas.
-Tu as cherché ou trouvé du travail récemment ? Lui dis-je en me levant de ma place prenant un couteau l’aidant. Ce soir c’était curry. Je pris les oignons que j’épluchais avant de les émincer.
-J’ai cherché mais je n’ai pas pu en trouver. Tous demander des contrat à longue durée hors au vu de mon age j’ai bien peur de ne pas pouvoir m’engager à ça. Ils me l’ont dit aussi à plusieurs entretiens qu’ils préféraient prendre quelqu’un de plus jeune afin de s’assurer du bon fonctionnement du travaille et ainsi être plus actif.
-Dans tous les cas c’est bon laisse tomber. Je gagne assez avec ma bourse et mon petit boulot que je fais en programmant des logiciels pour des entreprises pour subvenir à nos besoins.
Et tu commences à être fatiguée à la longue, ta santé n’est plus celle qu’elle était auparavant c’est pour ça que je veux que tu te consacres à toi seule maintenant. A aller mieux, à ne pas te surmener. Lui dis-je tristement en la fixant m’arrêtant dans ma tache.
Elle me fixa avec des yeux larmoyants.
-Je suis tellement heureuse d’avoir un fils comme toi.
-Mais maman tu pleures ou je rêve ? La taquinais-je.
-Non, ce sont les oignons que tu découpes me réponds-elle en rigolant.
Je l’accompagnais dans son fou rire. Elle prit les oignons émincés et les mis avec les carottes dont elle s’était occupé et la viande de bœuf ainsi que le reste, épices, etc.
Je m’occupe alors de laver le riz plusieurs fois avant de le mettre dans l’auto-cuiseur.
On décide alors d’aller se mettre au salon décidant de regarder un film le temps que le repas soit prêt.
On regarda un film qui se nomme «Qu’est ce qu’on a fait au bon Dieu », j’avoue avoir eu plusieurs fou rire ma mère y compris.
Entre temps le repas était cuit, après avoir mangé on mangea quelques pâtisserie que j’avais ramené.
Vers 22 heure je décide de rentrer chez moi.
-Tu sais tu peux dormir ici Izuku.
-Je sais Maman mais je n’ai pas d’affaires propres et j’ai cours demain, je dois faire mon sac de cours.
-Bon très bien.
Elle m’accompagna jusqu’à la porte je lui dis au revoir en la câlinant.
Mon sac sur le dos je serrais les bretelles de celui-ci avec mes mains tout en marchant.
Il faisait vraiment froid. J’aurais bien écouté de la musique comme à mon habitude mais je n’avais pas mes écouteurs sur moi aujourd’hui. Frustré je poussais un soupir de lassitude.
La ruelle était sombre, des lampadaires ne semblait pas marché.
Je dois avouer que je ne flippe pas aussi rapidement mais je décide quand même d’accélérer le pas.
Lorsque d’un coup une voiture se mit le long de la route me coupant mon chemin à quelques mètres de moi. Mon cœur bondit dans ma poitrine. Je m’arrête alors et la portière de l’arrière voiture s’ouvrit me laissant découvrir un homme vêtu de noir. Je ne visualisais que ça car je ne cherchais pas à comprendre plus que je me retournais et fit demi-tour. Mais cette fois je me mis à courir, mon instinct de survie me le criait.
Je jetais un regard derrière moi mais je vis que l’homme avançait tranquillement, encore plus apeuré à cette vision je décide de me concentrer sur mon chemin. Au moment de tourner la tête pour fixer le chemin droit devant moi je me cognais face à quelque chose ou plutôt quelqu’un me faisant chuter en arrière. J’ouvris rapidement mes yeux qui s’était fermés instinctivement avec la chute et vit un homme. Mon sang s’arrêta de circuler. Je sentais mes membres devenirs flageolants.
L’homme qui se tenait devant moi était l’homme aux cheveux jaune avec un design d’éclair en noir sur les cheveux .Il était habillé d’un costume noir avec une chemise blanche ouverte au niveau des trois premiers boutons.
-Izuku Midoriya ? Dis celui-ci avec un sourire angélique.
Je me remis rapidement comme je le pus sur mes jambes voulant m’extirper de cette situation désespéré. Mais à peine retourner que je tombais en face d’un autre homme.
Aucun temps de réaction accordé que je sentis derrière moi que l’on me collait un tissu au niveau de ma bouche et de mon nez. Je posais instinctivement mes mains sur ceux du prioritaire du tissu essayant de le repousser mais c’était peine perdue. Je sentais mes yeux papillonnais et mes forces me quitter peu à peu. Mes jambes me lâchèrent et mes bras tombèrent le long de mon corps avant que je ne sombre dans l’inconscience.

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J'espère que ce chapitre vous plaira.
Bisous ♡

Le Hacker et le DealerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant