Le Hacker et le Dealer

Sherlock Holmes

 -Midoriya réveille toi.

-Encore cinq minutes répondis-je à mon interlocuteur encore ensommeillé.

-Ça fait 20 minutes que tu me dis ça !

Je frottais alors mes yeux avec ma main et leva mon visage encore endormis vers Iida.

-S'il te plaît Tenya laisse moi encore dormir un peu, j'ai mal dormis cette nuit et puis ce n'est pas comme si c'était urgent hein ? Désolée je n'ai aucune qualité de tueur ou je ne sais quoi, donc je ne vous serais pas utile dans une vos missions lançais-je irrité pour la première fois.

-Serais-tu devenu fou mon pauvre ? Et depuis quand tu m'appelles par mon nom ? Aller prépare toi je t'attends pour prendre le petit déjeuner.

Il sortit me laissant seul. C'est avec un soupir d'exaspération que je fis ma petite routine du matin avant de prendre place en face d'Iida comme à mon habitude dans l'immense table. Tout cela accompagné d'une horrible douleur brûlante au niveau de mes fesses et qui remontait un peu plus haut.

Ce matin nous étions seuls.

-Dis moi, hier tu as vraiment essayer de t'enfuir ?

Je garda ma main suspendue au dessus de ma bouche qui tenait une tartine de pain beurré.

-Non, fis-je doucement.

-Tu veux bien m'expliquer dans ce cas ? Lorsque je me suis retourner tu n'étais plus présent.

Comme c'était la seule personne de cette maison avec qui j'étais le plus proche, je lui raconta alors de A à Z.

J'hésitais à omettre la scène des toilettes mais je lui racontais aussi ce passage.

-Je vois répond t'il simplement. Je pense que tu ne mens pas, et puis que tu es pensé à t'enfuir c'est chose normal, c'est l'instinct de survie de l'homme. Je pense que j'aurais pensé comme toi.

-J'en doute pas lançais-je en mordant dans mon pain.

-Malheureusement le chef a pensé que tu as tenté de t'enfuir véritablement pour au final t'attraper avec un autre homme. Et puis je ne savais pas que tu aimé ce qui touchait aux animés !

-Je n'ai pas jugé cela intéressant à dire. Lui adressais-je d'un sourire.

-Mais si, ça reste une passion comme une autre. D'ailleurs c'est vrai que les gens hier bousculaient tous le monde comme des animaux en liberté de leurs cages pour la première fois ! Aucun respect vraiment ! Tu sais à combien de reprises j'ai étais poussé et propulsé contre le sol ainsi que contre d'autres personnes m'obligeant à m'excuser auprès de ceux là hors je n'étais fautif qu'à moitié !

Je le regarda ébahit et ne pus m'empêcher d'exploser de rire. J'eus un fou rire qui ne voulait vraiment pas s'arrêter, tellement que j'en avais mal au bide. C'était trop pour moi. Lui et sa façon de voir les choses d'une façon juste me faisait tellement marré car elle ne collait absolument pas à son profil actuelle.

-Ai-je dis quelque chose de drôle ? S'exclama celui-ci.

Rien que sa tête maintenant réussit à me refaire rire alors que j'avais réussis à me calmer quelque peu, m'étouffant avec un morceau de pain dans la gorge. Je commence alors à tousser fortement et Iida paniqua me servant un verre d'eau en quatrième vitesse me criant de boire, ce que je fis. Il vint à coté de moi me tapotant le dos.

-Aie tu me fais maaal ! C'est partit c'est bon, lui souris-je. Merci.

-Midoriya tu m'as fais une peur bleu. Il s'assied sur le siège à mes cotés se tenant la tête.