Extirpé de mes rêves par un bruit de reveilles assourdissant, je grogne en remuant dans mon lit, avant d'hurler à ma soeur Azenor de ce decider à éteindre son réveil. J'étais couchée depuis environ 1 heures. Et pour être honnête, la douceur et la compréhension si tôt le matin, notamment après un réveil si rapide, n'était pas dans mes habitudes.
Pourquoi se levait-elle si tôt d'abord ?! Elle ne commençait qu'à 9 heures. Soudain, mon esprit me renvoya au souvenir d'il y a deux jours, ou ma soeur rentrée heureuse de son travail, ce qui n'arrivait jamais, pour me dire qu'elle devait passer un casting. Je soupira doucement, j'espérais vraiment que cette fois-ci serait la bonne. Je savais qu'elle n'aimait pas son travail, et que s'occuper des deux monstres etait difficile pour elle. Et puis elle avait beaucoup de talent, cela me rendait un peu triste que personne n'accepte de l'admettre.
Je lacha un nouveau soupire, je me tourna sur le côté, pour laisser l'obscurité du sommeil m'entraîner avec lui au pays des rêves. A ma grande surprise je m'endormis presque immédiatement.
Mon esprit m'emmena dans un endroit étrange, que je n'avais jamais vue et qui pourtant, me semblait familier. J'étais dans une immense pièce, assise au bout d'une table extrêmement grande. On pouvait facilement y siéger à vingt. Autour de moi, des gens, immobiles, qui regardaient leurs voisin d'en face. Ils étaient silencieux, c'était assez flippant. J'observais la pièce, tout aussi immense, faite de boiserie et de dorure digne d'un chateau, je n'arrivais pas à en croire mes yeux, je décida de me lever.
Je réalisa alors que je portais des vêtements étrange, un bustier de cuir argenté, couvert de fil d'or qui dessinait des arabesques, un pantalon en daim de la même couleur que le bustier et s'allongeait d'une drape identique qui cachait l'arrière de mes jambes, à mon doigt une chevalière argenté donc le blason arborer un renard enflammé. Une nouvelle fois, j'eu cette impression de familiarité, de déjà vue. Mon regard fut alors attirer par le poids sur ma hanches gauche. A ma ceinture, une épée etait la. Soudain un sentiment de soulagement m'envahit, une nouvelle fois, j'en ignorais la raison. Mais savoir cette épée la a ma ceinture, m'apporter un sentiment de sécurité. J'en saisit alors le pommeau argenté et finement travaillée, et la dégaina.
Une trahison, une guerre, trois reines, ses mots envahir alors mon être, sans que je n'en sache la raison. J'avais cette impression envahissante, déroutante, qu'on attendait quelques choses de moi. Qu'on avait besoin de moi mais j'ignorais pour quels raison, je savais juste que je devais me dépêcher. Courir aussi vite que mes jambes me le permettait, mais je resta là, immobile à observer l'acier tranchant de cette lames.
Quand tout à coup, la porte s'ouvrit, me faisait sursauter de se fait. Un homme se trouvait la, ou plutot, l'ombre d'un homme. Sa présence me rassurait, encore une fois, pour une raison qui m'échappe complètement.
...: Debout Hanna ....c'est l'heure.
Je me réveillais en sursaut à la fin de cette phrase, assise dans mon lit, je reprenais mon souffle en observant ma chambre. Avant de baisser les yeux vers mes bras, ou mes poils etait dressés, a cause de la chair de poule. Le bout de mes doigts etait chauds, c'etait etrange. Je frissonna une seconde, puis posa enfin le regard vers mon réveille. Il etait onze heures, d'un geste rapide je ramena mes cheveux en arrière pour soupirer.
Quels rêves bizarre, c'était si réel j'avais encore la sensation du métal contre ma paume, comme si je l'avais vraiment toucher, et cette sensation de déjà vue hanter mon esprit. Je n'avais jamais vue pareil endroit. Il n'y avait donc aucune raison que je ressentent une choses pareil.
Un café, j'avais besoin d'un café. Bien noir. Et une douche. Une grande et longue douche bien chaude. Une fois glisser hors de mon lit, je me rendit dans la cuisine. Azenor n'était déjà plus la. Je fis couler mon café, et me dirigea vers le placard à petit déjeuner, en esquivant habilement le bon de Griffor qui avait tenté, comme chaque matin de s'attaquer à mon pied. Ce chat allait finir en kebab un jour. J'attrapa mon pain aux lait, et mon nutella, et m'en prépara deux. Une fois tout près, je choisis de m'affaler dans le canapé, avec mon pc portable sur les genoux. Il fallait, à mon grand regret, que je mettent à jour les comptes du bar. Petit déjeuner prés, douche prise, et travail terminé, en tout cas pour l'instant, je me retrouva a m'ennuyer à mourir dans ce petit appartement vide.
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A l'opposé de nous
Научная фантастикаHanna et Azenor, sont deux sœurs jumelles qui mènent une vie normal. Il y a 5 ans de cela. Elles se sont réveiller dans un parc sans aucun souvenirs. Elles connaissaient leurs prénoms, savait qu'elles étaient sœurs, mais rien de plus. Même la ville...