L'élue des Valars - Tome II

Astal

PDV ELERINNA :

J'étais restée ébahie quelques minutes avant de dire quelque chose.

- Donc vous voulez dire que mon pouvoir à résidé ici avant de m'être attribuée ?!

- Tout à fait...

- Mais pourquoi me dire ça... Et surtout pourquoi maintenant ?!

- Car malgré le fait que ton Canad-Tur n'était plus en Fangorn quand Sauron a attaqué la forêt, il était étroitement lié à elle et ton pouvoir va lentement commencer à s'obscurcir et... Toi avec. Et si cela se passe, alors Sauron aura gagné une puissance supérieure à l'anneau. Et si en plus il retrouve l'anneau... Ce serait alors une catastrophe ! Il pourrait battre les Valars avec ça...

- Je ne comprends pas bien une chose... Si Sauron est si cupide et maléfique... Comment à t'il pu débloquer des pouvoirs qui nous on été donner par les Valars pour faire le bien ?

- Parce qu'une fois le Canad-Tur donner au porteur, il se pli à l'entière volonté de celui-ci et si le porteur est cupide, les pouvoir se débloquerons par de mauvaise action...

- Je ne comprends pas...

- C'est simple. Toi tu à débloquer le pouvoir du feu car tu était sur le points de mourir, n'est-ce pas ?

- Oui...

- Tu l'as donc débloqué pour faire vivre. Sauron, lui à débloquer son pouvoir par colère... Un prisonnier refusait de coopérer, il s'est mit en colère et le pouvoir c'est débloquer à cause des pulsions meurtrière qu'il avait dans sa colère... Il l'a donc débloqué pour tuer.

- Alors si je comprends bien mes pouvoirs se débloquerons après de gros choque émotionnel et seulement si j'ai le désir de sauver des vies ?

- Oui... Mais il faut que la vie que tu sauve sois bénéfique...Si tu veux sauver des orcs ça ne marchera pas...

J'ai acquiescé et l'arbre m'a souri avant de dire :

- Tu dois y aller maintenant... J'ai endormis ton corps pour que ton esprit puisse suivre la mélodie mais tes compagnons s'inquiète pour toi... Au revoir Élue... On se reverra...

- Attendez ! Qui êtes-vous ?

- Je suis un messager des Valars... Je m'appelle Belegorn.

Et sur ses paroles il disparu. Moi je me sentis tirer par derrière. Il y eu un choque violent et je rouvris les yeux pour voir Gandalf et Aragorn au dessus de moi l'air très inquiet.

- Elerinna !!! Enfin ! Je m'inquiétais ! Me fit Aragorn

J'ai essayé de me relever mais la sang me remonta à la tête me donnant le tournis. Portant ma main à ma tête je remarquais que Legolas et Gimli étaient un peu en retrais mais avait l'air très inquiet. Mon vertige passer, je suis levée et les est tous regardé un par un avant de dire :

- Je vous dois des explications c'est ça ?

- Oui mais pas tout de suite... Premièrement parce qu'on doit aller à Edoras et deuxièmement parce que je crois que tu as besoin de digérer toi même ce message des Valars... Me répondit Gandalf.

Je le regardais, les yeux agrandis de stupeur. Mais comment il savait ça ?!

Gandalf eu un rire avant de me dire :

- Je suis un Istari ! Ne l'oublie pas !

************

Nous avions marché en silence jusqu'à l'orée de la forêt. Je pense que Gandalf avait déjà prévenue mes compagnons que j'aurais besoin de réfléchir après mon moment d'inconscience et qu'ils le respectaient.
Je fus sortie de ma rêverie par un sifflement suivi peut de temps après par deux hennissement. Je levais la tête et ajustais ma vision pour voir deux Mearas qui galopais vers nous, d'on l'un d'eux que je connaissais bien. Ne croyant pas à se que je voyais, Legolas me le confirma pourtant :

- C'est deux des Mearas... À moins que mes yeux soient abusés par quelques sorcelleries !

Des larmes se mirent à couler doucement et silencieusement sur mes joues. Astal... Celle qui avait subit sans bronché mes folies comme celle d'aller pourchasser, seul, des groupes d'orcs entiers. Celle qui avait supportée les longues cavalcades pour aller d'Edoras à Erebor en passant par le Gondor pour sauver les Valars seuls savaient qui. Celle qui avait courut sur des milliers et des milliers de kilomètres, poursuivit par des orcs sans jamais ralentir ni s'arrêter. Mais avant tout cela elle était ma plus précieuse amie. Elle qui m'avait toujours soutenue ! Dans les bons moments... Comme dans les pires. Je me rendais compte maintenant à qu'elle point elle m'avait manqué et je me demandais comment avais-je pu survivre sans elle. La jument accélérât en me voyant et arriva près de moi en un temps record. Elle vint coller sa tête sur ma main que j'avais tendue et, n'en pouvant plus, je me suis jeter dans son encolure en murmurant un "ma chérie". La jument s'ébroua avant d'aller coller ses naseaux à mon dos.
J'étais encore en train de câliner Astal quand j'entendis une voix bourrue derrière moi :

- Et bah ça alors...

Me détachant de "l'étreinte" agréable de mon cheval je me tournais vers Gimli qui venais de parler.

- Qui y a t-il maitre nain ?

- Les elfes sont vraiment bizarres ! Tu pleurs quand même pour un canasson !

- Déjà ce n'est "un" mais "une" ! Et elle s'appelle Astal !

Legolas, qui regardait la conversation en simple spectateur, intervint :

- He bien... J'avais déjà entendu parler d'un lien qui pouvait lier un cheval à son cavalier mais je n'en n'avais jamais vu en vrais ! C'est vraiment beau...

Gimli se mit à grommeler dans sa barbe sur "les elfes un leurs coutumes compliquer". Gandalf qui, lui, n'avait rien dit, nous rappelas à l'ordre et dûmes enfourcher nos montures ( Hasufel et Arod étant arrivés entre temps ). Je venais a peine de monter sur Astal qu'elle partie au grand galop. Trop heureuse de la retrouver, j'écartais mes bras des deux côtés de mon corps. Cette sensation de liberté était tellement grisante que j'en oubliais presque que les garçons ne pouvait pas suivre le galop d'Astal. Quand nous fûmes trop loin, je nous fis faire demi-tour et quand nous eûmes rejoint les garçons, nous repartîmes au petit trop vers Edoras.

Hey hey hey... On en apprend plus sur les pouvoir de notre chers Elerinna ! Merci à tous ceux qui lisent encore l'histoire depuis le temps et à tout les nouveaux / nouvelles qui vont vite se rendre compte que je suis complétement dérégler nivaux publication !
J'espère que l'histoire vous plaît toujours !

Pandachou.