LA FAMILLE HADDOCK

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Jour J moins 354, huit heures. Installé dans la région de la Bretagne depuis trois décennies, plus exactement, dans le village dit 'LE CHATELLIER', situé à l'angle de la rue du Soleil levant et de l'allée des érables. A l'intérieur de cette charmante maison, logeait une famille de six personnes. Le radio réveil programmé, se mit en fonction.

Orchys, le père Botaniste, un mètre soixante-quinze, cinquante et un an, cheveu blond court, de gros yeux bleus, mit les pieds hors du lit. Une fois debout, celui-ci s'étira et bailla fortement, se grata la fesse gauche tout en se rendant à la cuisine, avec l'intention de faire une grande tasse de thé vert, avec du café pour sa tendre aimée.

Jumaëlla son épouse (Spécialiste des jardins Japonais), un mètre quatre-vingt-dix, cinquante-quatre ans à la chevelure torsadée, doré mi-long, de petits yeux bleu foncé avec une prédominance orange autour de la pupille, une couleur de peau identique à la fleur de Lotus clair. Elle attendait que l'arôme subtil du café, envahisse la chambre, qui l'inciterait peut-être à lever. Là, ne pouvant plus résister à la tentation, Jumaëlla se précipita hors du lit, enfila sa robe de chambre non ceinturée, laissant apparaitre une lingerie très sexy, une nuisette en dentelle G-string Vio turquoise dotée de bretelles couleur fuchsia. Cette tenue faisait ressortir ses atouts généreux, tel que son quatre-dix soixante-quinze quatre-vingt-dix, pour rejoindre son mari. Orchys l'entendit venir, se retourna et admira sa tendre aimée le rejoindre, dans un déhanché qui ferait lever un mort, les mains sur les hanches, comme s'il assistait à un défilé de mode.

- Je ne me lasserais jamais de regarder ! Superbe silhouette en huit, songe a-t-il en la matant.

- Je l'ai remarqué, tu ne restes pas insensible à mon charme ! argumente-t-elle tout en observant une déformation de son boxer.

Elle s'avança pour se blottir dans ses bras, puis ils s'embrassèrent langoureusement, mélangeant leurs écumes. Une fois assise, tous deux savourèrent cette tasse de café, tant attendue.

Christal l'ainée, un mètre soixante-quinze, trente et un an, une chevelure descendant jusqu'aux omoplates de couleur caramel parsemée de mèches blondes, les yeux en amande dont l'extrémité extérieur pointait légèrement vers le haut, autour de la pupille noire, quelques tâches noisette clairsemées sur l'œil bleu clair. Treize minutes s'écoulèrent, ensuite, elle mit les deux pieds hors du lit, enfila sa robe de chambre couleur bordeaux, puis les rejoignit dans la cuisine.

Suivi de peu par Orchyliane, la cadette de vingt-huit ans, un mètre quatre-vingt-sept, une chevelure ondulée nacrée entre le gris et le violet, le visage ovale, la couleur de peau se rapprochant à de l'orange nacré, les yeux gris clair avec la particularité d'afficher autour de la pupille la forme d'un pentagone, à chaque angle, une branche terminée par une bille tel un flocon de neige gelé, surnommée la Barbie orangée sur les réseaux sociaux.

Un quart d'heure plus tard, c'est autour de Lionacéa, vingt-quatre ans, un mètre trente-cinq, cheveu châtain ondulés, long jusqu'aux épaules, des yeux bleu imposants, aux formes généreuses les rejoignit à la cuisine.

Quant à la dernière, Anéopis, un mètre soixante-quinze, chevelure rose mi-long, dix-neuf ans, les yeux bleu vert d'un regard intense, élancée, hermaphrodite, se leva peu à prêt.

Orchys, aidée par son épouse, attelèrent la remorque au monospace, sur laquelle se trouvait le hors-bord en coque semi-rigide de dix places avec console centrale. Une fois les bagages chargés, le véhicule était fin prêt pour le départ. Aussitôt le petit déjeuner avalé, chacun prit place dans le véhicule et direction le port de plaisance de Grandville. Une atmosphère heureuse régnait, chantonnant sur différentes aires, comme ''My Heart will Go On'' pour le paquebot transatlantique Britannique le "Titanic" qui sombra au large de Terre Neuve, dans la nuit du douze au treize Avril mille neuf cent douze, par une chanteuse québécoise et bien d'autres encore. Une fois arrivé au port de plaisance, Orchys recula la voiture, afin de mettre le hors-bord à l'eau, les bagages placés et arrimés, chacun des membres s'asseyait. Orchys plaça véhicule ainsi que la remorque, sur le parking prévu au plaisancier. Rejoignant le hors-bord, Anéopis aux commandes, les deux moteurs de 4,2L dotés d'une puissance de deux cent vingt virgule six kilowatts chantèrent à merveille, le goure familiale mit le cap sur l'ile de Jersey. Le zodiac arriva dans au port de plaisance de Saint Aubin, une fois amarré, les membres rejoignirent le véhicule tout-terrain stationné sur le parking, un Defender familial. La voiture se mit à rouler sur une courte distance sur l'A13, après quoi, tourna à gauche sur la rue de haut, peu à prêt le virage à gauche serré et juste avant le virage Léger à droite, le véhicule s'engagea sur le chemin de Belcroute. Poursuivant sur cette section non revêtue d'asphalte, la voiture s'immobilisa devant la splendide et imposante demeure.

L'ULTIME CHOIXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant