Chapitre 11 - les Hamilton

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Image : Margaret Hamilton 


Apres l'entrevu avec mama Din, c'est tremblante que Rose se rendit dans la chambre du Maître John junior. Le dîner avec la famille Hamilton commencerai certainement dans une heure. Elle avait essayé  de retarder la rencontre avec John mais si elle tardait trop, elle risquait de se faire frappé, ou pire fouetté. Son esprit n arrêtait pas de réfléchir à la situation. Apres les confidence de mama elle savait clairement que le maitre voulais d elle. Mais elle ne comprenais pas pourquoi il ne l avais pas deja fait. Elle savait ne pas avoir le choix mais elle ne pouvait se résoudre à lui donner son corps elle en frissonnait d horreur. Elle savait la chance qu elle avait eu d avoir été protege par mama et comprenais la haine de certain esclave de son age a son encontre. Elle voyait la cruauté des autres blanc de la plantation et imaginais facilement les actions perverses qu' eux aussi auraient commises. Mama lui avait demande de les éviter et si possible de se faire petite devant eux pour ne pas se faire remarquer. C'est tremblante qu'elle ouvrit la porte de la chambre et entrai. Il était assit torse nu sur la chaise de son bureau, écrivant une lettre. Sans lever la tete, il lui dit: 

- Tu es en retard Rose

- je vous demande pardon maître à cause du dîner de ce soir il y avait beaucoup à faire en bas.

Il se leva en colère et lui saisi le menton du bout des doigts. Sa bouche était si proche de son visage qu'elle pouvait sentir son souffle chaud sur ses lèvres. 

- Que ce soit la première et la dernière fois que tu me fais attendre? la prochaine fois je te faire battre tu m'as bien compris?

- Oui maître dit elle dans un souffle. 

Il se mit à la dévisager, son regard d'un bleu intense remplit de convoitise parcourrais ses yeux d'un marron caramel, son nez fin et s'attarda sur ses lèvres pulpeuse qui avait l'air délicieuse. D'un geste qu'il ne put expliquer lui même il se mit à caresser son visage du sien en reniflant son odeur, elle sentait l'huile de coco et autre chose qu'il ne pouvait décrire. Cette esclave fessait naître en lui des sensations qu'il n'avait jamais ressentie auparavant. Pour aucune femme, Noire ou blanche, pas même pour celle qui devait devenir sa femme. Depuis la rencontre de la rivière ou elle lui avait offerte la vision la plus belle et sensuelle qu'il n'eu jamais vu, il ne pouvait s'empêcher de penser à elle. Cela devenait une obsession. Il passait ses nuits à baiser et se masturber en l'imaginant elle. Il aurait pu la baiser depuis, la prendre ici même sauvagement, après tous elle étais son esclave. Mais non il ne sait pas pourquoi mais il voulait prendre son temps avec elle, il voulait savourer chaque instant. Il voulait qu'elle le désire comme lui la désirait. C'était bien la première fois qu'un tel sentiment l'animais. Il caressa du pouce ses lèvres rose charnus et la douceur de ses lèvres le fit bander encore plus dur. Rose ne savait, plus comment se tenir. Alors qu'elle devait ressentir de la peur, c'est un autre sentiment qui naissait au crue de ses reins. Quand il se mit à lécher et embrasser son cou, elle lâcha un petit crie d'excitation qui le fit sourire puis il glissa ses lèvres jusqu'à son oreille et dit :

- Oh oui je sens qu'avec toi ce sera exceptionnel ma petite Tique. Je l'ai toujours su. Il la repoussa et repris son masque de froideur. 

- Sort maintenant je n'ai plus besoin de toi.

Rose cligna des yeux comme pour se réveiller et comme si de rien n'était, il prit sa veste et la porta sans un regard pour elle.  

C'est en titubant qu'elle sortie de la chambre.

C'est en titubant qu'elle sortie de la chambre

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PDV John Junior:

Me rendre à ce dîner de mascarade m'ennuyais plus qu'autre chose.  Je revêtis pour l'occasion un costume noir prêt du corps qui laissait voir ma musculature. Je du m'ajuster, je n'avais pas envie quelqu'un s'aperçoive que je bande comme un âne. Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai agis comme ça. Pourquoi je n'arrive pas à m'enlever rose de la tete. J'ai du faire un effort considérable pour me retenir de la baiser à même le sol de ma chambre. Bref il faut que je me dépêche je pense que nos invités sont déjà là. Je plaque mes cheveux, sort de la chambre et me rend dans le grand salon.

- Ah enfin voici donc le bien heureux fiancé s'écria Mr Hamilton à mon entrée. C était un homme grand de taille, moustachue, avec un ventre si protubérant que l'on pouvait bien imaginer sa chemise crier à l'aide. Cette homme était le synonyme de la vulgarité.  C'est sa fortune colossale qui lui a ouvert les portes du cercle très fermer de la haute classe américaine. Je m'approchais de lui, sourire aux lèvres et serrait sa main pour le saluer. 

- Mr Hamilton bienvenue chez nous

- Appeler moi Robert voyant, nous sommes maintenant de la même famille. Je souris hypocritement

 - Bien sur Robert. Ah Madame Hamilton, vous êtes encore plus belle qu'à notre précédente rencontre. 

- Oh John petit charmeur répondit elle rouge de plaisir

- Me ferez vous l'honneur de vous appeler vous aussi par votre prénom?

- Evidemment John

- Je vois que tu t'es lancé dans une opération séduction intervint Gab Hamilton frère aîné de Margaret Arrête donc de te produire 

- Désolé si mon trop plein de charme te complexe c'est vrai que charmant est un adjectif qui ne t'a jamais qualifié Gab répondit sèchement John 

- Non évidement très cher beau frère.

Gab et moi avons été dans les mêmes écoles. Il s'est toujours donné beaucoup de mal pour me faire sentir qu'ils étaient supérieur à cause de leur nouvelle richesse.  Nous nous fixions comme deux coqs prêt à en découdre quand je vis Margaret descendre des escaliers accompagné de ma sœur. Je ne pus m'empêcher d'admirer sa beauté. Elle portait une robe de bal volumineuse rouge qui fessait ressortir sa peau laiteuse, et qui mettait en valeur sa poitrine. Meme si je n'avait pas envie de me marier avec elle, je devais reconnaître qu'elle était une belle femme. Son port de tete était digne d une reine. Et je dois reconnaitre que si je n étais pas obsédé par une certaine esclave et surtout essaye je de mentir par mes projets d entreprise c est sans chichi que je l aurais accepte. Mais cela n a plus d importance. Sa fortune et la propriété de clearwater me permettra d atteindre plus facilement mes objectif. Donc si je devais simuler l homme amoureux et m empêcher de baiser pour jouer au gendre ideal jusqu' au mariage je le ferai. Et si je pouvais enrager son con de frere au passage ce serai avec plaisir.

- ma très chère Margaret dis je en me rapprochant d elle et en lui baisant la main. Vous êtes magnifique ce soir vous êtes sans contexte la femme la plus belle de cette pièce.

- oh très cher John le croyez vous vraiment ? Dit elle rouge de plaisir.

- vous ne devriez jamais douter de la parole de votre futur époux très chère.

- Il a absolument raison dit Mme caroline et maintenant je vous pris de me suivre le dîné est servit.

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Je tenais à m'excuser pour la lenteur de publication. Malheureusement je n ai plus assez de temps libre comme avant.

Merci encore pour votre patiente et de continuer à lire mon histoire. Gros bisous. Que Dieu vous bénisse en ce dimanche.

POUR L'AMOUR D'UNE ESCLAVE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant