Lights music - HS

Chapitre 8.

J'étais bien confortablement installé dans mon siège. Les claquements de doigts de Jason me réveillant toutes les deux minutes. C'est quand il en refis un que je râla :

Moi- Je déteste le lundi.

Jason- Moi aussi poupée mais là il faut bougé. Je relève mon regard vers lui pour lui montrer mon attention. Enfin tu m'écoute, ton premier interviews de grosse stars arrive aujourd'hui.

Moi- Hmm... Je referme mes yeux et penche ma tête en arrière pour la poser sur le dossier de mon énorme siège roulant que j'adore déjà, le même que celui du studio des gars. Je souris à cette pensée débile mais me rattrape bien vite, sauf que c'est trop tard.

Jason- Je rêve ou tu as souris comme une débile ?

Un lien de vieux potes s'était créé entre moi et Jason. Ses surnoms débiles n'était en aucun cas de la drague mais bien des surnoms débiles pour me faire chier. Sauf que j'étais impassible, et ça il l'avait bien remarqué, pas que lui mais tous le monde, ainsi que ma superbe énergie du lundi matin. Je n'avais pas vu les gars depuis l'incendie et je mentirai si leur visite surprise me manque pas car je m'y étais habitué, oui, en deux fois. Je m'entendais plutôt bien avec Bruno qui prenait la place de mon frère et Mary... une amie ? Je me suis toujours mieux entendue avec les mecs, depuis la 6ème où j'ai enfin vu la vérité en face avec les disputes de gamine de celles-ci. J'adore Mary mais je ne lui montre pas beaucoup.

Jason- Mary ! Vous avez quoi les filles à vous endormir là ! Je glousse comme une débile puis pars dans un fous rire, très vite suivie de Mary. Nous nous calmons et nous nous affalons en même temps sur la table. Sauf que, bien sur, le point de Bruno cognant très fort sur celle-ci nous réveille direct. Merci Bruno. Mary remaquille Ali car là on dirait un zombie Je tourne ma tête vers lui méchamment Et ses cheveux aussi, désolé ma belle mais je dis que la vérité.

Bruno ne sait faire que hocher la tête depuis deux minutes et Mary se lève suivis de moi qui ne manque pas de donner une tape sur l'arrière de la tête des deux garçons. Pendant que Mary me maquillait, on apprenait à se connaître et je finis par crier pour que les garçons m'entende :

Moi- C'est qui que je vais interroger ?!

Mary hausse les épaules et Jason arrive une tasse de café à la main :

Jason- Les Little Mix.

Moi- Je pris mon menton entre me doigts et réfléchis pendant 30 secondes Hmm je vois... Y a la copine de Zayn non ?

L'équipe avait encore du mal sur le fait que je connaissais les One direction à par Bruno qui les avaient rencontrés, mais il ne savait pas que j'étais la demi-sœur de Louis.

Jason- Euh... Ouais.

Moi- Je rigole à sa tête Va falloir t'en remettre tu sais. C'est des stars comme les autres, toi aussi tu es connu.

Jason- Mais pas dans le monde entier ! Je sursaute à son cris Elles arrivent dans 10 minutes donc grouillez les filles. A l'antenne dans 15.

On hochent la tête toutes le deux, choqués par Jason. Mary me dit qu'elle à finit et je me retourne. Mon image me fait plaisir pour une fois, je sais que tout le monde me dit que je suis belle mais j'arrive toujours à me trouver un défaut. Mary m'a juste relevé mon teint avec un peu de poudre et m'a brossé mes cheveux soigneusement, ce que je ne fais que rarement et me les a bouclés en des boucles très peu prononcés. Je secoués mes cheveux pour qu'ils s'assemblent et me lève. Je remercie Mary et nous sortons de la pièce de détente du personnel, notre équipe quoi. Je me remis du rouge à lèvre rouge bien prononcé et m'installai dans mon siège. Jason, avec toute sa délicatesse m'a dit que je ressemblais à une p*te et Bruno l'a rattrapé en me disant que j'étais magnifique. Je prend mon portable et ne voyant qu'il me restait 5 minutes je tweetait « Aujourd'hui les Little Mix avec nous dans le studio, posait nous vos questions ! » alors que répondais direct Jason « Avec de l'énergie ! ». Je relève mes yeux pour le foudroyer du regard mais je le vois regarder derrière lui, ainsi que Bruno et Mary. Je pose alors moi aussi mon regard vers les visiteurs et fis mon sourire du boulot pour les accueillir, essayant de rester naturelle. Les autres ne bougeait pas, alors que moi je me levais et vint leurs serrait la main. Elles étaient très gentilles et je les installait autour de la table. Je me réinstalla dans mon siège qui portait la marque du vieux bonhomme d'avant moi et me cala dedans. Ils n'y avaient que nous, pas de public, rien que nous. J'entendis un homme décompté et je parla enfin au micro :