Epilogue

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Année 1522.

Sur une île inhabité en plein Grand Line, différents bateaux mouillés dans une petite plage au sables fins. Le climat est pluvieux, un véritable torrent d'eau se déverse d'un ciel rempli d'éclaires assez puissants pour fendre la mer en deux. 

- Marco ? Attends nous !

- Laisse le... ça va faire un an.

Deux pirates s'écrièrent à la partie avant d'un navire semblable à une baleine blanche. Un homme blond cours à perdre souffle dans l'île, jusqu'à slalomé entre différents arbres tropicales très proches multicolores. 

Quelques minutes plus tard, il arrive à la sortie de cette forêt luxuriante et vaste, pour faire face ; là, à une colline verte...

Il redressa son regard vers le sommet, alors qu'un coup de tonnerre retenti éclairant son visage trempé. 

Il pleurait mais les larmes ne pouvait point voir sous cette pluie... démentiel.

- ... M'y voilà. Oi.

Dans ses bras, un gros bouquet de fleurs aussi belles que scintillantes y logé. En grimpant tout en haut de cette colline, il fut enfin devant une tombe bien, particulière. Où dessus se trouvait un collier en perles violettes entouré de nombreuses mais nombreuses fleurs et de livres d'aventures.

Une larme de plus coula sur le sol d'herbe, et du visage de Marco. Il posa lentement son bouquet les mains tremblantes, devant cette tombe. Où un de ses genoux flancha sur ce sol trempé posant une main sur son visage, grimaçant de peine. Avant d'hurler de sanglots ses cris s'étouffant par ce climat désastreux.

***

A l'intérieur du Moby Dick.

Habituellement l'ambiance était à la fête, mais cette fois-ci... il avait un silence meurtri. Dans sa cabine, l'empereur des mers et ancien rival de Gol D. Roger buvait une énième bouteille de rhum pour étancher sa soif, que sa lourde tristesse présente dans son cœur.

Toc-Toc.

La personne qui avait toqué, n'entends aucunes invitations lui offrant l'obligeance de rentrer dans les quartiers du capitaine pirate. 

- Père... Cela va faire deux mois que tu ne sors pu ! On s'inquiète tous !

- Mh. Vista ? Que fait tu devant la cabine du paternel ?

- Oh ? Thatch. 

L'épéiste se retourna pour voir avancer l'un des coqs de l'équipage, à la coiffure atypique semblable à une banane, tenant dans ses bras un plateau de vivres. Ils émettent un sourire même si l'envie n'était pas présente. 

- Il prend toujours ses médicaments... ? Questionna Vista.

- Il a perdu la faim mais il se converse, le vieux... Eh puis c'est toujours douloureux pour un parent d'enterré son enfant, avant lui même.

- Essaye t'aura sûrement plus de chances ! Soupira l'épéiste.

- Aucunes chances. Nous parlons de père, tu ne peu faire plus têtue... murmura t-il en déposant le plateau de vivres, au pied de la porte de la cabine. 

En se redressant son dos craqua lentement, et il posa une main sur l'épaule de son ami et frère d'armes de longue date. Avant d'observer la porte en bois des quartiers de Barbe Blanche.

- Il mangera la moitié de mes plats, aller, laissons le tranquille, il se fait tard.

...

FIN.




One Piece : Une petite sirène. [TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant