Chapitre 5

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SARAH

J'ignore depuis combien de temps je n'ai pas mang mais je suis à bout de force. J'ai eu le temps de réfléchir, de dormir et de faire au moins cent fois le tour de la pièce. L'homme n'est pas revenu me nourrir depuis que j'ai refusé de l'appeler « maître ».
Je reste assise sur ma couverture crasseuse car je n'ai plus de force. D'un coup l'espoir de manger reviens, un cliquetis de clé se fait entendre. Un garçon à peine plus vieux que moi apparaît. Je ne le connais pas mais il a de la nourriture avec lui.

- Tiens, nourrit toi. T'as l'air faible.
-Merci. T'es Roy c'est ça?
-Ouais. Tu es sensée m'appeler « maître » mais pour cette fois je laisse couler.
- Ne fais pas semblant d'être gentil avec moi. T'es autant un connard que ces gars qui m'ont enlevé. Si tu étais une personne bien tu me laisserais partir.
- Pourquoi te laisser partir alors que te garder ici me rapporte beaucoup d'argent. En plus, je n'ai pas le droit de te toucher sexuellement parlant. Mais tu as de la chance je suis connue pour ne jamais écouter les règles imposées. Ca te feras un avant goût de ce qu'il t'attend chez ton futur propriétaire.
- Je ne suis pas un jouet et encore moins un chien que tu peux dresser. Bande de connard!
- Ce que tu es impolis. Des mots aussi grossiers ne devraient pas sortir d'une si jolie bouche. Bon allez je te laisse prendre des forces tu en auras besoin pour ce que je te réserve ma belle.

Il me laisse seule avec mon repas qui est le même que la dernière fois. Je n'ai même pas de couverts pour manger. Aucune arme pouvant me servir à me défendre. J'ai peur. J'en veut toujours autant à ma mère. Je la hais plus que jamais. Grâce à elle je m'apprête à me faire violé par un mec qui me répugne. Je termine mon repas et me repose sur mon « lit » en attendant mon viol programmé. Clairement on peut le dire ce mec savait qu'il me prendrait de force.
Tout comme je savais que ça arriverais...

Quelques temps plus tard il est de retour. Mes poils se hérissent et je sens le danger arriver.

- Tu es prête? Ne t'inquiète pas ce sera rapide si tu es sage.
- Ne me touche pas gros porc.

Il rit et me gifle. Il saisit mes mains et les attaches entre elles en plus de mes liens déjà présent. Je suis en robe l'accès est trop facile. Je ne peux donc rien faire quand il glisse sa main entre mes jambes pour arracher ma culotte.

-De la dentelle? C'est une invitation? Tu pensais qu'un mec normal résisterait à ça? Non mais franchement.
Il souri et introduit un doigt en moi. La douleur est horrible. Je suis sèche et son doigt aussi, il me fait mal j'ai l'impression qu'on m'enfonce des lames dans le vagin. Roy me regarde tout souriant et enlève son doigt avant de le lécher. J'ai envie de vomir, il me dégoûte. Ensuite il enlève son pantalon . Je pensais qu'il allait directement aller vers mon intimité mais au lieux de ça il se dirige vers ma bouche que je ferme aussitôt tout en serrant les cuisses.

-Tu vas être gentille et ouvrir ta bouche. Je te préviens si tu me mord je serais plus violant avec toi et crois moi tu t'en rappellera.
Je refuse et lui crache au visage.
Je me prend un coup de poing qui me fait desserrer les lèvres. Il en profite pour s'introduire dans ma bouche et aller jusque dans ma gorge. Je sens que je vais vomir.

-Tu vois quand tu veux cochonne. Avec ta petite bouche là mh ouais c'est trop bon. Je vais m'enlever sinon je vais jouir avant d'avoir essayer ta petite chatte serrée.

Il continu malgré tout ses va et viens dans ma bouche plus violemment. Entre ses mains je ne suis qu'une poupée. Je pleure et il continue encore et encore et d'un coup il s'enlève. Il m'attrape par le coup et m'étrangle. Il me force à m'allonger et se place entre mes cuisses. Il s'y introduit d'un seule coup ce qui me fait hurler de douleur. Il souri fière de lui et me baise violemment en tripotant ma poitrine.

-ce que tu es bonne putain je devrais t'acheter pour t'avoir a moi tout seule et pouvoir te prendre a volonté. T'es toute serré et quand tu cri comme tu le fais oh putain ouais! Oh je vais jouir hurle pour moi une dernière fois ma belle.

Il sort et rentre violemment encore plus fort que la première fois et je hurle de douleur quand il m'attrape par les cheveux. Et il jouit si fort avant de s'effondrer sur moi qui pleur et qui ai mal je ne bouge plus et il reste sur moi en continuant ses va et vient se donnant du plaisir. C'est un homme immonde. Je me sens sale.

Quand il se retire et s'en va je me roule en boule et je pleure toutes les larmes de mon corps.
Enlevée, frapper, violée, salis. Je disais que je me laisserais pas faire mais je ne sais pas combien de temps je tiendrais. A force de recevoir des coups mon visage est gonflé je ne dois plus ressembler à grand chose avec mon maquillage qui date d'il y a des jours.

Je dois faire comme si j'étais devenue obéissante et demander si je peux prendre une douche. Rien que pour me sentir mieux et voir à quoi je ressemble. Ensuite je trouverais quelque chose n'importe quoi pour me défendre et me sauver.

Je garde cet objectif en tête et à ce moment je me décide: commencer à faire des pompes et j'ai remarquer un tuyau trop solide pour être arracher je ferais des tractions et des abdos. Je risque de me fatiguer rapidement mais si je suis obéissante je mangerais chaque jour. Je prendrais en force et je pourrais plus facilement me défendre.
Ça vaut le coup d'essayer. Ça m'occupera. Au pire je crèverais et ce sera la fin de se calvaire.

Je commence demain pour me remettre de mon viol physiquement du moins car psychologiquement je ne m'en remettrais jamais.
Sur ces pensées, je m'endors mon propre sang coulant entre mes cuisse avec les sécrétions de mon violeur et ma couverture trempé de mes larmes.

SarahOù les histoires vivent. Découvrez maintenant