Earned It. Ryan Carter.

Chapitre 1

Si organisée et émerveillement éblouissante en bon milieu de la nuit, on pouvait ainsi remarquer que même si la nuit fut bonnement entamée, la ville de péché resta en mouvement. Les fourmis qui firent partie de cette ville furent d'un mixte interminable — des brésiliens, des portoricains, des colombiens même des français qui entamèrent un mode de vie parfaitement ressemblant à celui d'un new-yorkais. Les rêves s'organisèrent et se réalisèrent que dans cette ville, c'est tel un paradis où on pouvait trouver notre chemin exact pour exaucer nos aveux.

Il regarda de haut, disant dans son 50ème étage, une parfaite vision admirable de New York, Manhattan en 23 heures était si magnifiquement admirative, avec ses guirlandes éblouissantes et ses bâtiments parfaitement organisés. Un bon vin blanc à la main, il absorba finement son verre tout en regardant cette vue offerte grâce à sa grande baie vitrée imposée dans son gigantesque bureau. C'était son plus cher endroit, son endroit préféré dans ce temps parfait afin de bien profiter de ce silence apaisant, accompagné de sa bouteille qui rajouterait un goût envoutant à la soirée.

Le temps ne dura pas, les minutes passèrent et Ryan Carter se fut interrompu en bon milieu de la soirée par un bipé venant de son appareil téléphonique. Un long soupir de désespoir s'échappa de ses lèvres avant de tourner vers son bureau et de s'attabler face à sa table vitrée pour attraper son téléphone en main.

From Milani.
To Ryan.
"J'espère que tu me prêteras un peu d'attention, Ryan. Il est temps qu'on parle je peux pas entremêler une relation en ces conditions, réponds s'il te plait"
End of the message.

Soufflant de nouveau, il savait que c'était un énième message de sa part, après 2 ans de relation, les choses tournèrent mal dernièrement, tout simplement, Ryan ne dura pas sur ces histoires. On s'ennuyait facilement avec lui, un homme si perturbé par les affaires, un homme extravagant avec une réputation si sensible à gérer, un homme qui ne chercha qu'avancer sur ses activités et ainsi de réaliser ses projets.
Éteignant le téléphone, il le posa sur son bureau avant de mettre son front contre sa main, qui commença légèrement à le masser afin d'apaiser cet air tendu en lui et d'essayer un peu de s'y organiser sur ce qu'il l'attendait pour de vrai, se focalisant sur ce qui fut plus important que ces histoires inutiles de stupides états d'âme.
Il se releva d'un bond et se dirigea vers la sortie tout en attrapant sa veste en main au passage, regagnant son gigantesque séjour à la hâte, de but de seulement trouver la paix des bras de Morphee.

∞

Elle était tout juste devant sa fenêtre, observant la route désertée de ses fourmis, disant que les villes de New York ne semblèrent pas être si semblables, la voie de Brooklyn — la voie de Williamsburg — la voie de la sagesse et de la méfiance en bon milieu de la nuit. Calant sa tête contre le mur, elle observa le plafond de son petit coin où elle vécût avec sa meilleure amie, Mégane. Se plongeant dans ses pensées vagabondantes et perturbantes, la jeune femme pensa fortement à son avenir, elle voulait quoi qu'il arrive atteindre son but et rien ne pût l'empêcher de l'atteindre, elle pouvait l'achever sans aucun doute. Sa confiance en elle était si réelle et si remarquable qu'elle serait prête à tout pour devenir journaliste dans "Press People" sachant déjà qu'elle gardait son poste en main puisqu'elle fut une stagiaire dans la société, leur emmenant que de la nouveauté satisfaisante, alors, y'aura donc cette forte possibilité qu'elle prenne officiellement le poste.

Dans une bonne mâtinée du lendemain, la jeune brune aux cheveux carrés se leva en forme comme à son habitude. Ce jour fut le grand jour pour elle, elle serait en déplacement pour la première fois, afin d'aller exercer son rôle de journaliste auprès d'un homme très bien réputé et prospéré. Un sourire lui éclatant le visage, elle était prête et excitée de débuter cette journée. En uniforme assez présentable, la jeune femme opta pour un large pantalon noir satiné et une chemise d'un blanc sale lui accompagnant une petite veste de costume noire sur les épaules. Elle prêta la voiture de sa meilleure amie qu'elle l'embrassa sur la joue avant d'attraper son sac et de rejoindre la voie de la sortie.