chapitre 3

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Moi : Madame, je n'ai aucune information sur lui. Il a sauté d'un pont, et je l'ai rattrapé.

La réceptionniste : Signez ici, s'il vous plaît, dit-elle en me montrant l'endroit.

L'infirmière vient vers moi.

Elle : Il va très bien, Dieu merci. Vous êtes arrivé à temps. Il se réveillera dans quelques heures.

Moi : D'accord, merci.

Je vais dans sa chambre, il dort paisiblement. Mais attendez, je ne me suis pas présenté. Je suis Shoto Todoroki, j'ai 17 ans, élève au lycée Yuei, l'un des plus prestigieux. Je suis le fils du grand Enji Todoroki, le plus grand entrepreneur de Tokyo, donc plutôt connu. Ma mère est décédée quand j'avais 4 ou 5 ans, j'ai peu de souvenirs d'elle. Bon, côté amour, l'autre idiot d'Izuku Midoriya m'a trompé avec Denki, mais bon, j'ai passé une semaine à me morfondre, c'est terminé.

Je dois chercher à manger, peut-être qu'il aura faim quand il se réveillera. Je vais au restaurant, lui achète des sushis et une canette de coca...

*Dans la peau de Katsuki Bakugo*

J'ouvre les yeux, j'ai un mal de crâne horrible. Attendez, je n'étais pas censé être mort ? Pourquoi suis-je à l'hôpital ? La porte s'ouvre sur un bicolore, mais c'est qui lui ?

Lui : Euh, bonjour.

Je ne sais quoi faire et hoche la tête.

Lui : Je t'ai acheté à manger.

Il me tend le sushi. Comment lui dire merci, c'est le moment le plus gênant de ma vie ? Il ouvre la boîte, je commence à manger, j'avais vraiment faim. Mais il me fixe, il doit sûrement attendre des explications.

Je pense que c'est le moment le plus gênant de ma vie. Il appuie sur le bouton rouge pour appeler l'infirmière.

Lui : Excusez-moi, madame, je pense qu'il a un problème.

L'infirmière vient vers moi.

Elle : Monsieur, vous pouvez parler ?

Je fais non de la tête.

Elle : Vous êtes muet ?

Je fais non de la tête.

Elle : Tenez, ce carnet, dites ce qui ne va pas.

Je prends le carnet et commence à écrire. Elle prend le carnet et lit.

"Ça fait 6 mois que je ne parle plus. Un docteur m'a dit que c'est temporaire."

Elle : D'accord, je vais en parler avec le docteur. Monsieur Todoroki, je vous laisse le carnet, peut-être que vous allez communiquer. Sur ce, je reviens plus tard.

Je prends le carnet et lui écris un mot

Il prend et lit, "Merci beaucoup."

Shoto:Ce n'est rien ! Moi s'est Shoto et toi ?

Je lui écris, "Katsuki Bakugo."

Il sourit et me tend sa main.

J'hésite, puis la serre.

Lui : Enchanté, dit-il avec un grand sourire.

Lui : ...

Todobaku: Toi ma raison de vivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant